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Intérêts des uspio dans la pathologie infectieuse rachidienne
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Intérêts des uspio dans la pathologie infectieuse rachidienne G. Bierrya,b, S. Kremera, F. Jehlb, G. Prevostb, M. Mohrc, J.-L. Dietemanna a Service de radiologie 2, hôpitaux universitaires de Strasbourg, France b Institut de bactériologie, hôpitaux universitaires de Strasbourg, & EA 3432, université Louis-Pasteur, Strasbourg, France c Service d’anatomie pathologique, hôpitaux universitaires de Strasbourg, France
Concept d’harmonie musculaire paraspinale J. Thérona, T. Solab, L. Guimaraensb, A. Casascoc, D. Rufenachtd, P. Courtheouxa, J.-M. Constansa a CHU de Caen, France b Hospital General Barcelona, Espagne c Clinica del Rosario Madrid, Espagne d Hôpital Cantonal Geneve, Suisse
Objectifs. — Les nouveaux agents de contraste superparamagnétiques (Spio, Uspio) permettent de réaliser une imagerie de l’activité macrophagique et de caractériser des lésions inflammatoires ou tumorales. Ils permettent notamment de mettre en évidence des anomalies de la moelle osseuse lors de processus néoplasiques ou inflammatoires. Nous présentons l’intérêt de ces agents dans l’étude de l’infection osseuse rachidienne. Matériels et méthodes. — Chez six lapins (New zealand white rabbits), une spondylodiscite a été créée par inoculation percutanée de Staphylocoques au niveau d’un disque intervertébral lombaire. Après contrôle IRM du développement de l’infection à dix jours, une administration d’un Upsio (Sinerem, Laboratoires Guerbet) par voie intraveineuse a été réalisée chez les six animaux. Aprés 24 heures, une IRM a été réalisée en séquence T1, T2 ES et T2 EG. Les animaux ont été ensuite sacrifiés et l’étude anatomopathologique des pièces vertébrales a été réalisée. Résultats. — L’Uspio a permis une mise en évidence et une délimitation de l’infection vertébrale dans 100 % des cas, aussi bien sur les séquences pondérées en T1 qu’en T2 EG. La présence d’une infection épidurale a également été identifiée dans 100 % des cas. Conclusion. — Les Upsio sont des agents de contraste efficaces pour la mise en évidence et la caractérisation de l’infection vertébrale dans un modèle animal.
P - 27 Évaluation de l’IRM de diffusion dans les syndromes médullaires aigus S. Kremerb, C. Marcela, F. Blanca, M. Abu Eidb, A. Bogorinb, J. de Sezea, J.-L. Dietemannb a Service de neurologie, CHU de Strasbourg, France b Service de radiologie 2, CHU de Strasbourg, France Objectifs. — Évaluer l’apport diagnostique de l’IRM de diffusion rachidienne en cas de syndrome médullaire aigu. Matériels et méthodes. — Trente-cinq patients admis pour syndrome médullaire aigu ont bénéficié en plus des séquences d’IRM conventionnelles d’une IRM de diffusion dans les plans axial et sagittal. Le coefficient de diffusion a ensuite été mesuré au sein de la lésion médullaire mise en évidence sur les séquences d’imagerie conventionnelle et au sein de la lésion périmédullaire en cas de compression médullaire. Résultats. — En cas de lésion intramédullaire, le coefficient de diffusion est augmenté dans la plupart des processus pathologiques hormis l’ischémie. Au sein des lésions périmédullaires, les collections hémorragiques et abcédées apparaissent en hypersignal en diffusion avec un coefficient de diffusion diminué ce qui peut aider à les différencier de certaines collections liquidiennes (LCR). Conclusion. — L’IRM de diffusion apporte des éléments diagnostics complémentaires pour le diagnostic d’ischémie médullaire et pour le diagnostic d’une collection hémorragique aiguë ou abcédée périmédullaire.
Objectifs. — Description d’un nouveau concept diagnostique et thérapeutique élaboré initialement sur les patients ayant présenté une hernie discale. L’examen des muscles paraspinaux de ces patients montrait des anomalies de fonctionnement évidentes s’accompagnant d’une diminution, également évidente, des forces musculaires à distance. La découverte de possibilités thérapeutiques pemettant de corriger ces anomalies nous a amenés à développer ce concept utilisable dans de nombreuses pathologies rachidiennes mais également extrarachidiennes. Matériels et méthodes. — Élaboration : 1) d’une technique d’examen clinique des muscles paraspinaux en position debout utilisant la palpation des muscles et les tests musculaires de kynésiologie ; 2) d’une recherche basée sur la spectroscopie cérébrale suprathalamique et d’autres techniques moins classiques (bioélectrographie) ; 3) d’une batterie d’outils thérapeutiques basés sur la stimulation des muscles paraspinaux par acupuncture et/ou homéopatie utilisés selon des méthodes originales. La base des patients était constituée par les douleurs rachidiennes et les scolioses. D’autres pathologies extrarachidiennes sont également traitées dans le cadre d’une recherche. Résultats. — Les résultats obtenus ont globalement été très encourageants en facilitant de façon significative la récupération des patients traités au niveau discal ou par vertébroplastie. Ils ont permis dans certains cas d’éviter toute thérapeutique intradiscale. Dans les scolioses modérées une stabilisation voire une correction de la scoliose a été obtenue. Conclusion. — Ce nouveau concept diagnostique et thérapeutique est basé, de façon évidente, sur des phénomènes énergétiques qui demanderont de nombreuses recherches complémentaires. Le concept d’harmonie musculaire paraspinale nous semble néanmoins deja un marqueur clinique intéressant.
P — 29 Technique percutanée de réexpansion musculaire paraspinale J. Thérona, T. Solab, L. Guimaraensb, A. Casascoc, J.-M. Constansa, P. Courtheouxa a CHU de Caen, France b Hospital General Barcelona, Espagne c Clinica del Rosario Madrid, Espagne Objectifs. — Obtenir une réexpansion des muscles paraspinaux atrophiés dans le but d’obtenir une meilleure contention active du rachis lombosacré. Cette technique a été développée à la suite de la constatation fréquente de dépôts graisseux importants autour des muscles paraspinaux atrophiés en regard d’une pathologie discale. Matériels et méthodes. — La technique de liposuccion esthétique a été utilisée au niveau lombosacré. La technique est réalisée à la seringue sous anesthésie locale ou sédation. Une première série inhomogène de 40 patients présentant une symptomatologie douloureuse (neuf hommes, 31 femmes, âge 29— 84 ans, 20 lombalgies, 14 lomboradiculalgies, deux douleurs coccyx, quatre douleurs diffuses deux membres inférieurs, 40 symptomatologies supérieures à un an) dans un contexte variable (28 traitements discaux antérieurs datant de six mois à 13 ans, un tt discal
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Intérêts des uspio dans la pathologie infectieuse rachidienne G. Bierrya,b, S. Kremera, F. Jehlb, G. Prevostb, M. Mohrc, J.-L. Dietemanna a Service de radiologie 2, hôpitaux universitaires de Strasbourg, France b Institut de bactériologie, hôpitaux universitaires de Strasbourg, & EA 3432, université Louis-Pasteur, Strasbourg, France c Service d’anatomie pathologique, hôpitaux universitaires de Strasbourg, France
Concept d’harmonie musculaire paraspinale J. Thérona, T. Solab, L. Guimaraensb, A. Casascoc, D. Rufenachtd, P. Courtheouxa, J.-M. Constansa a CHU de Caen, France b Hospital General Barcelona, Espagne c Clinica del Rosario Madrid, Espagne d Hôpital Cantonal Geneve, Suisse
Objectifs. — Les nouveaux agents de contraste superparamagnétiques (Spio, Uspio) permettent de réaliser une imagerie de l’activité macrophagique et de caractériser des lésions inflammatoires ou tumorales. Ils permettent notamment de mettre en évidence des anomalies de la moelle osseuse lors de processus néoplasiques ou inflammatoires. Nous présentons l’intérêt de ces agents dans l’étude de l’infection osseuse rachidienne. Matériels et méthodes. — Chez six lapins (New zealand white rabbits), une spondylodiscite a été créée par inoculation percutanée de Staphylocoques au niveau d’un disque intervertébral lombaire. Après contrôle IRM du développement de l’infection à dix jours, une administration d’un Upsio (Sinerem, Laboratoires Guerbet) par voie intraveineuse a été réalisée chez les six animaux. Aprés 24 heures, une IRM a été réalisée en séquence T1, T2 ES et T2 EG. Les animaux ont été ensuite sacrifiés et l’étude anatomopathologique des pièces vertébrales a été réalisée. Résultats. — L’Uspio a permis une mise en évidence et une délimitation de l’infection vertébrale dans 100 % des cas, aussi bien sur les séquences pondérées en T1 qu’en T2 EG. La présence d’une infection épidurale a également été identifiée dans 100 % des cas. Conclusion. — Les Upsio sont des agents de contraste efficaces pour la mise en évidence et la caractérisation de l’infection vertébrale dans un modèle animal.
P - 27 Évaluation de l’IRM de diffusion dans les syndromes médullaires aigus S. Kremerb, C. Marcela, F. Blanca, M. Abu Eidb, A. Bogorinb, J. de Sezea, J.-L. Dietemannb a Service de neurologie, CHU de Strasbourg, France b Service de radiologie 2, CHU de Strasbourg, France Objectifs. — Évaluer l’apport diagnostique de l’IRM de diffusion rachidienne en cas de syndrome médullaire aigu. Matériels et méthodes. — Trente-cinq patients admis pour syndrome médullaire aigu ont bénéficié en plus des séquences d’IRM conventionnelles d’une IRM de diffusion dans les plans axial et sagittal. Le coefficient de diffusion a ensuite été mesuré au sein de la lésion médullaire mise en évidence sur les séquences d’imagerie conventionnelle et au sein de la lésion périmédullaire en cas de compression médullaire. Résultats. — En cas de lésion intramédullaire, le coefficient de diffusion est augmenté dans la plupart des processus pathologiques hormis l’ischémie. Au sein des lésions périmédullaires, les collections hémorragiques et abcédées apparaissent en hypersignal en diffusion avec un coefficient de diffusion diminué ce qui peut aider à les différencier de certaines collections liquidiennes (LCR). Conclusion. — L’IRM de diffusion apporte des éléments diagnostics complémentaires pour le diagnostic d’ischémie médullaire et pour le diagnostic d’une collection hémorragique aiguë ou abcédée périmédullaire.
Objectifs. — Description d’un nouveau concept diagnostique et thérapeutique élaboré initialement sur les patients ayant présenté une hernie discale. L’examen des muscles paraspinaux de ces patients montrait des anomalies de fonctionnement évidentes s’accompagnant d’une diminution, également évidente, des forces musculaires à distance. La découverte de possibilités thérapeutiques pemettant de corriger ces anomalies nous a amenés à développer ce concept utilisable dans de nombreuses pathologies rachidiennes mais également extrarachidiennes. Matériels et méthodes. — Élaboration : 1) d’une technique d’examen clinique des muscles paraspinaux en position debout utilisant la palpation des muscles et les tests musculaires de kynésiologie ; 2) d’une recherche basée sur la spectroscopie cérébrale suprathalamique et d’autres techniques moins classiques (bioélectrographie) ; 3) d’une batterie d’outils thérapeutiques basés sur la stimulation des muscles paraspinaux par acupuncture et/ou homéopatie utilisés selon des méthodes originales. La base des patients était constituée par les douleurs rachidiennes et les scolioses. D’autres pathologies extrarachidiennes sont également traitées dans le cadre d’une recherche. Résultats. — Les résultats obtenus ont globalement été très encourageants en facilitant de façon significative la récupération des patients traités au niveau discal ou par vertébroplastie. Ils ont permis dans certains cas d’éviter toute thérapeutique intradiscale. Dans les scolioses modérées une stabilisation voire une correction de la scoliose a été obtenue. Conclusion. — Ce nouveau concept diagnostique et thérapeutique est basé, de façon évidente, sur des phénomènes énergétiques qui demanderont de nombreuses recherches complémentaires. Le concept d’harmonie musculaire paraspinale nous semble néanmoins deja un marqueur clinique intéressant.
P — 29 Technique percutanée de réexpansion musculaire paraspinale J. Thérona, T. Solab, L. Guimaraensb, A. Casascoc, J.-M. Constansa, P. Courtheouxa a CHU de Caen, France b Hospital General Barcelona, Espagne c Clinica del Rosario Madrid, Espagne Objectifs. — Obtenir une réexpansion des muscles paraspinaux atrophiés dans le but d’obtenir une meilleure contention active du rachis lombosacré. Cette technique a été développée à la suite de la constatation fréquente de dépôts graisseux importants autour des muscles paraspinaux atrophiés en regard d’une pathologie discale. Matériels et méthodes. — La technique de liposuccion esthétique a été utilisée au niveau lombosacré. La technique est réalisée à la seringue sous anesthésie locale ou sédation. Une première série inhomogène de 40 patients présentant une symptomatologie douloureuse (neuf hommes, 31 femmes, âge 29— 84 ans, 20 lombalgies, 14 lomboradiculalgies, deux douleurs coccyx, quatre douleurs diffuses deux membres inférieurs, 40 symptomatologies supérieures à un an) dans un contexte variable (28 traitements discaux antérieurs datant de six mois à 13 ans, un tt discal