NR-WP-21 Interet de la sequence 3D haute resolution cube™ dans la detection du neurinome de l’acoustique en IRM

NR-WP-21 Interet de la sequence 3D haute resolution cube™ dans la detection du neurinome de l’acoustique en IRM

NR-WP-21 INTERET DE LA SEQUENCE 3D HAUTE RESOLUTION CUBETM DANS LA DETECTION DU NEURINOME DE L'ACOUSTIQUE EN IRM C Brochart (1), S Blanpain (2), F Dem...

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NR-WP-21 INTERET DE LA SEQUENCE 3D HAUTE RESOLUTION CUBETM DANS LA DETECTION DU NEURINOME DE L'ACOUSTIQUE EN IRM C Brochart (1), S Blanpain (2), F Demuynck (3), J Morvan (4), H Deramond (5) (1) Le Quesnel - France, (2) Le Portel - France, (3) Montdidier - France, (4) Gravelines - France, (5) Amiens - France Objectifs pédagogiques : Connaître les différentes techniques d'IRM pennettant une étude en 3D. Savoir quelles séquences d'IRM réaliser pour rechercher un neurinome de l'acoustique. Connaître la sémiologie IRM du neurinome de l'acoustique. Identifier les avantages et inconvénients de la séquence 3D FSE (Cube) par rapport à une séquence 3D en écho de gradient (FIESTA). Messages à retenir: L'imagerie en écho de gradient 3D haute résolution avec pondération T2 est couramment utilisée dans la détection des neurinomes de l'acoustique. La séquence 3D isotropique FSE Cube rM offre la possibilité de reconstruction d'images dans tous les plans de l'espace avec une résolution spatiale infra-millimétrique. Elle présente une excellente sensibilité pour la détection des neurinomes de l'acoustique. Elle offre une résolution supérieure aux séquences en écho de gradient T2 avec une réduction des artefacts. Mots clés: Nerfs crâniens, tumeur

Objectifs: Les premiers appareils médicaux d'IRM (les années '80). L'imagerie en tenseur de diffusion (DWMRI, les années '90). Dix ans plus tard les séquences en tenseur de diffusion (DTMRI) sont de plus en plus employées, désonnais couplées à la tractographie. (GE Healthcare), Matériels et méthodes: IRM-Signa3THDx IRMTD: 25-120 directions de diffusion, FOV 26x26 cm2, coupes 1,0-3,0 mm, matrice 128x128, b = 1000 s/mm2, NEX = 1-8. Tractographie (deux types des logiciels) : 1. un algorithme « déterministe » (type « streamline») : VolumeOne (Y. Masutani, Tokyo), MrDiffusion (B. A. Wandell, A. J. Sherbondy, R. F. Dougherty, Stanford), MedINRIA (P. Pillard, N. Toussaint, INRIASophiaAntipolis), DTIStudio (H. Jiang, S. Mori, Baltimore), 2. un algorithme dit « probabiliste »: FSL (FMRIBSoftwareLibrary, Oxford), module FDT. Résultats : Les principaux segments des voies visuelles ont pu être reconstruits en tractographie : les nerfs optiques, le chiasma optique, les bandelettes optiques et les radiations optiques. De plus, la décussation des fibres dans le chiasma optique a pu être objectivée. L'algorithme «probabiliste» pennet de vérifier que l'algorithme « streamline » ne calcule pas des trajets erratiques. Conclusion: La tractographie constitue la seule méthode qui pennet d'objectiver (actuellement), in vivo et de manière non invasive, les grands faisceaux anatomiques qui composent l'encéphale et la moelle épinière. L'imagerie en tenseur de diffusion est de plus en plus employée et constitue une technologie prometteuse pour l'amélioration du diagnostic des maladies neurologiques. Mots clés: Nerfs crâniens - IRM

NR-WP-24 DIPLOPIE: A QUOI PENSER, QUE FAIRE?

NR-WS-22 LES EXOPHTALMIES DE L'ADULTE: DE LA CLINIQUE A L'IMAGERIE A OuazzanL H BecharL A SqlL R HassanL N Chakic MJiddane Rabat - Maroc Objectifs: Savoir adapter le protocole d'examen à la sémiologie clinique d'exophtalmie. Connaître les aspects typiques en imagerie des principales pathologies envisagées. Matériels et méthodes: Etude rétrospective de 250 cas d'exophtalmies chez l'adulte colligés de 2006 à 2009 explorés par échographie, TDM, IRM et artériographie. Résultats: Présentation inter-active illustrée à partir de dossiers sélectionnés permettant de faire une analyse de: 1) la sémiologie clinique, 2) protocoles d'examens adaptés à la cause présumée d'exophtalmie, 3) la sémiologie radiologique pathologique, 4) une évaluation faite de cas cliniques. Conclusion: Une exophtalmie bilatérale et réductible devrait orienter vers les dysthyroïdies qui constitue l'étiologie la plus fréquente, ce qui justifie le choix du couple échographie-scanner en première intention. L'IRM s'impose en urgence en cas d'exophtalmie unilatérale pulsatile ou irréductible pour ne pas laisser évoluer une pathologie grave comme les fistules carotido-cavemeuses ou certaines tumeurs orbitaires. Mots clés : Orbites, exophtalmie

NR-WS-23 IMAGERIE EN TENSEUR DE DIFFUSION (IRMTD) ET NEUROTRACTOGRAPHIE DU DEUXIEME NEURONE VISUEL A Istoc (1), A Abanou (1), C Habas (1), TH Nguyen (1). MT Iba-Zizen (1), JL Stiévenart (1), M Yoshida (2), L Bellinger (1), EA Cabanis (1) (1) Paris - France, (2) Tokyo - Japon

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1 Mahé Halley, M Namur, J Cornu, JM Kamsu Ngounve, N Dossmann, M Hamon Caen - France

Objectifs pédagogiques: Connaître l'anatomie des nerfs oculomoteurs et les signes cliniques des paralysies oculomotrices. Connaître les principales étiologies des diplopies binoculaires, notamment les urgences à éliminer. Savoir adapter la technique d'examen à la pathologie recherchée. Messages à retenir: La connaissance des signes cliniques pennet d'orienter le protocole d'exploration et le moment de sa réalisation. L'IRM est l'examen de choix pour l'exploration des diplopies. Cependant, le scanner a une place importante dans le diagnostic de certaines urgences : anévrisme, incarcération musculaire. Mots clés: Œil, anomalie - Nerfs crâniens

NR-WS-25 TUMEURS DE LA REGION PINEALE: EXPERIENCE DES DIX DERNIERES ANNEES A PROPOS DE 24 CAS N Moumen, Q Kizetto, MR El Hassani, N Chakir, M Jiddane Rabat - Maroc Objectifs : Rapporter une série de 24 cas de tumeurs pinéales, corréler les résultats de l'imagerie à ceux de la biopsie stéréotaxique et passer en revue les données de la littérature. Matériels et méthodes: Etude rétrospective entre 1998 et 2008, sur 24 patients suivis pour des tumeurs de la région pinéale, bénéficiant de TDM, d'IRM, et d'angiographie cérébrales. Avec réalisation d'une biopsie stéréotaxique et/ou d'un abord chirurgical direct. Résultats: L'âge moyen des patients est de 22 ans. Le sexe ratio est de 2 hommes pour 1 femme. Il y avait une double localisation (pinéale et sellaire) dans 3 cas. En TDM, les tumeurs sont spontanément isodenses, avec ou sans calcifications. En IRM, en Tl elles sont isointenses par rapport à la substance grise avec parfois des zones hypointenses (Zones nécrotiques). En T2 le signal est variable; souvent hyperintense, parfois hypo-intense. Toutes les tumeurs se rehaussent fortement après injection du produit de contraste. L'examen anatomopathologique a révélé des pinéalocytomes, des pinéaloblastomes,