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Communications Rhumatologie PYOMYOSITE w,
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Rhumatologie
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Rhumatologie
DE L’ADOLESCENT
C Lsferri&e’, M. Michel’, E. Boded
‘Microbiologic Ptiiatique, Hopitsl Ssinte-Justine, Mont&l, Canada. $&diatrie, Cliniques Saint-P&x, Ottignies, Belgique. ‘P&distrie, Cliniques Universitaires de Mont-Godinne, Yvoir, Belgique. Revue des trois adolescents se pr&entast svec II” tableau de boiterie febrile dans le d&cows d’un effort musculaire intense. L’&iopatb”@ie de c&t” affection trap rarernest disgsostiquCe est revue s&i que son incidence, SB mix su point biologique, radiologique et son traitement. Cette pathologic est le r&&at d’un ph&om&ne mCcsniq”e et infect&x la plupsrt da temps bawl, abutissant A une pathologic potentiellemeol debilitmte, si “~1 reccm”““. Le diagnostic, &“que g I’&chographie, sem continae B la rCsonance magnetique nucl&iaire, “xsmm qui dew &re P&q”& en csa de suspicion clbdque (snt&dents d’eff”rts musculsire intense, douleur muwulaire spcmtas6e , exscerbee 4 la palpation profonde de la rCgion ischiatique). L’sgest etiologique (staphylocoques dare “u sheptocoques) est isold psr le prCl&vement d’h6mocultures Ins des pits ebriles etlou 101sd’une ponction drains@ de la collection atid&. Une antibioth&apie intxweineuse orient& svec r&is oral, avec “u sass drainage chbwgical local, enhame use gu6risoo eomplCe.
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Rhumatologie OSTROPOROSE E. BERTOLO CRCM
HOURIFZ,
p6diabique
- Hbpital
ET MUCOVRXXDOSE
J. DERRLLE, dbf’ants
F. BELTRAMO,
- 54511
Vandawre
M. VIDAILHET. les Nancy
- Fmncz
Now rqprtom w fait B Page
le as bun ettfant poseur de mtumkidose dent le diagw&c a de 4 am. L’psncr&dqw exteme et Is co10aissti0n B pyocyaniquesetaient~aumnnentdudiagnostic.naWprisencharge
nutassementvcrtebraletIelT~@a~examEnscompl6mentairrs. Jiradl” dumcYsconfymeuatswment
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IXSSUS. ‘J..e bilan
phosplocalcique,ledosage&lavitamineDetdela~sontnormaw.Le mitemeat a conslstd at me cordati”lJ avef L-a-set adapt6, suppltmmtation en calcittm et vitamhe D et cure de Diphosphonates, qut a pznnis “as disperition des dotdews. C”eclusi”n : Dans la muaviscidcee, l’obteopomse est la co&quence d’w ddfsut de mindmlisation q”i sppamit p?6axmmt. son “rigine fait irttawk Pital
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L’ETIDRONATE PAR VOIE ORALE AMELIORE LA MINERALISATION OSSEUSE DES PATIENTS MUCOVISCIDOSIQUES. B Ringuier’. F Troussier’. E Duveau’. M Audra?. JL Gin&‘. ‘Centre de Ressounes et de Competence pour la Mucoviscidose et ‘Service de Rhumatologie. CHU. 49033 Angers Cedex. Les tmubles de la min&alisation osseusa sent frequents dans la mucoviscidose mais tr&s oeu de travaux oortent sur I’utilisation des diphosphosnates dans &te indication et ‘aucun sur I’ublisation de Widronate par voie orale. Nous rappwtons notre exp&ience de ce traltement. II s’agit d’un travail retrospectif : 5 enfants et 2 adultes muwviscidosiques 15 aarwns et 2 tilles.) &I&S de 7 a 30 ans aui avaient un Z score de densit &e&e lombaire inf&ieur a -2 DS ap& un an de suppl&nentation calcique (1 g I jour) et vitaminique D (900 UI I jour et 300000 UI I6 mois), on et& trait& pendant 1 an par Btidronate 4 cures de 15 jours a raison d’une par trimestre B la posologie de 4 a 6 mg / kg / iour. la supplementation calcique et vitamin&e &ant powsuivit? La densite minerale osseuse lombaire a ete mesur&e au debut de la premi&e annbe, apr&s un an de supplt+mentation calcique et vitaminique et B la fin de la deuxieme an&e aprt?s les 4 cures d’Btidmnate. Le gain de densit min&ale osseuse en valeur absolue (s/cm*1 et en Zscore Btait signifitivement plus important (~~0.05) au co& du baltement par btidronate (g/cm’ : 5 f 4 % 2 score 1 f 4 X) qu’au cows de I’annbe 00 la suppl&mentation calcique et vitaminique Wit don&e seule (g/cm’ : 0 f 2 %, 2 score -4 * 4 %). La suppl&mentation calcique et vitaminique isol& s’est accompagw? la premiere arm& d’une amelioration du Z score chez un seul patient alors.que le traitement par Btidronate a correspondu la deuxibme annbe a une amelioration du Z score chez 5 des 7 patients. Aucun pabent n’a p&en& d’effet secondaire imputable au traitement. Un traitement par Btidronate dorm6 par voie orale est bien toI& et est capable d’am&liorer la min&alisation osseuse des patients mucoviscidosiques. D’autres travaur sent n&essaires pour optimiser la posologie du m&iicament et la fr&quence des cures