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Peut-on determiner le risque de malignite des foyers de microcalcifications mammaires suspects avant la biopsie
J Radio1 2006;87:1194-1431 O Éditions Françaises de Radiologie, Paris, 2006
dimanche 22 octobre
Séances scientifiques et thématiques
Mammographie Séance organisée par la SOFMIS
Responsable : Laurent Levy
Objectifs pédagogiques Promouvoir l'utilisation optimale des différentes méthodes d'imagerie.
Président : Charley Hagay
l
15 h 3 0
Modérateur : Alain lsnard
INFORMATISATION ET MAMMOGRAPHIE NUMERISEE : DES SOURIS ET DES HOMMES
Résumé : L'informatique a intégré nos actes les plus quotidiens : on se « parle » à travers des claviers, on achète les livres sur intemet, on enregistre les films sur disque dur. Les photos ne se développent plus. L'imagerie médicale se toume vers le « tout-écran » et toute la médecine se dématérialise sur fond de DMP. En sénologie, cette révolution s'appelle Mammographie Numérique (MN). Nous dresserons un état de l'équipement en MN dans le monde et en France, sur la base de la documentation disponiblè, et de l'expérience sur le terrain de structures privées ou publiques : pourcentage des équipements, modalités d'utilisation et organisation du « workflow B. Nous évaluerons l'efficience de la MN : apportera-t-elle le même progrès en gain de temps, en examens redondants évités, en facilité de suivi évolutif que le PACS dans le reste de l'imagerie médicale ? Comment la MN s'intégrera-t-elle dans la télémédecine que tous commencent à admettre ou à promouvoir ? Comment l'utilisation en réseau impactera-t-elle l'organisation du dépistage du cancer du sein ou le recours à l'expertise ? Nous évoquerons les pièges créés ou amplifiés par la MN : risque de perte de l'intégration clinique, risque médico-légal ... Mots clés : Sein, technique d'exploration - Mammographie Numérisation
Durée : 7 minutes
PEUT-ON DETERMINER LE RISQUE DE MALIGNITE DES FOYERS DE MICROCALCIFICATIONS MAMMAIRES SUSPECTS AVANT LA BIOPSIE
Objectifs :Déteminer des facteurs prédictifs de malignité des foyers de microcalcifications mammaires en fonction des paramètres cliniques, histologiques et radiologiques. Matériels et méthodes : Entre 2003 et 2005, 520 foyers de microcalcifications BIRADS 3 à 5 ont été biopsiés (1 1G) puis opérés si un diagnostic de malignité ou d'hyperplasie canalaire atypique (HEA) était porté (n = 230) ou dans les cas de discordance radio-clinique. Les facteurs prédictifs potentiels de malignité testés comportaient des paramètres radiologiques (aspect, taille, évolutivité du foyer) et cliniques (âge, Gail, THS). L'analyse statistique a été faite par régression logistique conditionnelle. Résultats : Soixante-seize pour cent (N = 75) des foyers BIRADS 5 (N = 98) et opérés étaient malins avec 4 cancers additionnels sur 7 lésions dont la biopsie avait retrouvé une HEA. Trente-deux pour cent (n = 126) des foyers BIRADS 4 (n = 384) étaient malins, avec un taux de 19 % de malignité parmi les HEA (n = 6/31). 6 foyers BIRADS 3 sur une population à risque (n = 38) étaient finalement malins. Parmi les facteurs étudiés sur les BIRADS 4, seul le caractère évolutif du foyer était significativement corrélé au risque de malignité (p = 0,Ol). Conclusion :Il est essentiel de continuer à opérer les cas d'HEA détectés par macrobiopsie. Le caractère évolutif du foyer reste le meilleur paramètre prédictif de malignité. Mots clés :Sein, calcification- Sein, tumeur maligne - Mammographie
15 h40
Durée : 7 minutes
EVALUATION DE L'IRM DANS LE BILAN D'EXTENSION DES CARCINOMES CANALAIRES IN SITU (CCIS) M DEVAUX-HOQUET, D HOA, G ~AFFARGUE, X PRAT,P BOULET, P TAOUREL MONTPELLIER - FRANCE Objectifs :Evaluer les apports de I'IRM mammaire pour le bilan d'extension et la prise en charge des patientes atteintes de carcinomes canalaires in situ (CCIS).
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dimanche 22 octobre
Séances scientifiques et thématiques
Mammographie Séance organisée par la SOFMIS
Responsable : Laurent Levy
Objectifs pédagogiques Promouvoir l'utilisation optimale des différentes méthodes d'imagerie.
Président : Charley Hagay
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15 h 3 0
Modérateur : Alain lsnard
INFORMATISATION ET MAMMOGRAPHIE NUMERISEE : DES SOURIS ET DES HOMMES
Résumé : L'informatique a intégré nos actes les plus quotidiens : on se « parle » à travers des claviers, on achète les livres sur intemet, on enregistre les films sur disque dur. Les photos ne se développent plus. L'imagerie médicale se toume vers le « tout-écran » et toute la médecine se dématérialise sur fond de DMP. En sénologie, cette révolution s'appelle Mammographie Numérique (MN). Nous dresserons un état de l'équipement en MN dans le monde et en France, sur la base de la documentation disponiblè, et de l'expérience sur le terrain de structures privées ou publiques : pourcentage des équipements, modalités d'utilisation et organisation du « workflow B. Nous évaluerons l'efficience de la MN : apportera-t-elle le même progrès en gain de temps, en examens redondants évités, en facilité de suivi évolutif que le PACS dans le reste de l'imagerie médicale ? Comment la MN s'intégrera-t-elle dans la télémédecine que tous commencent à admettre ou à promouvoir ? Comment l'utilisation en réseau impactera-t-elle l'organisation du dépistage du cancer du sein ou le recours à l'expertise ? Nous évoquerons les pièges créés ou amplifiés par la MN : risque de perte de l'intégration clinique, risque médico-légal ... Mots clés : Sein, technique d'exploration - Mammographie Numérisation
Durée : 7 minutes
PEUT-ON DETERMINER LE RISQUE DE MALIGNITE DES FOYERS DE MICROCALCIFICATIONS MAMMAIRES SUSPECTS AVANT LA BIOPSIE
Objectifs :Déteminer des facteurs prédictifs de malignité des foyers de microcalcifications mammaires en fonction des paramètres cliniques, histologiques et radiologiques. Matériels et méthodes : Entre 2003 et 2005, 520 foyers de microcalcifications BIRADS 3 à 5 ont été biopsiés (1 1G) puis opérés si un diagnostic de malignité ou d'hyperplasie canalaire atypique (HEA) était porté (n = 230) ou dans les cas de discordance radio-clinique. Les facteurs prédictifs potentiels de malignité testés comportaient des paramètres radiologiques (aspect, taille, évolutivité du foyer) et cliniques (âge, Gail, THS). L'analyse statistique a été faite par régression logistique conditionnelle. Résultats : Soixante-seize pour cent (N = 75) des foyers BIRADS 5 (N = 98) et opérés étaient malins avec 4 cancers additionnels sur 7 lésions dont la biopsie avait retrouvé une HEA. Trente-deux pour cent (n = 126) des foyers BIRADS 4 (n = 384) étaient malins, avec un taux de 19 % de malignité parmi les HEA (n = 6/31). 6 foyers BIRADS 3 sur une population à risque (n = 38) étaient finalement malins. Parmi les facteurs étudiés sur les BIRADS 4, seul le caractère évolutif du foyer était significativement corrélé au risque de malignité (p = 0,Ol). Conclusion :Il est essentiel de continuer à opérer les cas d'HEA détectés par macrobiopsie. Le caractère évolutif du foyer reste le meilleur paramètre prédictif de malignité. Mots clés :Sein, calcification- Sein, tumeur maligne - Mammographie
15 h40
Durée : 7 minutes
EVALUATION DE L'IRM DANS LE BILAN D'EXTENSION DES CARCINOMES CANALAIRES IN SITU (CCIS) M DEVAUX-HOQUET, D HOA, G ~AFFARGUE, X PRAT,P BOULET, P TAOUREL MONTPELLIER - FRANCE Objectifs :Evaluer les apports de I'IRM mammaire pour le bilan d'extension et la prise en charge des patientes atteintes de carcinomes canalaires in situ (CCIS).
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