ACTUALITES
pour ses 25 ans Septivon ® s'associe M decins du Monde-Mission France*
eptivon ® est un medicament associant l'efficacitd d'un antiseptique du groupe des carbanilides, le triclocarban, 5 deux excipients tensioactifs aaxionique et amphot~re. La prdsence de ces deux excipients con~re ~tcette solution antiseptique un excellent pouvoir nettoyant et mous-
les levures et les champignon tels Microsporurn et Trichophyton. In vivo, Septivon ® a dEmontrd son efficacitE dans la reduction de la flore cutanEe au test de lavage des mains et dans la destruction de la flore microbienne du champ opEratoire et des mains.
sant.
Ce pouvoir nettoyant permet de pr& parer la peau 1Esde ou la muqueuse afin d'optimiser l'efflcacitE antiseptique du triclocarban. Cette formule complete bdndficie en outre d'un pouvoir tampon dlevE et d'une bonne affinitd pour les structures biologiques.
spectre d'activit~ de Septivon ® L'Evaluation de l'actMtd antiseptique de cette solution 5 usage externe a EtE ddmontrEe : - par la determination in vitro de l'efficacitE bactericide ou bactdriostatique sur diffErentes souches microbiennes ; - par la mesure de l'efficacitd in vivo en Evaluant Hnfluence de la solution antiseptique sur la flore cutande. Septivon ® a un large spectre d'action antiseptique. In vitro, Septivon® est particuli~rement actif sur les bactEries ~t Gram positif et notamment vis-a-vis des staphylocoques. La prdsence de ses deux tensioactifs potentialise son activitE vis-~i-vis des bactEries ~i Gram ndgatif tel que Esche-
richia coli. D'autre part, Septivon ® est actif sur
*Confdrence de presse du 2 octobre 1997.
J O U R N A L DE P~:DIATRIE ET DE PU~:RICULTURE n ° 8 - 1997
propri~t~s pharmacodynamiques de Septivon ® action nettoyante Grfice ~i leur action solubilisante, les tensioactifs participent ?i la dissolution et ~ l'Elimination des debris organiques dans l'eau (dEbris comes, crofites, pus) lesquels risquent d'entraver l'action de l'antiseptique associd. Cette dEtersion favorise le contact du triclocarban avec les germes. Les tensioactifs permettent donc la diffusion du principe actifsur l'ensemble de la zone ~t traiter et en assure la pdnEtration au sein du foyer infectieux cutanE. De ce fait, Septivon ® est trois fois plus efficace que le triclocarban seul la m8me concentration.
action r6manente Pour traiter les affections cutanEomuqueuses d'origine microbienne ou fongique, une action antiseptique fugace ne saurait sufiqre. Aussi efficace soit-elle, elle doit s'accompagner d'un effet rdsiduel prolongE pour permettre ~t l'antiseptique d'exercer pleinement son action. En augmentant la pdndtration du triclocarban jusqu'au coeur des ldsions, les tensioactifs amdliorent l'imprEgnation de Septivon ®dans l'Epiderme. Ils garantissent ainsi une action anti-
septique prolongEe qui persiste mSme apr~s rin~age : c'est la rdmanence. Des dtudes ont ddmontrd que Septivon® prEsente une rEmanence q u i d & passe 3 heures mSme aprSs ringage.
action apaisante p
Septivon ® poss~de une action apaisante et calmante. Dans les affections du cuir chevelu et les diffErents types d'eczEmas ou de psoriasis, Septivon ® soulage rapidement le prurit, dvitant ainsi les surinfections par lesions de grattage. Dans les lesions anales et les vulvovaginites, il est intdressant d'avoir ~i sa disposition un medicament arttiseptique qui, par son action ddcongestionnante et antiprurigineuse, calme les ddmangeaisons et les brfilures des patients tout en donnant le temps au praticien d'effectuer des investigations compldmentaires pour instituer un traitement dtiologique.
tolerance
Les expdrimentations cliniques ainsi que les donndes de pharmacovigilance obtenues par une tr~s large prescription depuis la mise sur le marchd de Septivon® ont permis de confirmer sa tr~s bonne tolerance, dans les conditions normales d'utilisation. UtilisE dans des indications trSs diverses et selon des modes diffErents (pur ou dilud) Septivon ® se rEvSle en effet tr~s bien toldrd. C'est une des raisons pour laquelle Septivon ® est l'antiseptique moussant le plus prescrit par les pddiatres. 499
ACTUALITE-S
respect de la flore cutan~omuqueuse
!'dquilibre de la flore microbienne namrellement prdsente.
Septivon ® est tree solution moussante arab:tale, agrdablement parfumde h l'essence de pin, dont le p H neutre de 7,5 respecte le p H de la peau et des muqueuses participant ainsi au maintien de
indications th~rapeufiques de Septivon ® Grace fi toutes ces qualitds, est la solution antiseptique moussante unanime-
ment reconnue par le corps mddical pour le nettoyage et l'antisepsie de la peau et des muqueuses en rtaitement d'appoint des affections dermatologiques primitivement bactdriennes ou susceptibtes de se surinfecter. Cette antisepsie peut donc &re prdventive ou curative.
infections rhinopharyng es : un nouveau mouche-b b vient enrichir la g a m m e Prorhinel ®* es infections O R L repr4sentent la premiere cause de consultation des mddecins g6n&alistes et des pddiatres et sonr aujourd'hui responsables de plus de ia moitid des prescriptions d'antibiotiques. Rhinopharyngites et otites rdddivantes sont par ailleurs une source d mconfort, d absetlteisme scolaire, et d mdispombihte p arentale qtujusnfient t daboranon d objectifs de pratique medicale et dune infma~aatlon du public. La conf&ence de consensus sur les infections OR]L, qui s'est a&oulde en juin 1996 ~ Lyon, a propos~ des recommandations th&apeutiques simp!es basdes sur tm triple objectif: un soulagement rapide des sympthroes ; -- tree pr&ention des complications ; - tree action dducative. exemple de la rhinopharyng,te algu~ de ['enfant montre la n&essitd d'&olution des compor~ements. En effet, cette atteinte d'origine vitale qui associe une obstruction des losses nasales et (ou) une rhinorrhde biht&ale ~ de la tiOere, e n t r e e paradoxalement environ 3 millions de prescriptions d'antibiotiques par an ; l'emploi abusif des antibiotiques daus ce~te indication
*D'apr~s la conf6rence de consensus sur Ies pathologies ORI. (~uin 1996, Lyon) des traitemen~s simples et efficaces dtt Pr P Reinert et du Dr A Bouharma (Cr~reil).
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taisse craindre I'apparition de r&istances bact&iennes. La conf&ence souhaite d'une part, aider Ies mddecins ~ rationaliser leur demarche diagnostiq~e et teurs prescriptions en mati~re d infection ORL ; d'aurre part, dduquer [es patients et leus parents (car il s'agit souvent d'enfants en has ~ge). L'act~'onaupr&des mddecinscomporte un processus d'6valuation cofit-efficacit6, basd sur des donn&s scientifiques ; Hie vise ~ proposer des schdmas thdrapeutiques adapt& ~t la situation clinique ; Les infections ORL, bdnignes le plus souvent, bdndficient d'tm taux de gud6son sponran& d'environ 80 % et ndcessltent rarement le recours attx antibiofiques. La conf&ence ne pr&onise leur emploi dans les rhinophatyngites aigues, qu'en cas d'ant&6dents d'otites r&idivantes, sur terrain immtmoddprimd ou chez le nourrisson de 0 h 6 tools, L'action aupr& du public vise ~t expliquer les diffdrentes th&apeutiques utilisabtes en cas d'infection ORL, afin que chactm puisse faire la part des choses et arr&e d'associer consultation mddicale et prescription systdmatique d'antibiofiques. La rhinophmyngite aigu~ est une affection d'dvolution simple qui disparak en quetques jours ; tes complications sont rares, m&ne s'il faut mujours craindre
l'apparition d'otites moyennes aigues ou de sinusites, qui peuvent &re dvit~es par la mise en route d'tm traitement adaptd. La th&apeutique, avant tout symptomatique, comporte deux axes : Ie traitement de la fi~vre par des antipyr&iques et les moyens physiques habituels (baius tildes, boissons abondantes, etc) ; - te ttaitement de l'obstrucrion nasale et de la rbinorrh& par deux moyens simples : le lavage des losses nasales ; le mouchage. Lib&er [es losses nasales efficacement et r8guli~rement constitue [e meilleur moyen pour dviter les complications et les r&idives. L'application de ce rtaitement dolt comporter tm volet 6ducatif vis-a-vis des enfants et des parents : - l'enfant dolt apprendre h se moucher car la perm&bilitd de ses voles a&ienries est primordiale ; les parents doivent savoir diffdrencier les th&apeutiques antibiotiques et antipyr&iques. Dans le cas d'une rhinopharyngite, la conf&ence de consensus incite le m& decin ~ d~livrer ~tses patients, en annexe de l'ord0nnance ~tvisde symptomafique, des conseils pratiques (comment moucher un enfant, comment utiliser correctement les produits de lavage des -
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JOURNAL DE PEDIATRIE El" DE PUERICULTURE n ° 8 - 1997