R326 Lombalgies postopératoireS: QUand?, comment?, pourquoi?

R326 Lombalgies postopératoireS: QUand?, comment?, pourquoi?

974 40e CONGRkS R323 Complications de 1’anesthPsie - cceliochirurgie LOMBALGIES POSTOP6RATOIRES WAND ?, COMMENT ?, POURQUOI Langlojk Eschw&ge R3...

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974

40e CONGRkS

R323

Complications

de 1’anesthPsie - cceliochirurgie

LOMBALGIES POSTOP6RATOIRES WAND ?, COMMENT ?, POURQUOI Langlojk Eschw&ge

R324 : ?

J’, Mann Ch’, Mazoit JX’, Panzani Ml, p2, Lethellier P’, Blanchet P2, Samii K’

‘Sewice d’Anes#&ie4%animation ; %ervice dUrologie CHlJ Bic&re, 94275 Le Kremlin-Bicbtre Cedex- AP-HP Introduction : Les lombalgies postop&atoires sent multifactotielles. La prise en cotnpte de facteurs prhdictifs devrait permettre d’ambliorer le confort postop&atoire. Le but de ca travail a 6th d’&aluer I’incidence de ces diikents facteurs. Mat&iel et m&odes : 300 patients adultes cons&cutifs, ASA 1-3, ont &b Bvalu& avant et apr& la chirurgie (toutes spkialit&s). L’interrogatoire a recherchb des a&&dents da lombalgies frbquentes et, s’il existait des lombalgies en pr&op&atoire immbdiat, leur intensitb Btait not& sur w EVA (l->lO). En postqkatoire, I’interrogatoire et la cotation kentuelle des douleuts lombaires &aient r@&s au plus tard le matin de Jl. Si les lombalgies avaient les m&mes carackkistiques et la meme intensitb en postop&atoire qu’en prbpkatoire, ou s’il n’y avait pas de lombalgie, l’erquete n’btait pas poursuivie. Dans les autres cas, la dur& totale ds I’inconfort Btait &al&e jusqu’g J30 si nkessaire. La prbdictibilitb de dii&ents pararn&res a W test&3 par analyse univaribe (~2 pour les variables qualitatfves et rbgression logistique pour les variables continues) suivie dune analyse multivaribe par rbgression logistique pas & pas. FWultats : 161 hornmes et 119 femmes d&e moyen 47* P ans (m f DS) ont &k &udi&. Les durGes d’intervention ant & variables (91 f 61 min). En postop&atoire, 61 patients (20,3 %) ont eu des lombalgies d’intensitb tidiane 5 (espace interquartile [El] 35) qui ont durb de 1 h ZI 20 j (mddiane : 2 j, El : 19 j). Sur ces 61 atients, 31 avaient & install& sur une table ancienne (AL hx ) et 30 sur une table nowelle (Blanco). L’inconfort de la table &it not6 par un seul des 31 premiers, et par 14/30 pour les seconds. Par ailleurs, seulement 20 des 53patients qui prkentaient des lombalgies en pr&p&atoire immediat en avaient encore apr& I’intervention. Cimportance des principaux facteurs prtkktifs est notbe dans le tableau. Discussion : Si les lombalgies postop&atoires sont plus fr& quentes chez la femme: chez le sujet Z& et chez ceux ,qui o”f des ATCD de lombalgles UJ des lombalgies en prkperatolre immbdiat, ii faut savoir c+m d’autres Blbments peuvent entrer en ligne de compte dens la gen&e des lombalgies : position sur la table cu duret.+ du mate& de table si l’intervention se prolonge. A I’inverse, la rachianesthbsie n’est pas responsable de plus de lombalgies que les autres types d’anesthckie (tableau). La qualit de la table d’opbration est u1 facteur & prendre en compte. Lombalgies FACTEURS

postoperatoires hrpe

PRCDlCTtFS

unlvari6e

m

multlvarih p = 0.058

p = 0.011

- ATCD de,kwnbalgis - ANESTHESIE (rachianest~sie' “S auires) - POSlpON SW taMa (d&ubitus dorsal vs autres) _ DUREE intwventiion -TYPE DE TABLE (anchnnel nou~elle) durb intervention c 30 min durb inteweniirm Z 30 min l l

Aucune

p&idurale

n’a ittrj pratiquk

ii 0,bool p = 0,309 0,049 I= = 0,241 p = 0.098 p=O.718 0 = 0.029”

p < O.OQl p >O.lO p = 0,051 ;::;i 0 so.10

dans cette &rie.

* Un test de t cornparant les dur&s d’intetvention dana les

dew grwpes (tables anciennes/nowelles) montrb que la duke btait significativement tables anciennes 00 l’on retrowe m&s

DE LA SFAR

a paradoxalement sup&ieure avec les de lombalgies.

Complications

de I’anesth&ie

- caliochirurgie

CHIRURGIE AORTIQUE ABDOMINALE (CAA) : LA CARDIOMEGALIE PRE-OPERATOIRE EST UN PREDICTEUR INDEPENDANT D’INSUFFISANCE VENTRICULAIRE GAUCHE (IVG) POST-OPERATOIRE. A: Karayan J, Dhoste K. Thomas D, Fusciardi J. Dc~pnrtemar~t d’nrrc.rti,C.sie-r$ar/inmtiorl. CHU Poitietx

Declerck

INTRODUCTION : he FEVG abaiske est un pr&dicteur d’TVG post-operatoire lors de la CAA (N Engl J !\ htl 199-l ; 330 : 663-9). Bien qu’un index cardiothoracique (ICT) > 0,5 indique une FEVG < 40% chez plus de 70% des insutIisants coronaires, seuls, Forster et al (.hr 7’horac Swg : 1986 ; 4 1 : 42-50) ont n~ontrk me association entre ICI’ pr&op&atoire et IVG postophhrr. 1,~ bul dc notre etude &ait d’haluer plusieurs Ihctcurs e( wrlables prL;-op&atoires, incluant XT, dans la @diction de I’IVG aprh CAA MATERIELS ET METHODES : Pendant 52 mois, 228 pnticnts conskutilk admis pour CAA r&Ike, sans IVG tl&~1iilk3ts~c. out ti(ti tiludiks prospectivement. Pour chacuil &ieiil relc\fL;s dpe. antCcedent d’infarctus du m!.ocartle. tl’IVG aigu?, ICT > 0,5 ou non, IlypokinCsie rL;~~o~ile d 1’1~7‘1‘. I-‘EVG isotopiqiie < 50% 011 non. I .hiiesth&ic, lc monitorage per et post-op&atoire (cathkter de Snw-Ganz el a~lalyse du segment ST), le traitement “ngressif’ ties anomalies hhodynamiques et ischhiques, In ventilniioii e1 I’niinlgcisie post-ophatoires Ctaient standardids. l,‘IVG Ctalt dktinie par des signes cliniques ct mdiologiques tl’ocdL:me pulmonaire et soit une PAP0 > I8 numHg SOI~ une rCponse positive aux diurktiques et/au support inotropc. L.es rtisultats ont Lit6 &tudi& par analyse statistique uni (test de Fischer et de Wilcoxon) et iiirllti\wi&z (regresshi Iogistique pas ti pas). RESULTATS : IC clanlpage aortique a ktt? surtout sousrtinal (93%). I.‘IVG post-oltiraloire est apparue chez 20 patients (8.8%) sails d&h en rapport. Variables II avec IVG et Analyse Analyse unirariCe multivariCe p/OR P 0,Ol NS NS NS 0.00001 0,0023/10,775 O.OOl2 NS 0.0003 NS 0.0002 0:0197/3,718 NS NS I:]. w; < jO”%, .,/-I7 0,02 NS DISCUSSION : Notre crutlc molltre quc I’ICT > 0,5, crltkrc s111lplc CI konomiquc. cst tm dss signes prkop~ratoircs Its pIi l~uissaiits tl’lVG post-olkratoire, bien ~IIC‘ S:I mcsurc dimi Ic c!.cIc’ cartliaque soil aleatoire.