Surveillance des sondes d'intubation endotracheales (sit) par reflexion acoustique en reanimation neonatale

Surveillance des sondes d'intubation endotracheales (sit) par reflexion acoustique en reanimation neonatale

Communications 227s affichCes PO25 Rhf~mrtrion DEVENIR A L’AGE SCOLAIRE DES ENFANTS NES A UN AGE GESTATIONNEL INFERIEUR A 32 SEMAINES. J Siiun. C L...

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Communications

227s

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PO25 Rhf~mrtrion DEVENIR A L’AGE SCOLAIRE DES ENFANTS NES A UN AGE GESTATIONNEL INFERIEUR A 32 SEMAINES. J Siiun. C LB Pommekt, ML Lemoirw, 0 Louam. G Cornec.L de Paracau Unit6 de Animation p@diatriqw CHU, 29609 BREST Peu de donn&s sent dispomMes en Francs sur le devenlr A Mge scolalre des enfants n&s Ddmatur6ment. Le but de ce travail es1 de ~rhser le d&ebppemsni intellectuel et I’insertlon scolarre des enfants indem& d’lMC POPULATION: 63 pr6msfur6s d’AG < 32s admis en 1964105 en r&nimation et ayant surv4cu b la F&ode n&natale (AG: 30.06 f1.21~; PN: 1386 f 2679; inborn 60%; male: 38,7%, RCIU: 4,696; MMH: 32%; europ8en: 96.4%). METHODE: Bilan r&Ii& consultation DBdiatrioue et ORL, audiom&rre, cl4 tage vtsuel par &h&k de Mower, W&-R. RES %’ TATS: 1 enfant d-6 de molt subite soit 62 scrfivents. 4 perdus de vue toukment 164%). 51 eMants revus et n~uvelle~ 4cdres obtenues pour les 7 restants. 12 enfants s”r 58 (20%) pr4sentent we IMC: Les ant6cBdents de l&wn parenchYmsteuse c6r6brale w Ie sexe male som les fecteurs de riswe retenus ip< 0.05). Chez 185 enfants illdemnes d’lMC (r!= 46): - Scolsrisatlon: “ormale (n=32), retard de u” an (n=9). dew s”s (n=Z), no” insertion ln=31. _ WI&l: gSf15.3 (verbal 95,2*l5,9; performance: 95,9*14). Parmi Ies parati~res n6onstaux &dies IMMH. HIV, RCIU, AG<3Os, ssxe et provenance), &s Ies ant&dents de lesion parenchymsteuse &6brale ~nflue sur la valeur du Wise-R. Par contre. le Wise-R depend du niveau social 81 Scolaire des parents: ~ ~-,-~ i ,.Mraeud-.cd, -n-*-see

EVALUATION DE LA PRISE EN CHARGE DES DETRESSES RESPIBATOIRES DANS UN SERVICE D’URGENCES PEDIATRI UBS : A PROPOS DE 948 CAS. 2,V Gand, L Delhap’, D Fe+, P Mitmbnoff? E z?yF &vice dea Urgences peditiques ; 2Unite des Malades Reapiratoires de l’mfsn. CHU Charles Niwlle. 7603031Rouen a&x. P&eqsis

prtmi&e

: la bronchiolite

cause identifiee

ai8tle et la crise d’asthme reptisentent (16.5 %) d’aceueil aux urgences pediatriques

la des

h6plIauX. Objeaif : Analyrr et tvalua en fonaion Oes factcurs de rkqus habits& dbiu. de la population PccueiUie. la priae en charge des d&nsses respiratoircs. lrutrct de la SaO2 initiale. du Peak Plow dans la decision

d%@talis&ion.

Pt@dtion : 940 enfanls dc 1 b 17 am de 01/l I,94 au 3GQ4r95. Statirtiauea : time al&loin permeftant l’&ude de 223 enfams : 100 ey et 123 isthnws. Te-+ de chi2, tests ncm parar@iqws. m : age : 7.5 * 5 mcm : 80 % sent ImspiUlilits (H). 36.7 % sent VRS+, sana influence sur H. Les facteurs infl~ant (Ii) soot : &e adress par an medecin (p = 0.003). I’& inf&ieur i 3 mois @I= 17 % : 96.1 % H), la pr&ence de ronchi

(o = 0.0003). PB > 5O/mn (p = 0.015), lbypoxie ioitiale @ = 0.002). le &r-a silver-man > 4 @ = O.iJ2). 71 4b ant -i-+r en traitemem h domicile (SO.6 % dm B2+ et 38 % des corticoides) qui n’influe p sur H. La dule de H = 5.1 f 4.8 i Ii& au @me Bae. Lx taw. de rechute dans les 10 jOUrs

= 1%. la mortal& est n&. v sw( f&riles.

-

: Qe = 5.9 f 4.4 am soit une population jeune, 38 96 Les fadeurs influsm H (47.1 %) soot : one arriv& eotre 12.

18h. hospitalisation pat&ieure (n = ‘61 40; in = 0.029). l’existewe d’uo bremau (T~Q de food (p = 0.04s). une maw&e mm&rice k ce Ttt h = 0 MS. I'inhialipatim d’un Ttt au domicile (0 = 0.035). 41.5 % Sent > ._._ ._ __ ,“. ,” _.._ _- -~_ ___sde h non rtpome de ces critkres au m influencenc ti. its Ttt rqus aux urgmces : 5.7 46 terbutdine SC, 52.4 W me dbulisadon de 82 puis 48.4 I H ; 47.5 70 dew nebulisadons puir 44.8 % H, 0.8 C 82 IV. D&e H : 3.5 f 3.5 j li& aux ant@dents. Li tans de rechute & IO jours est de 5.1 ‘k. La mwtalite (dam la r@on) eat rarlk. 2 H en r&nimation.

d’lMC est globa&ent aatislaisant. Le d&eloppement intellectuel es1 UmAemeni Ii6 B I’environnemsnt familial. Travail IhenCe en partie par un confrat da ,-e-dmrche de la ,=ondsfkn pour/a ktmrche Mdkak.

PO24 RPanimufiorz SURVEILLANCE DES SONDES D?NTUBATION ENDOTRACHEALES (SIT) PAR REFLEXION ACOUSTIQUE EN REANIMATION NEONATALE. P-H. Jarreau, B. Louis, L. Desfrere, M. Farbat, J-P. Relier, G. Moriette. Service de M&e&e n&matale de Port-Royal, CHU CochinPort-Royal, Paris: INSERM U296. Crdteil. Inr : I’obstruction, m&me paruelle. de la SIT. compromel l’ef~cacite de la ventilation mkanio\re et aueroente le travail resDiratoire du patient. La surveillance non-invasi;e de pe&+ahilid de la SlT‘permettrait d’tviter des aspirarions inutiles oo des extuhations-~inmbations d’urgence pour suspicion d’obstruction tmportante. Nous avons r%alu6 la faisabiiiti de l’utilisation chez le nouveau-o6 d’une nouvelle m&hode permettant de dttectex, de lozliser et de quantifier les obstmcuons des SlT &!t~& : on signal acoostique sous forme d’impulsion est envoy6 dam la SlT. L’analyse de la &l&m de cette impulsion, mesurde a l’aide de 2 captam de pression. permet le calcol de la surface des sections dmltes de la SlT tout au lone de celle-ci. Nous avow Wis6 des &odes en laboratoire stu des SIT de 2,jet 3 mm de diambue inteme, artificiellemen~ obst&es. Ces mesures acoustiqw ant et.4 compar&s aux valeurs obtenues par mesure dire&e de I’obstruction. Dam le cadre drone etude de faisabilite chez le patient, nous avons meswt in viva, avant et apri% aspirations par on kin6sithhapeute. SUI one r&ode de 8 iours, les surfaces des SIT de 8 nouveau-its intub& avei une sonde de 2.5 mm. Lea rdsultats ant et6 amlys5.s ind@endamment de I’obxwation chruque et confront& k posteriori b l’appr&iition de l’aspiration en termes d’abondaoce et de viscosit6 m :u : 1) en dehora des zones de transiuon abruptes, les meaures obtenw par la methode acoustique sent hien corr-%es aox valeurs r&lles : la moyenne des diff&ence entre les dew. mCthodes est de O,CCMYcd (soit de l’ordre de 1% de la surface de la sonde) * O,OC05 cm2 ; la cot~&lation en&e les dew m&hodes est excellente (12 = 0.94, p < 0.001) le svsti?me est suffisammeat sensible oour d&ecter des variations d’aire de 6 dqlu est la plus faihle obstruction t&t& (soit 3 % en terme de diam&ce); 3) la mdthode eat reomductible, aver un coefficient de variation tnfeneur a 0.5 &. ,!u&z : 1) ia m&ode est non invasive, rapide (tibranchement du respirateur quelques secondes) et facile d’utilisation ; 2) elle est reproductihle d’uo jotu 2 l’autre (coefficient de variation inf6neur a 6 % in situl : 31 la m&ode oermet la d&ection. la localisation et la auaoufication des;b&tcfions. r I&&-& : Cette etude ptiliminatre d6monue que la tiflexion acousuque est ooe m&hode raplde, fiable et sensible pour appr&ier I’obstrucuon des sondes trachr%des de petit calibre.

ConclUsirn : La cbmuarakm au domItes de la lilttntun monm clue la p&c, ep charge de l’isthme b Rouen coeceme au& une population jeuoe mlahwsant l’int&@t du PF aax utgences. Nos r&ultats contirment la difficultt de dtfmir un score de graviti. pes de &m&s enistent pour les bamchkdites. Au total. la prise en charge des DR ainsi que I’utilisation des difftmtts crittres de gravitts est corncte..

Rkmimation EFFICACITE DE L’UTILISATION PREVENTIVE DU SURFACTAN’I NATUREL SUR LES HEUORRAGIES INTRAVENTRICULAIRES (HIV): ANALYSE DE TROIS ESSAIS PREVENTIFS VS CURATIF. H. WALTll, J. LlAW2, G. BREART2, G. BEVlLACQUA3, J. EGBERTS4. Service de M&&e n&nstakl et unit& INSERM U-l 4g2, CHU Cochin, F’sris, France. Universit6 de Parme3, ltalie, et ds Leiden4, Holknde. . Introduction. Le choix de la strategic preventive (P) ou curative (C) d’administration des surfactants naturek (SN) est controvers8. Cependant, la meta-analyse des 7 essais P versus C suggdre une plus grsnde efficacitC de la P sur la mortalit6, les PTX, la DBP chez les survivants. et les HIV [l-41. . Buts de I’&ude. Dam une m&a-an&se I’h&&og&n6lt6 des essais put amcnsr & wr w sws-estimer les r6sultats. Ces biais d’analyse sent en grandc partie annul& si on combine les resultats individuels des differeMs essak sur une r&me bass de don&s. Nous avons ainsi combi+ ks r&sultats be 3 essais P versus C r&alis&s avec un SN porcin (Curosurf). Nous rappertons ici vliquement ks r6sultats de I’efficacitd de I’utilisation prCventive du Cwosurf our la solvenue des HIV. . MCthodc. Les 3 essak ant et6 r&aliSes dsns 4 psys, la Hdknde (H) et Is Suede (S) pour le premier, la Fnnce (F) et I’ltalie (I) pour les dew autw. 671 NN (345 Pet 326 C) cnt 6th enrbl6s. Les 2 gmupes Pet C avaiwt dss ca&t&istiiues p&inst.&s corqmnbks. Les &n&es ant 6t6 sndy&s pays pr pays puis combin6e.s. Lss rCsuitats sent present&s mvs oar me. cornbinls. wis aiustCs sur les vsrkbks confwdsntes. ;~*R&u&t&~ &ds-Rstg(OR)-et d’intewalle de confiance (0 a 95%. H ComblM Cosff.Han I F S HIV 0,89 0.62 0,66 0,26 0.63 p- 0,47 [l-4] 0.35-2.32 0.36.1.00 0.40~1,,40,07-1.93 0.46.0,67 0,59 p= 0.06 HIV 1,03 0,79 0,16 0,47 [3-41 0.29-3.71 0,43-1.47 0.05-0,500.04-5,43 0,37-0,97 Les r&sultats psr psys sent homoglrnes pour les HIV [l-41 et I’ajustement dorms u1 r&s&at peut diffCrent OR - 0,68 [0,48-0,961;. pour ks HIV 13-41 ils sent h&&o&ms et influen& par ks r&ultsts F. Une snslyss des NN “outborn” montre qu’apr& ajustement pour I’intsrsction emrc P et NN”inbom” I’OR est de 0.11 [0,02-0.511 pour ks NN outbom. . Conclusion. La fr6quence gkbole des HIV est r&d&e per I’utilkaticn p&wntive du Curowf. La rbdwtion des forroes s&&e d’HlV est psrticuliLremant imp&ante pour les NN outborn.