Tumeurs frontières de l’ovaire. Recommandations pour la pratique clinique du CNGOF – Méthodes et organisation

Tumeurs frontières de l’ovaire. Recommandations pour la pratique clinique du CNGOF – Méthodes et organisation

Journal Pre-proof Tumeurs fronti`eres de l’ovaire. Recommandations pour la pratique ´ clinique du CNGOF – Methodes et organisation C. Huchon N. Bourde...

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Journal Pre-proof Tumeurs fronti`eres de l’ovaire. Recommandations pour la pratique ´ clinique du CNGOF – Methodes et organisation C. Huchon N. Bourdel E. Dara¨ı

PII:

S2468-7189(20)30043-X

DOI:

https://doi.org/doi:10.1016/j.gofs.2020.01.023

Reference:

GOFS 3255

To appear in:

´ ´ ´ Gynecologie Obstetrique Fertilite´ & Senologie

Please cite this article as: Huchon C, Bourdel N, Dara¨ı E, Tumeurs fronti`eres de l’ovaire. ´ Recommandations pour la pratique clinique du CNGOF – Methodes et organisation, ´ ´ ´ Gynecologie Obstetrique Fertilite´ and Senologie (2020), doi: https://doi.org/10.1016/j.gofs.2020.01.023

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Tumeurs frontières de l’ovaire. Recommandations pour la pratique clinique du CNGOF – Méthodes et organisation Borderline ovarian tumours: CNGOF Guidelines for clinical practice – Methods & Organization C. Huchon1,*, N. Bourdel2, E. Daraï3. 1. Service de gynécologie & obstétrique, CHI Poissy-St-Germain-en-Laye, Université VersaillesSaint-Quentin en Yvelines, 10, rue du champ Gaillard, BP 3082, 78303 Poissy cedex, France. 2. Service de Chirurgie Gynécologique, CHU de Clermont Ferrand, 1 Place Lucie Aubrac, 63 003

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Clermont Ferrand., France 3. Service de Gynécologie-Obstétrique et Médecine de la Reproduction, Hôpital Tenon, Assistance Publique des Hôpitaux de Paris (AP-HP), Institut Universitaire de Cancérologie (IUC),

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Centre CALG (Cancer Associé à La Grossesse), UMRS-938, Faculté de Médecine UPMC,

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Sorbonne Université, France. * Auteur correspondant

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Electronic adress: [email protected].

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Cyrille HUCHON, Nicolas BOURDEL et Emile DARAÏ n’ont pas de conflit d’intérêt à déclarer en rapport avec ce travail.

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Résumé Ce texte présente les caractéristiques méthodologiques et organisationnelles de la rédaction des recommandations pour la pratique clinique portant sur la prise en charge des tumeurs frontières de l’ovaire. Abstract This text presents organizational and methodological aspects of the development of the French

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guidelines on the management of borderline ovarian tumors. Mots clés: Tumeur frontière de l’ovaire; méthodologie; recommandations pour la pratique Clinique

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Keywords: Borderline ovarian tumors; methodology; practice guidelines

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Introduction L’objectif de ces recommandations pour la pratique clinique (RPC), promues par le Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français (CNGOF), était d’améliorer les pratiques des professionnels de santé concernant la prise en charge des tumeurs frontières de l’ovaire. Ces recommandations sont destinées aux professionnels de santé impliqués dans le diagnostic, le traitement initial et le suivi des patientes atteintes d’une tumeur frontière l’ovaire : chirurgiens,

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gynécologues médicaux, gynécologues-obstétriciens, oncologues médicaux, anatomo-pathologistes, médecins généralistes et radiologues. Matériel et méthodes

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La Haute Autorité de Santé (HAS) a défini un certain nombre de principes méthodologiques

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que nous avons adoptés pour élaborer ces RPC [1,2]. Notre méthodologie répond aux critères de qualité recensés dans la grille d’évaluation de la qualité des RPC (dérivée de la grille AGREE II) [3].

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Le promoteur de cette RPC était le CNGOF. Le conseil scientifique du CNGOF a désigné le coordonnateur et le méthodologiste de cette RPC et son président a été désigné par le conseil

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d’administration du CNGOF. Une première réunion a permis de structurer les questions cliniques en chapitres thématiques et de proposer des experts pressentis pour la rédaction des chapitres. Un calendrier prévisionnel des grandes étapes du projet a également été défini avec trois réunions présentielles subséquentes du groupe de travail pour l’élaboration des recommandations. Une réunion présentielle a dû être annulée à cause d’une grève des transports et transformée en réunion téléphonique.

Onze chapitres ont été définis : Chapitre 1 : Biopathologie des tumeurs frontières de l’ovaire. Chapitre 2 : Aspects épidémiologiques et facteurs de risque des tumeurs frontières de l’ovaire.

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Chapitre 3 : Imagerie des tumeurs frontières de l’ovaire. Chapitre 4 : Pertinence des marqueurs tumoraux pour les Tumeurs Frontière de l’Ovaire Chapitre 5 : Prise en charge des tumeurs frontières de l’ovaire au stade précoce. Chapitre 6 : Prise en charge des tumeurs frontières de l’ovaire au stade avancé. Chapitre 7 : Facteurs de risques de récidive de tumeur frontière de l’ovaire, modalités de surveillance et intérêt d’une chirurgie de clôture.

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Chapitre 8 : Diagnostic et prise en charge des récidives des Tumeurs Frontières de l’Ovaire. Chapitre 9 : Grossesse et tumeur frontière de l’ovaire.

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Chapitre 10 : Prise en charge de l’infertilité et Préservation de la fertilité en cas de tumeur

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frontière de l’ovaire.

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Chapitre 11 : Contraception et THM après tumeur frontière de l’ovaire. Les critères de sélection des preuves étaient clairement décrits. Seules les méta-analyses, les

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essais randomisés, les études comparatives et les grandes cohortes ont été retenues pour les recommandations de Grade A ou B. Sélection bibliographique

Ce travail s’appuie sur une revue exhaustive de la littérature jusqu’à la date de juin 2019. Les

équations de recherche ont été définies par les experts. Les bases de données consultées étaient : PubMed, Medline, Cochrane library, Cochrane database of systemactic reviews, EMBASE, US National Guideline Clearinghouse, guidelines, RCOG, ACOG). Les équations de recherche utilisées sont présentées dans chaque chapitre. Les experts rédacteurs ont synthétisé la littérature pour chacune des questions abordées Niveau de preuve scientifique (NP) et grade de recommandations (Tableau 1) :

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Chaque article sélectionné par les experts a été analysé selon les principes de lecture critique. Les conclusions des articles sont ensuite libellées de façon synthétique et un niveau de preuve a été affecté selon l’échelle proposée par la HAS (Tableau 1). La méthodologie de la HAS ne prévoit pas de niveau de preuve pour les études épidémiologiques, diagnostiques et thérapeutiques. Des grilles traduites et adaptées du Center for Evidence Based Medicine (CBM) d’Oxford ont été utilisées (http:\www.cebm.net) dans ce cas. Le Tableau 2 donne l’exemple des niveaux de preuve pour les études diagnostiques.

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Sur la base de cette analyse de la littérature, le groupe de travail a proposé, chaque fois que possible, des recommandations. Selon le niveau de preuve des études sur lesquelles elles sont fondées, les

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recommandations ont un grade variable, coté de A à C selon l’échelle proposée par la HAS (Tableau 1). Dans un certain nombre de cas, et en particulier devant la faiblesse de la littérature retrouvée sur

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certaines questions traitées dans le cadre de ces RPC sur les tumeurs frontières de l’ovaire, nous avons

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jugé utile de préciser nos limites en signalant clairement l’incertitude dans les RPC. L’intérêt d’une telle attitude est de ne pas valider ou, à l’inverse, de condamner implicitement des attitudes nouvelles ou

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bien répandues en pratique ; mais plutôt d’inciter la réalisation d’études cliniques appropriées. Relecture externe

Les propositions de recommandations et l’argumentaire complet ont été relus par 25 relecteurs sur 53 sollicités d’octobre à novembre 2019. Les relecteurs ont été identifiés par le Comité d’organisation de ces RPC.

Ces relecteurs ont été sollicités par mail et leurs retours se sont fait par format électronique. En novembre 2019, après analyse et discussion des commentaires du groupe de lecture, les recommandations initiales ont été dans certains cas modifiées par le groupe de travail. En cas de recommandation fondée sur un niveau de preuve élevé (grade A ou B), le groupe de travail a pris en compte les commentaires pertinents pour améliorer la forme, et a éventuellement apporté des modifications sur le fond, s’il y avait lieu, en fonction des données supplémentaires

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fournies (article ou données de pratique) avec parfois une modification du grade de la recommandation si nécessaire. Pour les recommandations fondées sur un faible niveau de preuve (grade C), lorsque le groupe de relecture confirmait nettement le caractère approprié de la recommandation, la recommandation était conservée et les commentaires pertinents étaient pris en compte pour améliorer la forme. Lorsque le groupe de relecture était plus largement indécis ou en désaccord avec la recommandation initiale, le groupe de travail a discuté de la pertinence des commentaires et modifié s’il y avait lieu la recommandation. Quand les débats en réunion ont fait

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apparaître des divergences de points de vue, un vote en séance du groupe de travail a confirmé l’abandon ou la formulation finale de la recommandation modifiée.

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Patients concernés par cette RPC

Ces recommandations concernent les patientes adultes atteintes d’une tumeur frontière de l’ovaire.

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Professionnels de santé concernés par cette RPC

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Ces recommandations sont destinées aux professionnels de santé impliqués dans le diagnostic, le traitement initial et le suivi des patientes atteintes d’une tumeur frontière de l’ovaire: chirurgiens,

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gynécologues médicaux, gynécologues-obstétriciens, oncologues médicaux, anatomo-pathologistes, médecins généralistes et radiologues. Modalités de diffusion

La clarté et la présentation ont été soignées. Les recommandations clés seront facilement identifiables sous la forme d’une synthèse rappelant les recommandations de grade élevé. Ces recommandations seront présentées aux journées de Paris Santé Femmes de janvier 2020. Sur le site internet du CNGOF, les recommandations sur la prise en charge des tumeurs frontières de l’ovaire seront mises à disposition en ligne en accès libre. Gestion des liens d’intérêt des experts.

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Les experts du groupe de travail sont sollicités intuitu personae et non en qualité de représentant d’un organisme, d’une société savante ou d’un groupe de professionnels. Les principes de prévention et gestion des conflits d’intérêts sont fixés par : i/ la loi 2011-2012 du 29 décembre 2011 sur le renforcement de la sécurité sanitaire du médicament et autres produits de santé ; ii/la charte de l’expertise sanitaire, décret n°2013-413 du 21 mai 2013 ;

concernant

disponibles

dans

la

base

(https://www.transparence.sante.gouv.fr).

«

Transparence

santé

»

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Conclusion

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Les déclarations d’intérêts des auteurs sont présentes dans leurs textes et les informations les

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Ces recommandations devraient aider tous les professionnels de santé à mieux prendre en

Remerciements

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charge les femmes présentant une tumeur frontière de l’ovaire

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Les auteurs remercient les relecteurs :

J. Alexandre (oncologue, CHU, Paris), Y. Aubard (gynécologue-obstétricien, CHU, Limoges), C. Akladios (gynécologue-obstétricien, CHU, Strasbourg), FX. Aubriot (gynécologue-obstétricien, libéral, Paris), AS. Bats (chirurgien gynécologue, CHU, Paris), L. Benoit (interne, Paris), JL. Benifla (gynécologueobstétricien, CHU, Paris), P. Berveiller (gynécologue-obstétricien, CHI, Poissy), M. Canis (gynécologueobstétricien, CHU, Clermont-Ferrand), X. Carcopino (gynécologue-osbtétricien, CHU, Marseille), N. Chabbert-Buffet (endocrinologue, CHU, Paris), J. Dubuisson (chirurgien gynécologue, HUG, Genève), L. Fournier (radiologue, CHU, Paris), C. Genestié (anatomo-cyto-pathologiste, CLCC, Villejuif), F. Golfier (gynécologue-obstétricien, CHU, Lyon), A. Guivarch (gynécologue-obstétricien, PSPH, Rennes), T. Hebert (gynécologue-obstétricien, CHU, Tours), M. Mezzadri (gynécologue-obstétricien, CHU, Paris), C. Mimoun (gynécologue-obstétricien, CHU, Paris), A. Jalaguier (radiologue, CLCC, Marseille), V. Lavoué (Gynécologue-obstétricien, CHU, Rennes), MA. Le Frère-Belda (anatomo-cyto-pathologiste, CHU, Paris), G. Legendre (gynécologue-obstétricien, CHU, Angers), D. Toth (gynécologue-obstétricien, mixte, Brive-la-Gaillarde), LP. Tran (interne, la Réunion)

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RÉFÉRENCES [1] Rédaction de l’argumentaire scientifique - Élaboration de recommandations de bonne pratiqueet des recommandations - Fiche méthodologique de la HAS - Décembre 2010. [2] Méthode Recommandations pour la pratique clinique - Élaboration de recommandations de bonne pratique - Fiche méthodologique de la HAS - Décembre 2010. [3] Grille d’évaluation de la qualité des recommandations de bonne pratique (dérivée de la grille AGREE

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II). Fiche Méthodologique de la HAS - Juin 2011.

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Tableau 1. Niveau de preuve de la littérature scientifique et gradation des recommandations selon l’HAS. Niveau de preuve scientifique fourni par la littérature (études thérapeutiques)

Grade des recommandations

Niveau 1 Essais comparatifs randomisés de forte puissance.



Méta-analyse randomisés.



Analyse de décision basée sur des études bien menées. Niveau 2



Essais comparatifs randomisés de faible puissance.

comparatifs

Études comparatives non randomisées bien menées.



Études de cohorte. Niveau 3



Études cas-témoins.

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Niveau 4

B Présomption scientifique

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d’essais

A Preuve scientifique établie

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Études comparatives comportant des biais importants



Études rétrospectives



Séries de cas.

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C Faible niveau de preuve

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Tableau 2 : Niveau de preuve des études diagnostiques, adaptée de la grille du CEBM Oxford (Source : www.cebm.net) Méta-analyse d’études de cohortes de validation

Niveau de preuve 1

Etude de cohortes de validation avec de bons standards de référence Méta-analyse d’études de cohortes exploratoires

Niveau de preuve 2

Etude de cohortes exploratoires avec de bons standards de référence

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Etude de sujets non consécutifs ou sans Niveau de preuve 3 application homogène du/des standards de référence

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Etude cas-témoins avec mauvais ou sans standard Niveau de preuve 4 de référence indépendant

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