biomed
| actualités
agenda virologie
Obesity Week
Zika : mode de contamination hors norme
31/10-4/11/2016 La Nouvelle Orléans http://obesityweek.com
Ce mode de contamination n’est pas passé inaperçu des lecteurs du New England Journal of Medicine : des médecins français ont publié un cas de contamination qui fait de l’infection à Zika une IST, puisque transmission possible par ce qu’on nomme pudiquement oral sex.
7-9/11/2016 Cologne (Köln) https://ebdgroup/knect365.com/bioieurope
Colloque international cancers et nanotechnologies 9-10/11/2016 Paris Bourse http://www.e-cancer.fr/Actualites-et-evenements/ Agenda/Nanotechnologies-et-recherche-en-cancerologie [inscription obligatoire]
MEDICA 2016 16-19/11/2016 Düsseldorf www.medica.de
Semaine mondiale pour un bon usage des antibiotiques/ World antibiotic awareness week
© anyaberkut/Fotolia.com
Les auteurs 1 (Paris, Marseille, Saint-Maurice, Service de santé des Armées) rappellent que le virus peut être transmis par le sperme, il y persiste jusqu’à 2 mois après la contamination initiale. La transmission par rapports sexuels conventionnels a déjà été montrée. Le cas est celui d’une femme de 24 ans, de Paris, en bon état de santé avant apparition des symptômes d’infection à Zika. Elle a eu des rapports sexuels à 7 reprises avec un homme de 46 ans, dont on a su qu’il avait eu une infection à Zika lors d’un séjour à Rio de Janeiro, les symptômes s’étant résolus à son arrivée à Paris. Sur une période de 10 jours, il a eu avec la jeune femme 7 rapports sexuels impliquant un rapport vaginal sans préservatif et sans éjaculation et un rapport oral avec éjaculation. Il n’y a pas de moustiques vecteurs à Paris, rappelle l’équipe française, et les faits se sont déroulés à une période (février) où les insectes ne sont pas actifs (c’est l’hiver pour eux). La jeune femme a développé les symptômes du Zika au 10e jour de
Bio-Europe (biotechnologies)
16-22/11/2016 www.who.int/mediacentre/events/2015/ world-antibiotic-awareness-week/event/fr/
ces rencontres, qui ont duré une semaine. Des tests salivaires et urinaires étaient positifs pour le virus. En revanche un test sérique et un frottis vaginal étaient négatifs pour le virus, mais des anticorps sériques étaient présents. Chez son partenaire, urines et sperme étaient positifs pour le virus (ses symptômes initiaux remontaient à 16 jours), plasma et salive étaient négatifs. Ces données soutiennent l’hypothèse d’une transmission sexuelle
(orale ou vaginale) du patient à la patiente, nous ne pouvons pas exclure la possibilité que la transmission soit survenue non via le sperme mais via d’autres fluides biologiques, tel le pré-éjaculat ou la salive échangée lors d’un… baiser profond (deep kissing), disent les médecins français. | Y.-M. D.
International severe asthma forum/ ISAF 2016 17-19/11/2016 Manchester www.eaaci-isaf.org
Symposium Infectious diseases in children 19-20/11/2016 New York www.IDC/NewYork.com
Biosimilars Europe congress note 1. Éric D’Ortenzio, INSERM, et coll., N Engl J Med. 2016 ;doi :10.1056/NEJMc1604449.
L’éléphant, vecteur de tuberculose Dans un zoo de l’État d’Oregon on a découvert la source de plusieurs cas de tuberculose concernant au moins 7 des employés et… 3 éléphants. L’inspection était diligentée par le Service de la santé animale et végétale du ministère de l’Agriculture qui a publié des recommandations pour la recherche
22-23/11/2016 Londres www.researchandmarkets.com/research/mv3gdc/ biosimilars
OMS World AIDS Day/ Journée mondiale du sida 1/12/2016 http://www.who.int/campaigns/aids-day/2015/event/fr/
de TB chez les éléphants des zoos, par un prélèvement issu du lavage de la trompe des pachydermes,
Journées de biologie praticienne
permettant la mise en culture de mycobactéries. En mai 2013 le lavage annuel de trompe d’un animal
2-3/12/2016 Paris
a révélé la présence de Mycobacterium tuberculosis. Des tests IDR ou IGRA ont permis de trouver des cas dans le personnel du zoo ayant des contacts étroits réguliers avec les animaux mais n’ayant jamais eu de tests positifs. Deux autres éléphants se sont révélés porteurs de la bactérie. Et des cas de TB (latente) ont été identifiés dans le personnel le plus proche des éléphants. La responsabilité de ceux-ci a été démontrée par la découverte du même pathogène chez l’homme, séquençage à l’appui. Par prudence les 3 éléphants ont été éloignés du public. Source : www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/mm6452a2.htm?s_cid=mm6452a2_x
OptionBio | octobre 2016 | n° 551-552
www.feuilletsde biologie.fr
RICAI 2016 (chimiothérapie anti-infectieuse) 12-13/12/2016 Paris www.ricai.fr
11