GYN7 IRM des peritoneoceles

GYN7 IRM des peritoneoceles

APPORT DE L'ETUDE DYNAMIQUE DE LA PRISE DE CONTRASTE EN IRM POUR EVALUER LA REPONSE A L'IRRADIATION DES CANCERS IB1 DU COL UTERIN S TAIEB, L CEUGNART,...

1MB Sizes 0 Downloads 132 Views

APPORT DE L'ETUDE DYNAMIQUE DE LA PRISE DE CONTRASTE EN IRM POUR EVALUER LA REPONSE A L'IRRADIATION DES CANCERS IB1 DU COL UTERIN S TAIEB, L CEUGNART, B CASTELAIN, C FOURNIER,A CHEVALIER, E LEBLANC - FRANCE LILLE Objectifs : Etudier les différents types de prise de contraste au temps précoce lors de l'étude dynamique de la prise de contraste en IRM (EDC-IRM) et évaluer son importance dans la prédiction de la réponse à la radiothérapie dans un groupe homogène de tumeurs < à 4 cm. Matériels et méthodes : Dix-huit patientes consécutives (age moyen 43,6) de 1996 à 2002 présentant un cancer classé stade IBl du col utérin, traité par curithérapie (60 G) et chirurgie 6 semaines plus tard. Les examens IRM réalisés comprenaient : une séquence en pondération SE-T2 dans les 3 plans de l'espace et une étude dynamique après injection en bolus de produit de contraste. Ont été mesurés : le volume tumoral, le temps pour atteindre l'amplitude maximale, l'intensité maximale du signal avant, en fin, 30 et 60 sec après l'injection ; le rapport entre l'amplitude de signal maximum avec le signal de base, et les rapports entre le signal tumoral et le signal du stroma cervical, ainsi qu'entre le signal tumoral et un signal musculaire pris comme témoin au temps O et au pic d'amplitude. Résultats : Huit patientes présentaient une persistance tumorale histologique après l'irradiation. Deux ont présenté une réévolution locale, et 2 une évolution métastatique pulmonaire. Aucun des critères mesurés n'a montré de différences significatives selon les groupes de patientes. Conclusion : Nous n'avons pas confirmé par ce travail les résultats des études antérieures. Les raisons sont multiples, la plus importante semble être la différence de population étudiée et notamment le petit volume lésionnel de nos tumeurs. D'autre part, il manque une standardisation des examens, des prises de mesures ainsi que de leur analyse. Mots clés : Utérus, tumeur maligne - Radiothérapie - IRM

APPORT DE L'ETUDE DYNAMIQUE DE LA PRISE DE CONTRASTE EN IRM POUR EVALUER LA REPONSE A L'IRRADIATION DES CANCERS INFERIEURS A 4 C M DU COL UTERIN

Objectifs : Etudier les différents types de prise de contraste au temps précoce lors de l'étude dynamique de la prise de contraste en IRM (EDC-IRM) et évaluer son importance dans la prédiction de la réponse à la radiothérapie dans un groupe homogène de tumeurs > à 4 cm. Matériels et méthodes : Quarante-deux patientes (âge moyen 48,6) de 1999 à 2001 ; stade > 1B2 du col utérin, traité par chimiothérapieradiothérapie (37), radiothérapie seule (5). IRM : SE-T2 dans les 3 plans de l'espace et étude dynamique aprés contraste. Ont été mesurés : le volume tumoral, le temps pour atteindre l'amplitude maximale, l'intensité maximale du signal avant, en fin, 30 et 60 sec après l'injection ; le rapport entre l'amplitude de signal maximum avec le signal de base, et les rapports entre le signal tumoral et le signal du stroma cervical, ainsi qu'entre le signal tumoral et un signal musculaire pris comme témoin au temps O et au pic d'amplitude. Résultats : Recul minimum de 36 mois : 23 patientes en rémission complète, 15 décédées (poursuite évolutive locale : 6, récidive locale euou métastatique : 7, autres causes : 2), 4 actuellement évolutives. Aucun des critères dynamiques mesurés n'a montré de différences significatives selon les groupes de patientes. Le rapport entre le signal

tumoral et un signal musculaire pris comme témoin au temps O et au pic d'amplitude semble lui, être plus intéressant. Conclusion : Nous n'avons pas confirmé par ce travail les résultats des études antérieures. Les raisons sont multiples, la plus importante semble être le problème du choix des régions d'intérêt dans ces volumineuses tumeurs partiellement nécrotiques. D'autre part, il manque une standardisation des examens, des prises de mesures ainsi que de leur analyse. Mots clés : Utérus, tumeur maligne - IRM - Radiothérapie

IRM DES PERITONEOCELES J VILLEVAL (l), M DE GRAEF (1). B CAIRE-GANA (2). C COURTIEU (l), Y AUBARD (2). J-P ROUANET(1). A MAUBON (2) (1) MONTPELLIER - FRANCE, (2) LIMOGES - FRANCE Objectifs : L'examen clinique est pris en défaut dans 50 % des cas environ pour le diagnostic de péritonéocèle. Nous avons voulu illustrer les aspects des péritonéocèles en IRM et déterminer l'intérêt de leur détection pour la prise en charge des patientes. Matériels et méthodes : Revue de 300 IRM pelviennes chez la femme, réalisées pour dysfonctionnement du plancher pelvien (troubles urinaires, et/ou prolapsus génital et/ou dyschésie). IRM 1,5T avec antenne en réseau phasé, séquences statiques pondérées T2 et séquences dynamiques rapides SSFSE ou EG rapide avec balisage rectal. Visualisation vidéo. Analyse de la séméiologie des anomalies du cul de sac péritonéal postérieur (de Douglas). Corrélation avec la clinique et les antécédents chirurgicaux. Résultats : La présentation des péritonéocèles est favorisée par la présence de graisse péritonéale en hypersignal sur les séquences utilisées. Leur contenu peut être graisseux simple, ou du grêle (entérocèle) ou du sigmoïde (sigmatocèle). On réservera le terme d'élytrocèle aux hernies du péritoine postérieur dans la face postérieure du vagin et la cloison rectovaginale. Les séquences dynamiques permettent de démasquer des péritonéocèles invisibles spontanément. La majorité des péritonéocèles sont post-opératoires. Nous présenterons les aspects IRM après correction chirurgicale. Conclusion : L'IRM statique et dynamique permet de détecter les péritonéocèles de façon non invasive. Leur diagnostic est utile en préopératoire des prolapsus complexes. Mots clés : Péritoine, hernie

APPORT DE L'IRM DANS LES MALFORMATIONS UTERO-VAGINALES A MANIFESTATIONS CLINIQUES ATYPIQUES N BOUAZIZ, M CHELLI BOUAZIZ, B KHEMIRI,A JAAFAR, E MENIF, H CHELLI, MF LADEB TUNIS - TUNISIE Objectifs : Décrire les aspects IRM de quelques malformations utéro-vaginales rares en précisant l'apport de cette technique dans le diagnostic. Matériels et méthodes : Il s'agit d'une étude rétrospective de neuf observations de malformations utéro-vaginales confirmées chirurgicalement ayant posé des problèmes diagnostiques. Les explorations ont consisté en une échographie rénale et pelvienne. Une IRM pelvienne a été réalisée chez toutes les patientes. Résultats : Nos patientes étaient âgées de 14 à 27 ans (âge moyen : 21 ans), huit d'entre elles étaient vierges. La consultation a été motivée par des douleurs pelviennes dans 6 cas et une aménorrhée primaire dans 5 cas. L'examen clinique et l'échographie ont permis de suspecter le type de malformation dans 7 cas. L'IRM a permis un bilan précis du siège des anomalies chez 6 patientes, de redresser le diagnostic clinique dans 2 cas. La description était incomplète dans un cas. Les anomalies explorées étaient les suivantes : 3 utérus doubles avec hémi-vagins borgnes, 4 atrésies vaginales dont une avec utérus cloisonné et une avec utérus pseudo-unicorne, une imperfora-