PACS, n’en faites plus un film

PACS, n’en faites plus un film

mesure quantitative de l'inflammation locale et de suivre l'évolution sous traitement. Conclusion : L'imagerie de perfusion, utilisée surtout jusqu'ic...

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mesure quantitative de l'inflammation locale et de suivre l'évolution sous traitement. Conclusion : L'imagerie de perfusion, utilisée surtout jusqu'ici en imagerie cérébrale, est réalisable dans l'évaluation du tube digestif en IRM. Elle donne un nouvel index d'activité inflammatoire reproductible en imagerie. ' Mots clés : IRM, inflammation

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l5h55

Durée : 7 minutes

URO-IRM FONCTIONNELLE : DESCRIPTION DE LA TECHNIQUE ET APPLICATION AU SYNDROME DE JONCTION PYELO-URETERALE (SJPU) F FERET,C LEFORT,J-N DACHER ROUEN- FRANCE Objectifs : Décrire la technique d'URO-IRM fonctionnelle dans le cadre du Syndrome de Jonction Pyélo-Urétérale. Matériels et méthodes : Trente patients adultes ont été explorés sur une IRM Philips Gyroscan 1 Tesla. L'examen se déroule en deux temps. L'exploration morphologique repose sur des coupes TSE T2 SPIR en plans axial et sagittal ainsi que sur des coupes coronales RARE de 40 mm idéales pour la visualisation des voies urinaires dilatées. L'exploration fonctionnelle se fait en FFE-Tl. Une coupe de 8 mm est répétée 110 fois en mode dynamique après injection en bolus de Gadolinium à 0,05 ml/Kg. A 20 minutes, une injection de Lasilix est réalisée pour différencier stase et obstruction vraie. Le traitement de la série d'images DICOM est faite par Image J. Résultats : Une analyse indépendante par deux radiologues a montré une bonne reproductibilité de l'analyse de la fonction rénale et de l'excrétion. La comparaison avec la scintigraphie au MAG-3 montre une excellente concordance en terme de fonction. L'obstruction semble légèrement surestimée par 1'IRM. Conclusion : L'URO-IRM fonctionnelle pourrait à elle seule à courte échéance remplacer l'association de deux examens irradiants et coûteux que sont 1'UIV et la scintigraphie. * Mots clés : IRM fonctionnelle, technique d'exploration

16 h o 5

Durée : 7 minutes

SENOLOGIE INTERVENTIONNELLE SOUS IRM S LASALLE,C LHUILLERY,C DAVID PARIS- FRANCE Objectifs : Etude de la faisabilité du repérage et de la biopsie de lésions mammaires sous IRM 1,5 Tesla à champ fermé. Description du matériel, du protocole d'acquisition des images utilisées, ainsi que du déroulement des examens. Matériels et méthodes : Utilisation d'une IRM 1,5 Tesla associée à une antenne dédiée unilatérale ouverte et d'un logiciel de repérage permettant de localiser la cible dans les trois dimensions de l'espace par rapport à un repère externe. Le guidage précis est donné par un système fixé à la table. L'acquisition est réalisée avec des séquences dynamiques 3D écho de gradient avec injection de gadolinium. Résultats :Cette technique a permis le guidage pré-chirurgical de lésions tumorales infra-cliniques et le prélèvement à visée diagnostique de prises de contraste jugées suspectes selon les critères radiologiques (IRM). En moyenne la durée de la procédure est de une heure et demi durant notre période d'apprentissage. Conclusion : La sensibilité de I'IRM en fait un examen de choix qui trouve sa place parmi les autres examens diagnostiques (marnmographie, échographie). Cependant, la faible disponibilité, le coût actuel des IRM et du matériel, freinent le développement de la sénologie interventionnelle sous IRM. Mots clés : Sein, technique d'exploration

16 h 15

Durée : 7 minutes

EVALUATION DE LA POPULATION DE FEMMES VENUES A L'HOPITAL PAUL BROUSSE POUR REALISER UNE MAMMOGRAPHIE DE DEPISTAGE C NICOLAS, A BILLARD,M-F BELLIN VILLEJUIF- FRANCE Objectifs : Identifier les caractéristiques, les comportements de santé, les critères de choix de l'hôpital et attentes de cette population. Définir à partir de ce profil particulier comment améliorer la prise en charge des patientes pour les soignants. L'objectif final est de donner aux femmes une réponse adaptée à leurs attentes tout en les fidélisant et de mieux répondre au dépistage organisé du cancer du sein. Matériels et méthodes : La méthode utilisée est le questionnaire. Plusieurs items ont été retenus : âge, situation familiale, milieu socioculturel, comportements par rapport à leur santé, critères de choix et appréciation du service. Résultats : Les résultats montrent une population de proximité, hétérogène. On peut cependant individualiser deux types de patientes. La femme plutôt fataliste a plus de 65 ans et a une vision plus pragmatique de sa santé. Elle a une très grande confiance dans le système de santé hospitalier. La femme plus maîtresse de son destin est plus jeune, encore en activité. Elle se fait suivre régulièrement et a réalisé un nombre important de mammographies. Elle a aussi confiance dans le système hospitalier mais a une relation plus exigeante et plus critique. Conclusion : A partir de ces résultats, des recommandations sont éditées. Mots clés : Dépistage, technique d'exploration

16 h 2 5

Durée : 7 minutes

PACS, N'EN FAITES PLUS UN FILM P SANA, M BRAUN,F ZINGRAFF,R SCHOEPP - LUXEMBOURG LUXEMBOURG Objectifs : Bilan d'une année sans aucun film radiologique dans un nouvel hôpital. Matériels et méthodes : Système RISIPACSIWEB 1000, analyse des points de vue des différentes parties prenantes, service d'imagerie, services hospitaliers et correspondants de ville. Résultats : Le service d'imagerie médicale de l'hôpital Kirchberg à Luxembourg n'a produit aucun film radiologique depuis son ouverture en juillet 2003. L'ensemble des partenaires de l'hôpital a accepté et s'est adapté à cette nouvelle philosophie de travail. Conclusion : On peut résumer l'opinion générale, par la remarque d'un chirurgien plutôt sceptique au départ de l'aventure : plus de retour en arrière. Mots clés : Réseaux d'images, technologie

16 h35

Durée : 7 minutes

RESEAU D'IMAGES, NOUVELLE COMPETENCE DES MANIPULATEURS A BAYOL C LEPRETRE, G DORIOL,G SCAMPS PARIS- FRANCE Objectifs : Décrire les différents rôles des manipulateurs depuis l'installation d'un PACS dans l'hôpital : utilisateur, référent, administrateur. Matériels et méthodes : Formation et information sur l'utilisation du PACS. Mise en place de procédures de fonctionnement et de vérification. Résultats : Après trois ans de fonctionnement, la gestion du PACS est assurée par une équipe comportant sept manipulateurs référents (radiodiagnostic, médecine Nucléaire, radiothérapie), deux administrateurs (cadre et chef de projet informatique). Les tâches des référents sont vaxiées : vérification de la cohérence des données et