Integration de donnees externes dans un PACS : circuit organisationnel

Integration de donnees externes dans un PACS : circuit organisationnel

10 h 2 0 Durée : 7 minutes PASSAGE AU PRESQUE SANS FlLM : UNE ETAPE INDISPENSABLE 10 h 4 0 Durée : 7 minutes DU PACS A L'HOPITAL SANS FlLM : L'EX...

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10 h 2 0

Durée : 7 minutes

PASSAGE AU PRESQUE SANS FlLM : UNE ETAPE INDISPENSABLE

10 h 4 0

Durée : 7 minutes

DU PACS A L'HOPITAL SANS FlLM : L'EXPERIENCE DE L'INSTITUT GUSTAVE-ROUSSY (IGR) R SIGAL, C RUELLE, N KOUCHIT, L BOURGOIN, J-L DASILVA, E FLAMENT, M KALSH,P JARANOWSKI, C GAILLARD, C DROMAIN, D COUANET, A DINIS VILLEJUIF - FRANCE

Objectifs : Décrire notre réflexion et notre expérience préliminaire sur le passage au sans film au CHU de Reims. Matériels et méthodes : Nous décrivons les éléments de notre réflexion, les modalités pratiques, les difficultés rencontrées et l'évaluation financière. Résultats :Le passage au sans film en 2004 devait permettre de limiter l'augmentation de la consommation en films liée au scanner multibarette ou à I'IRM et d'essayer d'obtenir un retour sur investissement après l'acquisition d'un PACS. Les pré requis étaient : existence d'un PACS, passage au support CD-Rom, présence d'outils de distribution et de visualisation des images dans les unités de soins, réflexion sur les habilitations et surtout avoir réuni toutes les conditions facilitant l'acceptation du projet par les cliniciens. Le choix dans notre établissement a été de passer progressivement au sans film. Dans une première phase on distribue un CD-Rom et un film par examen scanner ou IRM. Les images sont envoyées dans les unités de soins sous 2 formats complémentaires : images DICOM consultables sur un PC écran plat 17" par groupe d'unités et images via un serveur web disponibles depuis n'importe quel PC. La généralisation de l'utilisation des outils informatiques par les cliniciens doit permettre le passage à la deuxième phase totalement sans film. Conclusion : Le passage au sans film constitue un changement majeur des habitudes dans les services d'imagerie et les unités de soins. Une acceptation par l'ensemble de la communauté médicale est un facteur important de succès. Mots clés : Réseaux d'images - Dossier médical

10 h 3 0

Durée : 7 minutes

INTEGRATION DE DONNEES EXTERNES DANS UN PACS : CIRCUIT ORGANISATIONNEL N KOUCHIT, C RUELLE,L BOURGOIN, J-L DA SILVA, S AMMELLAGEL, A DINIS,R SIGAL VILLEJUIF - FRANCE

Objectifs : Décrire le circuit et l'équipe mis en place afin d'intégrer dans le PACS de 1'IGR les examens d'imagerie réalisés en dehors de l'établissement films radiologiques ou CD-Rom). Matériels et méthodes : Depuis 2000, trois Archivistes puis sept ont été formés à cette nouvelle activité qui comprend deux postes de numérisation, un poste d'intégration de CD-Rom et un poste de création de CD-Rom. Un scénario bien spécifique à été mis au point pour assurer une cohérence entre les données entrantes et les fonctions du PACS et du HISIRIS, un contrôle qualité et un délai de réalisation. Résultats : En 2002 / 2003 : respectivement 291 1 et 2739 numérisations, 218 et 1046 intégrations de CD-Rom. Les films sont entrés sous forme de captures secondaires et les CD-Rom sous format DICOM d'origine. A l'utilisation, le principal problème est celui de l'affichage des images de captures secondaires. Conclusion : Le dossier imagerie complet facilite la comparaison d'examens avec une interface unique de visualisation, élément clé de qualité en imagerie cancérologique. Mots clés : Réseaux d'images - Dossier médical

Objectifs : Décrire la méthodologie de passage au sans film à I'IGR. Matériels et méthodes : Le PACS (GEMSIcentricity) ouvert en 2000 connecte l'ensemble des modalités du département d'Imagerie. Début 2004, il contient plus de 200,000 examens appartenant à plus de 40000 patients. La distribution se fait par Weblintranet sur 500 PCs. Le fonctionnement du PACS est étroitement lié au fonctionnement du Système d'Information Hospitalier. Le passage au sans film fait l'objet d'une conduite de projet spécifique : 11 Equipement en PCs de l'ensemble des points d'accès cliniques avec configurations informatiques adaptées. 21 Formations spécifiques pour les cliniciens. 31 Création de l'unité de numérisation chargée d"intégrer des dossiers externes (films radiologiques et CD-Roms) et de produire des CDRom. 41Test de solution pilote de téléradiologie. 51 Renforcement de l'équipe de support hotline. Résultats : Le passage au sans film s'est fait en 2 temps : une période de « rodage » d'un mois avec 3 spécialités : ORL, Gynécologie et Digestif, sur l'ensemble du circuit patient (consultation, hospitalisation, radiothérapie, bloc opératoire). L'extension a ensuite été généralisée à l'ensemble de l'hôpital. Conclusion : L'extension intégrale à l'ensemble des activités du département d'Imagerie sera faite fin 2004. " M o t s clés : Réseaux d'images - Dossier médical

10 h 50

Durée : 7 minutes

LA COMPRESSION EN RADIOGRAPHIE THORACIQUE : JUSQU'OU PEUT-ON ALLER C LEFORT, M-P REVEL-DUBOIS, C HUBER, S TOPIN, G FRIJA PARIS - FRANCE

Objectifs : Evaluation de la qualité des images obtenues après compression selon la technique des ondelettes, dans le but de développer la téléradiologie. Matériels et méthodes : Cent vingt radiographies du thorax (60 normales, 60 pathologiques) ont été analysées rétrospectivement par 4 radiologues. Chaque radiographie a été analysée sous 6 formats différents : la forme native, une forme comprimée sans perte, et 4 à différents taux de compression (20, 40, 60 et 80). La lecture a été réalisée sur un écran cathodique 21 pouces lK, basée sur l'algorithme normal /pas normal. Une étude statistique a été réalisée par le test de Cochran. Résultats : Il n'existe pas d'impact diagnostique statistiquement significatif de la compression par rapport aux images originelles témoignant d'une bonne concordance intraobservateur indépendante du niveau de compression. En particulier, le nombre de faux négatif est identique quel que soit le taux de compression. Quelques biais ont cependant été notés : reconnaissance de l'image dès son 2" affichage, insuffisance de diversité en terme de pathologie. Conclusion : Il n'existe pas de différence statistiquement significative en terme de qualité diagnostique entre les différents taux de compression jusqu'à 80. Ces premiers résultats restent toutefois à confirmer par une étude à plus grande échelle. " Mots clés : Traitement d'images - Informatique