AGF3 Les masses pelviennes non gynecologiques mimant une origine gynecologique : aspects en imagerie avec correlation anatomo-pathologique

AGF3 Les masses pelviennes non gynecologiques mimant une origine gynecologique : aspects en imagerie avec correlation anatomo-pathologique

Poster commenté - Mardi 24 - 16 h 40 - Salle 8 AGF 1 INTERET DE L'IRM FCETALE DANS LE DIAGNOSTIC ET LE PRONOSTIC PRENATAL DES ANOMALIES DU SYSTEME NE...

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Poster commenté - Mardi 24 - 16 h 40 - Salle 8

AGF 1 INTERET DE L'IRM FCETALE DANS LE DIAGNOSTIC ET LE PRONOSTIC PRENATAL DES ANOMALIES DU SYSTEME NERVEUX CENTRAL M CHELLI BOUAZIZ (l), D CHELLI (2), MB CHANNOUFI (2), E SFAR(2), H CHELLI (2). MF LADEB (1) (1) KSARSAID - TUNISIE, (2) TUNIS - TUNISIE Objectifs : Evaluer l'apport de l'exploration anténatale par IRM fœtale dans le diagnostic et le pronostic des anomalies du système nerveux central. Matériels et méthodes : Nous avons colligé, de manière prospective sur une période de 15 mois, 11 observations de patientes chez qui nous avons eu recours à 1'IRM pour anomalie cérébrale découverte à l'échographie bidimensionnelle (n = 9) ou pour un hydramnios (n = 2). Résultats : L'IRM a permis de confirmer et d'affiner le diagnostic des malformations dans les 9 cas. Les anomalies cérébrales étaient associées à un défaut de fermeture du tube neural dans 2 cas. L'IRM a permis d'établir un pronostic néonatal et de rassurer la patiente présentant un hydramnios inexpliqué isolé. Elle a permis de préciser le détail des lésions cérébrales dans le cadre d'un syndrome polymalformatif dans un cas. Une patiente a eu une ITG pour syndrome polymalformatif au deuxième trimestre. Toutes les autres patientes ont accouché à terme. Un décès néonatal a été observé. Des IRM postnatales ont été réalisées chez les nouveaux-nés présentant des anomalies cérébrales sévères. Leurs résultats ont pu être confrontés aux données anténatales permettant ainsi aux neuro-pédiatres d'offrir une prise en charge optimale à ces nouveaux-nés. Conclusion : L'IRM cérébrale fcetale parait actuellement incontournable pour affirmer et affiner le diagnostic des malformations du système nerveux central chez le fœtus. Elle constitue une aide précieuse à la décision obstétricale et à la prise en charge des nouveaux-nés. Mots clés : Fœtus, technique d'exploration

Poster commenté - Mardi 24 - 16 h 30 - Salle 8

EVALUATION PAR IRM DU CANCER DE L'ENDOMETRE: VERS UNE CLASSIFICATION FIGO-IRM ), I JAMMET (1 ), E DECROISE~E (1), M POUQUET (1), Y AUBARD (1 ), JP ROUANET(2), A MAUBON (1) (1) LIMOGES- FRANCE, (2) MONTPELLIER - FRANCE ((

Objectifs : Etablir une classification << FIGO-IRM D corrélée à la classification FIGO oncologique. Evaluer, à partir de cette classification radiologique la valeur de I'IRM préthérapeutique. Matériels et méthodes : Etude rétrospective de 57 patientes porteuses d'un cancer de l'endomètre prouvé histologiquement et opérables. IRM systématique avant la chirurgie, analysée selon une lecture standardisée avec classement en stade « FlGO-IRM ». Comparaison des stades FIGO et FIGO-IRM. Résultats : Concordance kappa « bonne >> entre les classifications FIGO et FIGO-TRM (kappa = 0.77 pour les stades IIb et plus ; kappa = 0.64 pour les stades IIIa et plus). Attitude thérapeutique adaptée dans 90 et 95 % des cas. Conclusion : L'IRM est indispensable au bilan initial préthérapeutique des cancers de l'endomètre, permettant d'adapter la stratégie thérapeutique. La classification FIGO-IRM permet une standardisation des interprétations des IRM pelviennes. Mots clés : Utérus, tumeur maligne

LES MASSES PELVIENNES NON GYNECOLOGIQUES MIMANT UNE ORIGINE GYNECOLOGIQUE : ASPECTS EN IMAGERIE AVEC CORRELATION ANATOMO-PATHOLOGIQUE JP AKAKPO, Y BADACHI, B LAURATET,C GENESTIE, F CAPRON, P GRENIER JP LEFRANC, - FRANCE PARIS Objectifs : Revoir les masses pelviennes non utéro-annexielle mais ayant mimé celle-ci. Discuter les diagnostics différentiels en fonction de la topographie des lésions, leurs aspects en imagerie. Discuter les techniques d'imagerie offrant une meilleure caracténsation lésionnelle. Matériels et méthodes : Revue rétrospective 15 patientes opérées de masse pelvienne non utéro-annexielle, initialement étiquetée d'origine gynécologique. Nous avons réétudié la topographie des lésions, leurs rapports avec les organes de voisinage, leur densité euou intensité de signal. Résultats : Parmi les tumeurs réséquées, on distingue les tumeurs de l'espace rétrorectal type hamartome kystique (2), tératome kystique (2) ;les Schwannomes (2) ;les GIST (2) ;les kystes d'inclusion péritonéale (3) ; certaines tumeurs iléo-cæcales type Iéiomyosarcome (1) ; les léiomyomes urétraux (1) ; les tumeurs du ligament large type Iéiomyome (2). Les six premiers types ont été de diagnostic radiologique aisé tandis que les trois derniers ont été d'analyse topographique plus délicate. Nous illustrerons les aspects en imagerie de ces différentes lésions. Conclusion : Plusieurs affections abdominales et /ou pelviennes non utéro-annexielles peuvent simuler une origine gynécologique, aussi bien cliniquement que radiologiquement. Le radiologue doit être capable de proposer la bonne technique d'imagerie pour une meilleure approche diagnostique et une prise en charge clinique adaptée. Mots clés : Pelvis, tumeur

ORIENTATION DIAGNOSTIQUE DEVANT UNE MASSE LATERO-UTERINE AL HACHULLA, C CHAFFIO~E, E PONCELET, P MESTDAGH, JP LUCOT. JP P~uvo LILLE- FRANCE Objectifs : Réussir à caractériser une masse latéro-utérine en précisant la topographie et la nature tissulaire en échographie, scanner et IRM de la lésion. Illustrer les différentes étiologies à l'aide de cas cliniques pédagogiques. Matériels et méthodes : Travail à visée didactique réalisé à partir de dossiers du service intégrés aux données de la littérature en échographie, TDM et IRM. Résultats : Devant une masse latéro-utérine, l'échographie reste un examen de première intention pour permettre un diagnostic positif de masse. L'IRM est un examen primordial pour les cas plus difficiles. Elle permet de préciser les caractéristiques d'appartenance à un organe (origine utérine ou extra-utérine) et d'approcher une étiologie grâce à la forme et au signal de la lésion (pondération T l , T2, saturation de graisse, rehaussement après injection de gadolinium). Nous illustrons les principaux diagnostics de ces masses à l'aide de cas cliniques. Conclusion : Une bonne connaissance de la sémiologie radiologique du pelvis doit permettre de caractériser au mieux l'appartenance à un organe et d'approcher le diagnostic étiologique des masses latéro-utérines pour optimiser la prise en charge thérapeutique. Mots clés : Pelvis, tumeur - Appareil génital féminin, tumeur