cifique (infiltration de la graisse contenue dans la cavité péritonéale et fou du péritoine associées à 50 % des cas à une ascite). La découverte fortuite de telles images doit faire rechercher une lésion primitive digestive ou ovarienne sur le même examen. De telles images doivent être corrélées aux ATCD (néoplasique ou chirurgicaux) du patient et aux motifs de réalisation du scanner abdominal afin de rechercher des diagnostics alternés en particulier infectieux. Mots clés: Péritoine, anomalie
DIG-WP-19 IMAGERIE DES MASSES SPLENIQUES M Mahi, H En-Nouali, M Benameur, S Chaouir Rabat - Maroc Objectifs pédagogiques: Reconnaître les masses spléniques les plus fréquentes. Reconnaître les moyens d'exploration radiologique. Définir la place de la radiologie interventionnelle dans le diagnostic et le traitement de ces masses. Messages à retenir: L'échographie est l'examen de choix pour différencier un kyste hydatique type 1splénique d'un kyste épidermoïde. Comme au niveau du foie, les différents types de kystes hydatiques peuvent se voir au niveau de la rate. La ponction drainage permet le traitement des kystes hydatiques spléniques type 1. Mots clés: Rate, tumeur
DIG-WP-20 REVISION DE L'IMAGERIE DES T1PMP EN IRM ET TDM A Robillard (1), JS Billiard (1), P Audet (1), D Olivié (2), L Lepanto (1) (1) Montréal, Québec - Canada, (2) Rennes - France Objectifs pédagogiques: Revoir les signes cliniques et anatomopathologiques des TIPMP. Revoir les signes IRM et TDM des TIPMP. Voir les diagnostics différentiels possibles. Voir les critères de malignité et de bénignité des TIPMP. Messages à retenir: Une atteinte du canal pancréatique principal ainsi qu'une béance de la papille et des septas épais sont souvent retrouvés dans les lésions malignes. Il est quasiment impossible d'exclure une lésion maligne même si elle est de petite taille. L'IRM est meilleure que la TDM pour l'analyse de l'étendue des lésions. Mots clés: Pancréas, tumeur
Messages à retenir: Les tumeurs pancréatiques les plus fréquentes sont représentées par les adénocarcinomes canalaires et les tumeurs endocrines. De très nombreuses autres lésions malignes ou bénignes moins fréquentes peuvent être rencontrées ainsi que des lésions simulant une néoplasie pancréatique (faux kyste, malformation vasculaire, pancréas aberrant. .. ). L'association des données épidémiologiques, cliniques et la bonne connaissance des aspects en imagerie permet au radiologue de proposer des hypothèses diagnostiques correctes y compris dans le cas de tumeurs rares. Mots clés: Pancréas, tumeur
DIG-WS-22 PANCREATITE AUTO-IMMUNE: A PROPOS DE 5 OBSERVATIONS
o Azaiz (1), K Nouira (2), SShgaier (2), E Chaabene (2), E Hmaied (2), M Ben Messaoud (2), 1 Turki (2), E Menif (2) (1) Soliman - Tunisie, (2) Tunis - Tunisie Objectifs: La pancréatite auto-immune est une forme particulière de pancréatite chronique, décrite pour la première fois en 1995, le diagnostic est basé sur des éléments cliniques, biologiques et histologiques spécifiques. Elle peut être isolée ou s'associant à d'autres maladies auto-immunes. L'imagerie n'est pas spécifique mais peut aider au diagnostic si interprétée dans le contexte clinico-biologique et grâce à la biopsie percutanée. Matériels et méthodes: Nous rapportons une série de 5 patients colligés dans notre service entre 2003 et 2006: 1 femme et 4 hommes. L'âge variait entre 27 et 65 ans. Le dosage des Ig G était réalisé chez 3 patients. Un examen TDM et une IRM ont été réalisés chez tous les patients initialement puis au cours de l'évolution. Une biopsie chirurgicale ou percutanée a été réalisée chez 4 patients. Résultats: Le tableau clinique était variable: l'ictère était le signe clinique le plus fréquent (4 patients), une poussée de pancréatite aiguë: 1 patient. Le dosage des Ig G était négatif chez 2 patients. Le scanner et l'IRM ont mis en évidence une masse pancréatique dans 2 cas, un pancréas tuméfié avec aspect de cholangite inflammatoire et prise du contraste du wirsung dans un cas, des signes de pancréatite aiguë dans un cas, une dilatation de l'ensemble des voies biliaires dans un cas. L'histologie avait confirmé le type Iymphoplasmocytaire de la lésion pancréatique dans 2 cas, la cholangite inflammatoire dans 2 cas. L'évolution était marquée par la régression de l'ictère spontanément ou sous corticothérapie, l'apparition d'une cholangite inflammatoire et la régression de la masse pancréatique. Conclusion: Le diagnostic de la pancréatite auto-immune n'est pas aisé. Les signes radiologiques ne sont pas spécifiques interprétés en fonction de la clinique et la sérologie, la réalisation de biopsie percutanée permet d'éviter une chirurgie lourde et de mettre en route une corticothérapie justifiée. Mots clés: Pancréas, inflammation
DIG-WP-21 CORRELATIONS RADIO-ANATOMIQUES DES LESIONS MALIGNES ET BENIGNES DU PANCREAS, DES PLUS FREQUENTES AUX PLUS RARES y Rabahi, J Taboury, A Bardier-Dupas, M Cadi, JC Vaillant, L Hannoun, 0 Lucidarme Paris - France Objectifs pédagogiques: Décrire l'imagerie de la plupart des tumeurs pancréatiques malignes, bénignes et des lésions qui peuvent simuler une tumeur à partir d'une étude rétrospective de 90 examens TDM, 14 IRM et 110 échographies de 166 tumeurs du pancréas, opérées. Connaître l'aspect des tumeurs les plus rares (tumeurs pseudo-papillaires, à cellules acineuses, kyste Iympho-épithélial. .. ). Effectuer une confrontation aux aspects macroscopiques et anatomopathologiques ainsi qu'aux données cliniques et de la littérature.
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DIG-WS-23 GRAVITE DE LA PANCREATITE AlGUE AU SCANNER MULTIBARRETTE: BALTHAZAR OU MORTELE A Faye (1), H Covoet (1), A lancu (2), M Nowakowski (1), P Etessami (1), A Boruchowich (1), H Tyazi (1), D Van Gansbeke (3), P Cuing net (1) (1) Valenciennes - France, (2) Cluj-Napoca - Roumanie, (3) Bruxelles - Belgique Objectifs: Les auteurs comparent l'index de sévérité de la pancréatite aiguë (PA) obtenu à partir de l'analyse des critéres morphologiques scanographiques de la classification de Balthazar et de la classification de Mortele. Matériels et méthodes: Prospectivement le scanner abdominal multiphasique avec injection de produit de contraste iodé chez 94 patients présentant des signes cliniques et biologiques de PA ont été analysés