NR35 Imagerie des masses orbitaires

NR35 Imagerie des masses orbitaires

Matériels et méthodes :Dix-huit patients (malformations artérioveineuses cérébrales n = 17, fistule artérioveineuse durale n = 1) ont été explorés par...

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Matériels et méthodes :Dix-huit patients (malformations artérioveineuses cérébrales n = 17, fistule artérioveineuse durale n = 1) ont été explorés par ARM dynamique 3D TRICKS. L'examen a été comparé aux données de l'angiographie numérisée (n = 18) et de 1'ARM dynamique 3D ASSET (array spatial sensitivity encoding technique), (n = 9). La séquence d'ARM 3D TRICKS est effectuée après injection de chélate de Gadolinium avec une acquisition des images toutes les 0,8 secondes, la séquence ASSET-toutes les 1,8 secondes. Les paramètres suivants ont été étudiés : nombres de phases artérielles, nombre et type d'artères et de veines, taille du nidus pour les malformations artérioveineuses (MAV). La taille du nidus des MAV est comprise entre 0,5 et 6 cm. Résultats : Par rapport à I'ARM dynamique 3D ASSET, la résolution temporelle et l'appréciation de la taille du nidus sont supérieures, l'étude du drainage veineux est comparable. Par rapport à l'angiographie numérisée, l'appréciation des afférentes est moins exhaustive. Conclusion :L'ARM dynamique 3D TRICKS présente une résolution temporelle et spatiale meilleure que la séquence ASSET et sensiblement équivalente à l'angiographie numérisée pour l'étude du nidus et des veines de drainage. W o t s clés : Artères cérébrales, technique d'exploration - IRM

APPORT DE L'IRM DANS L'EXPLORATION DU MACROADENOME HYPOPHYSAIRE K DAHBI (1), L HARZALLAH (1). H MIGAW(1), F HARZALLAH (2), H AMARA (l), D BAKIR (1), L CHAIEB (1), C KRAEIM (1) (1) SOUSSE- TUNISIE, (2) TUNIS - TUNISIE Objectifs : Illustration iconographique à travers plusieurs observations de l'apport de 1'IRM dans l'exploration des macroadénomes hypophysaires. Matériels et méthodes : CD-Rom lisible sur PC. Résultats : Le diagnostic de macroadénomes en IRM était facile dans la plupart des nos observations avec un aspect variable selon sa composition tissulaire etlou liquidienne. Par ailleurs, 1'IRM a permis de préciser les limites d'extension locorégionale et a permis d'orienter la conduite thérapeutique en particulier l'indication chirurgicale. Conclusion : La connaissance des aspects IRM des macroadénomes est particulièrement utile pour leur détection, le diagnostic de complication, le bilan d'extension et l'indication d'une conduite thérapeutique adéquate. Mots clés : Hypophyse, tumeur - IRM

ANOMALIES DE SIGNE DU POLE TEMPORAL DANS LA SCLEROSE HIPPOCAMPIQUE UTILISANT LA SEQUENCE FLAIR

Objectifs : L'intérêt des séquences FLAIR pour mettre en évidence des anomalies de signe du pôle temporal (ASPT) de patients ayant une sclérose hippocampique (SH). Matériels et méthodes :Nous avons évalué la séquence coronale FLAIR de 120 patients portant SH et 30 contrôles. Les examinateurs ont accès uniquement aux images contenant les pôles temporaux, sans informations cliniques ou d'EEG. Les critères d'anomalies comportaient une augmentation du signe de la substance blanche et une perte de délimitation blanche-grise sur le pôle temporal. Cette anomalie a été corrélée à l'âge du début de l'épilepsie, convulsions fébriles, duration de l'épilepsie et fréquence des crises. Résultats : L'ASPT à été trouvé en 90 (75 %) des 120 patients. Sur 79 patients ayant une SH unilatérale, 1'ASPT était du même côté. Seulement dans un cas de SH unilatérale, l'anomalie était bilatérale. Chez 10 patients ayant SH bilatérale avec ASPT, l'altération était du même

côté de l'hippocampe, plus atrophiée dans 7 cas. Les patients ayant une ASPT présentaient un debut d'épilepsie plus précocement, à peu près 5,9 I 2,l années avant les patients sans ASPT (p = 0,009). Conclusion : La mise en évidence des anomalies de signe en FLAIR du pôle temporal permet le dépistage d'une SH très fréquemment, composant un important signe de latéralisation. Les patients ayant une ASPT présentent un début d'epilepsie plus précoce que les patients sans anomalie. P Mots clés : Encéphale, dégénératif - IRM

APPORT DE L'IRM DANS LE DIAGNOSTIC DE LA TUBERCULOSE DU SYSTEME NERVEUX CENTRAL. A PROPOS DE 40 CAS R ALLANI, K NOUIRA, R ABDELMALEK, S BACCAR, M BENMESSAOUD, E MENIF,I TURKI, F KANOUN, T BENCHAABANE, R SLIM TUNIS - TUNISIE

Objectifs : La tuberculose du système nerveux central (TSNC) est une cause majeure de morbidité et de mortalité dans les pays en voie de développement.Le but de ce travail est d'illustrer l'aspect à l'imagerie par résonance magnétique (IRM) de la TSNC et d'insister sur les éléments du diagnostic différentiel. Matériels et méthodes : Etude rétrospective portant sur une période de 5 ans, comportant 40 patients âgés entre 16 et 74 ans (âge moyen de 45 ans) qui présentaient une tuberculose cérébroméningée confirmée. Deux patients présentaient des sérologies positives au VIH (Virus de 1'Imrnunodéficience Humaine). Tous les patients ont eu une IRM cérébrale et 9 ont eu une IRM médullaire. Résultats : L'iRM cérébrale a mis en évidence des tuberculomes dans 26 cas, une leptoméningite dans 19 cas, une hydrocéphalie dans 9 cas, des lésions d'infarctus et de vascularite dans 10 cas et un empyème sous-dura1 dans 1 cas. L'IRM médullaire a montré une myélite dans 3 cas et des tuberculomes intramédullaires dans 1 cas. Une spondylodiscite était associée dans 4 cas. Conclusion : L'IRM joue un rôle important dans le bilan lésionnel de la TSNC, dans la recherche de complications et dans le suivi sous traitement. Mots clés :Tuberculose - Système nerveux

IMAGERIE DES MASSES ORBITAIRES M AMOURI (l), Z MNIF(1), H RAJHI (2), KH BENMAHFOUDH (1), W AYADI(1 ), H DAOUD (1 ), K AYADI(1), S MEZGHANNI (1 ), J MNIF(1) (1) SFAX - TUNISIE, (2) TUNIS - TUNISIE Objectifs : Création d'un outil pédagogique d'auto-enseignement des processus expansifs intra-orbitaire. Matériels et méthodes : Word 2000 pour la création du texte. Photoshop pour le traitement des images macromédia pour la réalisation du CD. Résultats : Cette présentation comporte plusieurs parties : 1) Rappel anatomique de l'orbite et de son contenu. 2) Rappel des techniques d'imagerie (radiographies conventionnelles, échographie, TDM, IRM). 3) Analyse des différentes tumeurs et pseudo-tumeurs de l'orbite. 4) Une dernière partie consacrée à l'évaluation des connaissances théoriques par des cas cliniques. Conclusion : L'IRM constitue un examen essentiel dans l'exploration des masses orbitaires. Il est d'un grand apport dans le diagnostic positif, différentiel, topographique et dans le bilan d'extension. " Mots clés : Orbites, tumeur