Intoxication de l'enfant et psychopathologie associee, quels messages ?

Intoxication de l'enfant et psychopathologie associee, quels messages ?

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Communications

POW

affichies

PO05

S~ouepltOliqLlr -~_________-REGlDNALlSATlDN DE LA PRlSE EN CHARGE DE LA PREMATURITE: EXPERIENCE FINISTERIENNE. C Cashayes. J Swn, D Soupre. R Baron, L de Parscau Unlt& de RBanimaton P&diatdque, CHU, 29609 Srest.

de niveau

I I I

Transferl post-natal

w: fnfection ou RPPDE: 31%: MultipaW: ut6nnes. 2.4%; sanS cause Wdente: 12.2%. Comolmffons:

17%; Tox6rme: 10%; Causes mces

MCM ECUN HIV ///aJ IV _____........_______......-.....~...... 100% 0 0 43% 48% 0 3% 0 0.7%

AG< 28s 28~s AG < 3% AGS33.s

Nous avons men.6 une etude retrospective concernant les enfants de 0 i 10 ans hospitalis& pour intoxication BUI “lils porte” des urgences pediatriques du C.H.U. de Bicetre. Ce travail reprend 2 ann6es de fonctionnement et rassemble I’analyse de 109 dossiers. L’obiectif est double : pr.+iser dans quell& proportmns 11 er& une psychopalholo& sous,acente et. lorsque cette derniCre es, pr&sente. &valuer sa capacitb 1 etre dete&e dans le cadre des urgences. En elfet. lrois observations recentes now avaient enseign6 I la fois combien, dans certains cas. I’intorication Hait loin d’etre un “accident” dCnud de sew et comment ce geste pauvsit alms servir de signal d’alarme rCvCla:eur d’une soulfrance psychique. Pour cette tranche d’Pge, I’&lective rarelC des publications recentw WC ce theme contribue i alimenter notre intkrdt. L’analyse des dossiers nous apprend que de nombreur 6l6m&!s, pourtant capitaux paur‘&lairer he teffes conduites fm6canisme et mottvation, conduites & risque associ6es. sntdc6dents psychialriques ou famlliaur. mode de vie, niveau scola~re ..). ne sent le DIUS muvent PBS recueillis dans t’urgence c’est seutement bar recoupement qu’on identifie un taut probablement Clevk soit de recidives. sail de conduites P r114ues sssca6es. Ce travad nous conduit i ddburer une etude prospective afin de confirmer ou d’infrrmer nos hypotheses et nos r6sul>ats pr6liminaires II s’a9it Bgalement. dnns une perspectiv& de pravention prtmaire et secondaire. d’affiner notre compr6hension des mkintsmes mis en oeuvre dans ce type de conduite

31% 21% 48% 12.3%

84,3% 43% 11.4% 12.7%

0 5.9% 0.26%

Conclusion : L’utdlsstlon du r&sew de soin r6glonal est satlsfalsant pour les NN d’AG < 33s. L’mc~dence des complkatlons fi6es k la pr6maturit6 semble fable. Le hen avec

PO04

1

SmtPpublique EPlDEMlOLOGIE T Lam&au, Urgences HBpital

DES lNTOXlCAllONS

A Kennedy, Pddiatriqucs,

B Llanas,

En 7 attn&s.

les Urgences

pour intoxication.

JL Demarqucz,JC

R&animation

Pellegrin-Enfants,

Leur

DE 1989 A 1995

Infantile

place Am&

Raba Lkon, 33077,

Pkdiatriques

de Bordeaux

nombre

Centre Anti-Poisons toucbattt dent&z

(CAP)

augmentit

a lieu le plus sowent Ic gar$on

(85%).

(56%)

correspond

et exceptiomtellemebt (L%). La situation ce. Le produit

de 28%.

plus rarement

2% le CO, 6% divers. (17%).

retoument

le plus souvent

d’embk

tb&apzutique

pour uric dude

ont et& hospitalis&

g&e

gasttiqtte

(29%)

sent asymptomati(10%).

est effectt&

didam

dam 40% des cas. Les

ou Sent hospitalis&

en lit-pate.

l/4 de cbimi-

Qttarante

utt seul est d&d&

(69%).

enfants (1.5%)

(amattite

pballoide)

de 0,33/lODO.

Cette &ude confimx fant. Une bake

Les enfants

est prop&e

b&e

en rdanimatiw,

wit une mottak?

(dent

13% un autrc prcduit

Une Cvacuation a domicile

(12%),

n’ont pas d’influcn-

des signes ncurologiqttCs

25% des as, une simple surveillance

core survenir

d’babitation

acci-

de suicide

(1%) ou une emtu

mdnager.

ques dam 67% des CBS, ou pkentent

enfattts

Elle est gddralemettt

?i une tentative

les conditions

23% un prcduit

(6%) ou divers

au

atx beures des repas, datts la cuisine.

a un studosage

que. 8% un vdgttal.

de

pkdiatriqttes

en cau.se es1 dam 48% des CBS un mddicament

benzodiaz~pines),

gestifs

baissk, passant

des appels

de 1 14 am (80%).

familiale,

Bordeaux.

ottt req” 2643 enfants

atmuel a tigttlikement

490 en 1989 a 382 en 1995. tandis quc celui L’intoxication

Favarel-Garrigttes

et Centre Anti-Poisons,

la Mnigniti

de la plupatt

des intoxications

des consultations

aux Urgettce+

Hospitali&res

3 un tecours

plus systkmatique

aux CAP.

chez I’enpoutit

en-

pubiique INTOXICATION DB L’ENFANT ET PSYCHOPATHOLOGIE ASSOCIBE. QUBLS MESSAGES 1 COlill*. C. Epelbaum”. P. J.J. Bonichou”, B. Labrune” * Ssrvlce de PldoPsycLhlrie Foadltion Vallh 7. rue beossrads 94250 Genlflly ‘* Service dsr tJr&ceoces - Dtprrtemenl de Pldhtrie Hd~ifaf de Bicdtre 78. a” du C6nkal Lsclerc 94270 Le Kremlin Bfc&rc

Le dbveloppement de fili&res coh&entes de pnse en charge des nouveau-r& est une priorit de Sante publique. But de I’&ude : a”alyse,, dans te d6p8rtement du F,n,st&e, les tiseaux de prise en charge des NN prkr!atu& et pr&iser les causes et cOnSBquellCes de la pr6matudt6. Mat6riel et ,,,6t,,oOar : Ies NN d’age gestabonw, (AG)<37SA, 176s Vivants dans le FinistBre entre fe ler Janwer et le 31 DBcembre 95. de parents domicili& dans fe d6partement. ont 816 signal& par fes pediatres de m&emit& Les donnees concwnant la gmssesse. I’accouchement, Ies causes de la pr6maturit6. ses cons6quences m6dicalee Bventuelles. et le devenir a la smile bu 6 defeut 6 J28) ant 8th recueiffies par one m&me enqu&nce. Rlsultats : n: 4133 NN SW 9872 naissances totales d8clar6es sat 4.6%. Poids de nassance (PN) moyen: 2320 f 610 gr (720-4040 gr); AG moyen: 346 t 2.1 SA (27.37SA). Sexe masculin: 53%; onglne eump6enne: 98%. 3365AG<37s Lkw de missam@: AG c 3% Matemit

SuntP