(n > 4), ou temporaire pré-polymyomectomie par gélatine résorbable (n < 5). L'anesthésie péridurale est pertinente pour une analgésie et un confort optimaux, relais étant pris par une analgésie contrôlée par le patient (<< PCA »). L'EFU est un choix à taux faible de complications et à hospitalisation courte comparée aux données de la chirurgie. La création et l'entretien d'un réseau régional de recrutement reposent sur la clarté et l'interactivité de l'échange d'information médicale. Mots clés: Utérus, fibrome - Embolisation - IRM
09 h 00
Durée: 30 minutes
IRM DES FIBROMES UTERINS: DU DIAGNOSTIC AU SUIVI APRES TRAITEMENT PAR EMBOLISATION y Fargeaudou, M AbitboL 0 Le Oret M Boudiot L Homzi, SGrivoud, P Malzy, F Duchot, P Soyer. R Rymer Paris - France Correspondance: yann,
[email protected],fr
Objectifs: Savoir la sémiologie IRM des fibromes utérins. Connaître la valeur ajoutée de l'IRM sur l'échographie pelvienne dans le bilan préthérapeutique des fibromes utérins. Connaître les indications et les contre-indications du traitement par embolisation des fibromes utérins. Connaître les critères IRM prédictifs de succès et d'échec clinique de l'embolisation. Points clés: Les caractéristiques IRM des fibromes utérins varient en fonction de leurs remaniements. La précision diagnostique de la cartographie IRM des fibromes ne varie pas en fonction du volume utérin contrairement à celle de l'échographie pelvienne. L'indication d'un traitement par embolisation dépend de la symptomatologie, de la cartographie (localisation, volume, nombre, remaniement), des pathologies associées (endométriose, lésion annexielle) et du désir de la patiente. Résumé: L'embolisation est un traitement de première intention des fibromes utérins. Ils sont habituellement en iso-signal TI et hypo-signal T2, mais leur signal IRM varie en fonction du type et du degré de remaniement. La cartographie IRM des fibromes est plus précise et plus reproductible que celle obtenue par échographie pelvienne. Elle permet de faire le choix de la modalité thérapeutique la plus adaptée. Les localisations pédiculées sous-séreuses et les fibromes sous-muqueux exposent aux complications et constituent des contre-indications relatives à l'embolisation. La dévascularisation complète des fibromes sur l'IRM post-embolisation précoce est prédictive de la réussite du traitement. Mots clés: Utérus, fibrome - IRM - Embolisation
En cas de désir de grossesse, il faut pouvoir évaluer grâce à l'IRM les risques de complications de chaque technique et connaître leurs effets potentiels sur la fertilité. C'est ainsi qu'une myomectomie sera préférée si elle est simple (ablation d'un à 4 fibromes par exemple) alors qu'une embolisation sera préférée si la chirurgie risque d'être délétère (nombreux fibromes disséminés). La réalisation d'une techniques combinée associant embolisation et myomectomie est dans certains cas une bonne solution pour éviter de choisir entre une polymyomectomie délétère et hémorragique ou une embolisation à risque de complications. Résumé: Le développement des techniques endoscopiques et de l'embolisation dans la prise en charge des fibromes utérins permet au chirurgien de disposer aujourd'hui d'une gamme thérapeutique plus large qu'autrefois. En dehors des cas où une hystérectomie est indiquée et acceptée par la patiente, la réalisation d'une bonne cartographie par IRM et la concertation entre radiologues et chirurgiens est utile pour décider du meilleur traitement. En cas de fibromes peu nombreux la myomectomie reste le traitement de référence d'autant plus si elle peut être réalisée par cœlioscopie. Au delà de cette limite, et s'il existe des risques opératoires, l'embolisation peut être proposée en première intention. Lorsqu'une embolisation semble préférable à une polymyomectomie la présence de certains fibromes sous-séreux ou sous-muqueux peuvent compliquer la procédure. Dans ces cas, une technique combinée associant une embolisation définitive et une chirurgie peu invasive et sélecti ve sur ces fibromes peut être réalisée. Mots clés: Utérus, fibrome
Cardiovasculaire diagnostique et interventionnel 3103
Vasculaire
Modérateur: Sébastien Bommart 08 h 30
Durée: 30 minutes
APPORT DE L'IMAGERIE DANS LA GESTION DES CHAMBRES IMPLANTABLES (CIP) PY Marcy Nice - France Correspondance:
[email protected],fnclcc,fr
09 h 30
Durée: 30 minutes
PLACE DE LA CHIRURGIE OU LE POINT DE VUE DU CHIRURGIEN C Molartic, 0 Morel, P Desfeux, A FozeL G Akermon, LTulpin, E Barronger Paris - France Correspondance: cecile.malartic@lrb,aphp,fr
Objectifs: Connaître les indications et les limites des différents traitements chirurgicaux du fibrome utérin (laparotomie, cœlioscopie et hystéroscopie). Savoir à quel moment la réalisation d'une IRM et la coopération entre radiologues et chirurgiens deviennent nécessaires pour décider du meilleur traitement. Connaître les indications et la procédure des techniques combinées radiochirurgicales. Points clés: Il existe des cas simples où le chirurgien peut décider seul en consultation du traitement chirurgical (hystérectomie, résection hystéroscopique de fibrome sous-muqueux ou éventuellement cœlioscopie sur myome unique) sans recourir à l'IRM. Dans le cas des utérus polyfibromateux et d'un désir de conservation utérine, la prise en charge devient plus complexe et le recours à l'IRM ainsi que la concertation avec les radiologues est très utile.
Objectifs: Connaître les techniques de pose de chambres implantables (CIP). Savoir reconnaître le type d'insertion sur le cliché standard. Discuter la place de l'Imagerie dans l'indication de pose et dans le suivi des CIP. Connaître les complications mécaniques graves liées à la malposition de CIP. Connaître les indications spécifiques du siège d'implantation des CIP. Points clés: Les techniques de pose sont soit de type chirurgical (1) par dénudation veineuse ou (2) par ponction percutanée de type Seldinger, soit de type «radiologique » avec guidage en temps réel et ponction veineuse murale non transfixiante. Cliché thoracique: il permet de reconnaître le type de pose de CIP et l'existence de malposition de cathéter et d'autres complications (pneumothorax, hémothorax ... ). L'imagerie permet de réduire le temps de pose, le taux de complications lié à la procédure, de diminuer le taux de malposition initiale de cathéter. Elle accroît le taux de succès initial de pose. L'imagerie permet le diagnostic et la correction percutanée de plus de 90 % des malpositions de cathéter. CIP thoraciques: toutes indications sauf cancer ORL, obèse, insuffisant respiratoire, radiodermite, perméation tumorale, discrétion, esthétique du décolleté, syndrome cave supérieur.
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