La morphologie des orifices des veines hépatiques au niveau de la veine cave inférieure

La morphologie des orifices des veines hépatiques au niveau de la veine cave inférieure

130 enceinte (corps donné à la science instrumenté au sein duquel est intégré un modèle d’utérus gravide) dans les conditions d’un choc frontal à 25 k...

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130 enceinte (corps donné à la science instrumenté au sein duquel est intégré un modèle d’utérus gravide) dans les conditions d’un choc frontal à 25 km/h. Les données issues de cette campagne expérimentale ont permis la validation du modèle numérique. La simulation numérique d’un choc frontal dans les mêmes conditions a ensuite pu être réalisée pour mesurer au cours de l’impact les différentes contraintes et déformations des organes. Résultats.— Trois phases cinématiques ont été mises en évidence. Ces trois phases peuvent chacune expliquer les lésions materno-fœtales observées en pratique clinique. Leur influence respective sur le risque de survenue d’un hématome rétro placentaire a été mis en évidence. Conclusion.— Le modèle numérique de femme enceinte utilisé dans cette étude a permis d’améliorer la compréhension des mécanismes lésionnels chez la femme enceinte dans le cadre de l’accidentologie routière.

Résumés des Posters des anastomoses entre l’artère colique gauche et l’artère colique moyenne. Conclusion.— La variabilité morphologique de l’artère colique gauche a une grande importance chirurgicale, surtout lors d’une hémicolectomie moyenne et gauche. La vascularisation de l’angle splénique, assurée par cette artère, présente comme caractéristique le fait que les arcades artérielles ont la qualité de s’adapter à la configuration de la flexion, ces arcades artérielles étant unique ou double. doi:10.1016/j.morpho.2007.09.122 25 La morphologie des orifices des veines hépatiques au niveau de la veine cave inférieure C. Dina, P. Bordei, D. Iliescu, L. Bordei

doi:10.1016/j.morpho.2007.09.121 24 Les variantes de l’artère colique gauche et son territoire de vascularisation L. Surdu, C. Cristache, P. Bordei, I. Bulbuc Faculté de médecine, université “Ovidius” Constanta, Roumanie E-mail address: [email protected] (P. Bordei). But de l’étude.— Étude des variantes d’origine, du mode de ramification et de la description du territoire intestinal vascularisé par l’artère colique gauche. Matériel et méthodes.— Nous avons étudié 108 artères coliques gauches, en utilisant comme méthode de travail la dissection sur cadavres humains fœtaux et adultes frais ou formolés, aussi que sur cadavres et blocs organiques injectés avec une matière plastique (Technovit) qui ultérieurement ont été disséqué ou corrodés. Résultats.— En ce qui concerne les variantes d’origine de l’artère colique gauche provenant de la mésentérique inférieure, nous avons trouvé : - une origine sous forme d’une artère unique ; - un tronc commun colo-sigmoïdien donnant naissance aux trois artères sigmoïdiennes ; - un tronc commun colique supérieure-colique moyenne, cette dernière restant soit la seule artère colique moyenne, soit pouvant doubler celle naissant de l’artère mésentérique supérieure ; - un tronc commun colique supérieure-sigmoïdienne supérieure-sigmoidienne moyenne. L’artère colique gauche se termine d’habitude par une bifurcation plus que par une trifurcation et, le plus souvent, elle vascularise l’angle splénique et la partie supérieure du côlon descendant. Sa participation à la vascularisation du côlon transverse est variable, pouvant assurer la vascularisation de sa moitié gauche. Nous avons trouvé un seul cas où l’artère colique gauche s’anastomosait avec le rameau colique de l’artère iléo colique, situation dans laquelle les artères coliques moyenne et droite manquaient. Les rameaux de l’artère colique gauche sont fréquemment anastomosés entre eux, mais nous avons trouvé rarement

Faculté de médecine, université “Ovidius” Constanta, Roumanie But de l’étude.— La description des orifices de terminaison des veines hépatiques dans la veine cave inférieure (nombre, forme, dimensions et rapport qui existent entre elles). Matériel et méthodes.— Nous avons étudié les orifices des veines hépatiques en pratiquant la section longitudinale de la veine cave inférieure au niveau de sa paroi postérieure, en déterminant les dimensions de la surface veineuse au niveau où s’ouvrent ces orifices. Les orifices des veines hépatiques petites ont été analysés à l’aide d’un stéréomicroscope Stemi 2000 C. Résultats.— La surface intérieure de la veine cave inférieure criblée par les orifices des veines hépatiques varie entre 27 et 36 cm2 . L’orifice de la veine hépatique droite a un calibre de 0,8—1,6 cm. En nous rapportant à l’orifice de la veine hépatique gauche, celui-ci se trouve à une distance de 1,5—3 cm, le plus souvent en bas. L’orifice de la veine hépatique gauche a un calibre variant entre 0,7—1.5 cm. Lorsque la veine hépatique moyenne se termine dans la veine cave inférieure (son orifice ayant un calibre entre 0,6—1,3 cm), nous avons observé deux aspects : soit les deux orifices sont proches l’un de l’autre, ils sont alors séparés par une paroi très fine, soit leur séparation est évidente, se trouvant à une distance variant de 0,2 jusqu’à 1 cm. On a remarqué aussi que, lorsqu’elle se termine dans la veine hépatique gauche, la veine hépatique moyenne peut présenter un calibre plus grand que la première veine. Conclusion.— La distance entre les orifices des veines hépatiques varie par rapport à leur nombre. Il existe une corrélation entre le type morphologique humain et la morphologie des orifices des veines hépatiques. doi:10.1016/j.morpho.2007.09.123