Communications PO96 Digestion/Nutrition ALLERGIE
A”X
P98
HYDROLYSATS
F. Ammar, D. de B&&u, But du travail. - Dkrirr
une populahon
le Neoca@
Patients et m&odes. mms), qul restlent pendant
d’enfants
de3Oenfmte
PARIS
allerglques
- 30 nounssons,
a base
des symptbmes.
maI@
l’alrmentahon
par un hydrolysat
Apres unedvaluahon
chmque
etbtol~~que,unrkg~med’~preuvepurN~~cat~~ta~tm~senplacepourunmo~s, suivl d’un test de provocatmn
a I’hydrolysat
qui confimuit
RCsultatP. - Les stgnes cbmques predommants
le dia.wostx.
&went dig&Ifs
(2.5 as); trow
symptBmtr~ta~entfr~quents,lesrelets(l8cas),ladiarrh~e(17cas)etlesmliques (IO as); le retard de ao,seance
pond&al
&at pr&ent
dam 10 cas. Le Neocat&
apensuneam~liorat~oncl~n~querap~de(en3~lO~o~~)etdurableen 10,88/,). Les testscutan&
13 fols sur 26 et les IgE totales elev& alan aesocrees a l’.?l&at,on
D’autrrsallergies bon B l’hydrolysat, retard&
abmentiures&aent
_ L’allergle
des manifestabons chromques
en cas de mamfestatmns cutan&
des I8E spklfiques
la r&ctmn
termede
aux hydrolysats&aent
pos,hfs (6 OS),
pour le Irt dc vache. Le test de
assocr&sdans22
as. Lorsdela
&at wnmedlate 13 fols, Term-retardee
provoca13 fols et
4 fois.
Conclusion.
aux hydrolyeats
anaphylacbques,
de proteines
dolt We &cqu&
devant
mals aussl devant des slgnes dlgesttfs
tels que relets, dmrrhbe et cohques perastant
Ion du regime d’bli-
mmahon des proternes du lat. Une formule a base d’andes u,,e pnse et, charge adaptee, en attendant
PO97 Digestion/Nutrition
GASTRITES
A HELICOBACTER (i pro,ms
PYLORI de 217 cas)
-____CAEZ L’ENFANT
N. ERREIMI, N. MOUANE, S. EITAIR, S. RAJARABI, F. BOUCHTA
M. FARZZA,
UNITE DE GASTRO-ENTEROLOGIE PEDIATRIQrJE PEDIATRIE 3 - HOPITAL D’ENFANTS, RABAT
Bges de 15 ,ours ?,13 mo,s (med,ane = 3
12 mols (mediane = l,lmois).
pose de pords(27,5+
DigestiodTWrition
M. HIDA,
aux pmteines du
et pour lesquels une pr+aratlon
a mdud la dwparttton
symptomahques
15lours&
Apropos
HBpltal Saint Vmcent de Paul
lalt de vache et a leurs hydrolysats anun&,
DE PROTEINES:
C. Dupont
Seance de N&natologze
d’aades
affichkes
la p&ode
amlo& permet
Les gastrites B HClicobacter Pylon (HP) de I’enfant peuvent expliquer certains tableaux de douleurs abdommale chroniques Le but de ce travail est d’Cvaluer la prCvalence de la gastnte B H P chez I’enfant et d’&blir la corr&lation entre les aspects clmiques, endoscopiques et hlstologiques de cetfe affection SW one piriode de 4 ans (janwer I994 dCcembre 1997) L‘H P a it& recberch& B l’occasion d’une endoscople real& chez 313 enfants Bgds de I B I6 ans, prCsentant des douleurs abdommales (59%), des vomissements (16%). des hem&m&es (14%) ou autres svmut8mes (I 1%) Des biopsies gastriques ont CtC etTectuCes au mveav de I’&& et parfois au nweau du fondus et envoy& g I’anatomie pathologtque pour Ctude histologique L‘H P,a 6th pr&ent chez 217 cas (69%) I’Pge mayen dans le groupe H P(+) &tat de I I ans et demi L’H P Ctalt prCsent chez 64% d’enfants souffrant de douleurs abdominales chromques, chez 15% d‘enfants avec vomissements et 13% d’h$matlmbe SW le plan endoscopique, la gastrrte a ttb not& chez 80% du groupe H I’( +) Elle etaIt nodulaire dans 58% des cas L’ul&e a et& not& chez 9 cas (7’duodCnal et 2 gastriques) La yastnte chromque a et& no& chez 94% des cas dam le groupe H P(+) atrophique dans 127 cas (58%) et folhculaire dans 75 cas (35%) II ressolt de ce travail que la gastnte & HP est frCquente chez les enfants lnarocains sauffrant de d,tT.&ents symptBmes gastro-lntestinaux partnculidrement de douleurs abdommales chromques II a tt6 not& la hate orCvalence de la aastrite nodulare d I’endoscome et la gastrae chronique et folliculaire B I’hlstologle, ce qui nnpose un trantement approprie et one survedlance Q long terme de cette affectron
de tol&mce.
-
NUTRITION PARENTERALE PROLONG@ A DOMICILE CHEZ L’ENFANT : DEVENIR DES CATHETERS CENTRAUX Colomb V Fabeiro M, Goulet 0, Dabbas M, Rivet C, Lamor M, Corridl 0, Ricour C. Unit6 de Gastroent&ologie et Nutrition p&diatriques et Pharmacie. HBpital Necker- Enfants Malades, 75743 PARIS. Chez tous les patients en nutrition parent&ale B domicile (NPD), les comolicauons Ii&s au catb&ers centraux (KTC), en wrticulier infectieuses. rep&ntent une menace vitale, okrent la qualit6 de vie et augmentent le coftt des soins. Cette Ctude &rospective a port6 sur le devenir des KTC chez 47 enfants (24 earcons et 23 tilles) mis en charee deouis au moms 6 mois dam un c&r && de NPD au <.?.1998. Les-patbblogies Ctaient : gtile court (22 as). diarrhb rebelle (7 as). pseudo-obstruction mtestmale chronique (IO’ as), autres (8 cas). La gPD &it cyclique nocturne, quotidienne ou non. La enfants agCs de 8,l f 5 ans, en NP depots 4.9 * 3,8 ans, cumulaient 207 an&s de perfusmn SW KTC. Ont tt& utilish I25 KTC soit 2.6 KTUpatient et 21 mois d’utilisation/KTC en moyenne. Ont CtC d&nomb&s 269 complications soit 1,3 par arm& NPD et Z,l/KTC en moyenne : 162 mfections, 35 ruptures, 31 obstructions de KTC. 22 thromboses veineuses. I9 dtplacements. Le r&fait do KTC a & nkessare dans 30% des cas. Ces complications ont entrain6 326 hospitahsations soit 7 + 5 par enfant, prolong&s de 8.5 f 4 ,ours, dont 50% en rapport avec une Infection document& et 31% aver one infection suspect& du KTC. L’incidence des infectmns (148 sept&mies et I4 infections de trajet) a et6 de 2,l/lOOO jours de NPD .pour l’ensemble de la population. Le game responsable Ctait le staphylccoque epldermidx dans 67% des s.eptlcCmles et le staphylocoque aureus dam 64% des infections de trajet. De part et d’autre de cette moyenne, dew groupes ont it6 distinguCs : groupe 1 (24 enfants) : incidence d’infection < 2,1/1000 j (0,83 zt 0,651 1000 J dont 7 enfants n’ayant jamais prCsent6 d’infection, pour one durke moyenne de NPD de 2.6 ans) et groupe 2 (23 enfants) : incidence > 2.11 loo0 j (4.3 f 2,0/ IooOj), la dxff&ence &ant sigmticative (p < 0,05). Ces 2 groupes n’ttaient dxff.+ents que par la d&e moyenne de NPD (groupe I : 5.3 f 4,0 am; groupe 2 : 3,s + 2.7 am. p < 0.05) et par Ie d&u entre le debut de la NPD et la premi&re Infection (groupe I : l3,5 * 15,O mois; groupe 2 : 4.3 + 3,6 mois, p = 0.001). En ~~n~l~st~n : les comohcatlons des KTC. en oarticuher infe&uses, restent une cause fr&qqu&te d’hospitalisation chez l’&fant en NPD. Cette Ctude n’a ixs mis en evidence de facteurs de risque d’infectmn, ce qui ne permet pas de suggtrer one attitude prophylactique & cas par cas En revanche, la survenue prtcoce d’une infection su KTC apr&s le retour g domicile en NPD (moms de 6 mols) pourrait &e consid&& comme on Cl&nent pronostique de r&dive.
PO99 Digestion/Nutrition LES POLYPOSES
ET LES POLYF’ES RECTO-COLIQLIES L’ENFANT (A propos de 236 us)
CHEZ