Masses des parties molles autour du genou chez l’enfant

Masses des parties molles autour du genou chez l’enfant

régression au bilan iRM pré-opératoire. Si sur ce dernier bilan par contre des modifications de signal apparaissaient dans le sens d'une extension ver...

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régression au bilan iRM pré-opératoire. Si sur ce dernier bilan par contre des modifications de signal apparaissaient dans le sens d'une extension vers l'epiphyse, il en sera tenu compte. Ces modifications de signal seront considérées comme une extension tumorale intraosseuse. Le bilan IRM doit explorer tout l'axe diaphysaire recherchant une éventuelle skip métastase. On recherchera bien sûr une extension epiphysaire transconjugale. Reste l'extension dans les parties molles. Sur le bilan initial les modifications de signal correspondent à la fois à la tumeur mais aussi à l'œdème réactionnel. C'est le bilan IRM pré-résection qui donnera les limites de la tumeur. Cette évaluation peut être au moins partiellement anticipée au bilan intermédiaire d'imagerie entre le bilan initial et le bilan pré-résection ce qui permet de prendre une décision sur conservation ou résection et donc de commander une prothèse sur mesure si une conservation apparaît impossible. Il est bien entendu que, au bilan pré-opératoire immédiat, la décision peut encore être révisée dans un sens comme dans l'autre. Si une conservation était décidée et si au dernier bilan elle s'avérait irréalisable, une cure supplémentaire de chimiothérapie permettrait d'attendre la fabrication de la prothèse sur mesure. Mots clés : Genou

Durée : 4 minutes

GENOU RHUMATISMAL F CHALARD, A SEKKAL A KHENICHE,G SEBAG PARIS- FRANCE Résumé : Le genou est l'articulation la plus fréquemment atteinte en pathologie rhumatismale de l'enfant qu'il s'agisse de l'arthrite chronique juvénile, de l'arthropathie hémophilique, de la synovite villonodulaire ou de l'angiome synovial. Cette atteinte pose des problèmes diagnostiques et conditionne le pronostic fonctionnel en terme de déambulation du fait des attitudes vicieuses et des troubles de la croissance engendrés. A la phase initiale, les radiographies sont le complément essentiel de l'examen clinique surtout si la présentation n'est pas spécifique. A la phase évolutive, la radiographie standard participe à la classification des affections rhumatismales chroniques de l'enfant et permet surtout de déteminer le stade évolutif selon des critères radiologiques objectifs différents de l'adulte. L'échographieDoppler et surtout 1'iRM permettent une évaluation précise de la progression de la maladie et de l'efficacité du traitement notamment par synoviorthèse. Mots clés : Genou

17 h 18

Durée : 8 minutes

MASSES DES PARTIES MOLLES AUTOUR DU GENOU CHEZ L'ENFANT P PETIT,M PANUEL JL JOUVE, S CHAWY, G GORINCOUR, B BOURLIÈRE-NAIEAN, K CHAUMO~TRE, G BOLUNI, G MAGALON MARSEILLE - FRANCE

Résumé :Il s'agit d'une pathologie rare en pédiatrie, de causes variées, dont l'examen clinique est essentiel dans l'approche diagnostique. Age de l'enfant, date d'apparition (présent à naissance ou plus tardivement), circonstances de survenue (le caractère post-traumatique ne doit pas faussement rassurer, le traumatisme pouvant être le révélateur d'une affection préalable), siège, caractère mobile, douloureux, coloration de la peau sont des éléments d'orientation diagnostique capitaux. Les clichés standard face et profil en position couchée sont quasi-systématiques : outre l'information sur la tonalité de la lésion (graisse d'un lipoblastome, calcification d'un phlébolite d'une malformation veineuse), ils renseignent sur la présence d'une lésion osseuse sous jacente. L'échographie-Doppler représente l'examen de deuxième intention permettant une localisation anatomique précise et parfois une caractérisation (kyste poplité, malformation veino-lymphatique, ankvrisme poplité, cul de sac sous quadricipital cloisonné,.. .). La réalisation d'une IRM n'est pas systématique, fonction

des données des examens préalables et de la stratégie thérapeutique collégiale (dermatologue, orthopédiste, plasticien, radiologue) adoptée. La place du scanner est quasi-inexistante sauf en cas de suspicion de myosite ossifiante où l'analyse des calcifications et des rapports avec l'os sous-jacent n'est idéalement précisée que par cet examen. Les lésions vasculaires représentent la pathologie la plus fréquente autour du genou, dominée par les malformations veineuses. Mots clés : Genou - Parties molles