Mercuriale de groupes et de relations

Mercuriale de groupes et de relations

C. R. Acad. Sci. Paris, t. 326, Sirie I, p. 219-222, Systi?mes dynamiques/Dynamical Systems (Thborie des groupes/Croup Theory) Mercuriale de groupes...

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C. R. Acad. Sci. Paris, t. 326, Sirie I, p. 219-222, Systi?mes dynamiques/Dynamical Systems (Thborie des groupes/Croup Theory)

Mercuriale

de groupes

1998

et de relations

Introduction Soit

(.\‘.

mesur& groupe Un

1,)

s~,sfc”~w

cat

petit?

relation

Elk

htkitv

d’unc

d’appellation

Par

a’ distance

exemple.

R est engendrke 2 I/. et la :structurc: n’existe

t’amille

uiie

entro

relic

;,(

. 1. 4 11s sent

par

dc gruphe

pas d’identiiicution

.f.) -

I

,/ ,- I. .I’ E

doiiilt

(; est engcndrti

mesurablt~.

G.

est iwmorphc au scns

\ ,

oil

‘l2

soit ‘I?

uric

writ

relatioti

Ies

cl’Pquivalence

orbitc\

Ax

I’action

d’un

(IY~~J. 121). I,

- II, J,,

La

f d’isonlorphisrn(~~ relation

uric

c~l;lsw

dt2

I’ E

les cl6ments

dc

m~tricliita

uiic’

Ix\itt

d:uns

(~11

pan’

II iwmorphismcs

de

II cnfcndrt: \ont

;I I’orbitc (‘onimc

des orbitc\

:

.i.

I Ic>\ sommets

1 clui

des

de

et

classes /j

4) :I ( ;,

borClrennes

tlistinct5)).

le systkme

proh~thilit~. Les

prdcrvant

de graphe

,q 2 p.,(g)

si le groupe

dc /I.

dCnombrablc pal-tie\

vkitiant s~n~cture

?-,

\tanJard. pr&crvant

(,’ d’automorphi~iiles

dklinis

plus

borGlien

d2nombrables

d6nombrable

partiellemcnt

;, (/ J)

eqx~ct:

LIII

in classes

141. on

(I,> ) ctt qit !I,

dktlnis

Ic ctvraphe

de Cal

c‘t

plus

delinit

wr

de Cayley kc

.Y.

qui

a un sommet

tic

1.

place

j/ et

(1) :

la relation

;~lora

pour

du groups.

la

dc 0rientCe

ar?te

III-K

le c7uir

entier.

X,1,.

o,.&tr

jqaintlt~

.Y tout

il.

alcncc

appclk

L’S1

librement

sur

au graphe

.Y

I’orhite

cl,,, (la

pr&rrvant

d’tiqw\

un

cotit

&al

(‘cpendant, IWI\ II@.

il tandis

219

D. Gaboriau

Esquisse

de dbmonstration

, COI~~IIK II:II~~ lc th6or~n~c. I.?.. quc C(G) 5 Cl .\ i

Soit CP = i g,, i, On \,eut 6tablir

du thtorkme et soit ,\ un systtime

qui ..I les mzmea

orbite\.

&rr/w 1 : .s\~.s~~~Hc~rt/rr/~c,. - ~‘uiqu’lls ant I?\ m@mes orbites et pour .I’ appartcnant au domaille d’un gMrateur r:’ de I’un clea s\stc:mo\. iI existe 11n premier (quitte 5 se dormer un bon ordre sur 1~s mots) mot 0. 6crit ii l’aide dcs Ic’tlrc\ tic l’autrr hystkme tel que (I’ soit dCtini cn .I’ et CL(J) = C’~(.I~). On peut dtablir qul: quel quc soil > 0. il euistcs un \y\t&ie fini 12 = (~1, : I’, - E,),L~(l,l! -; qui ;I les mSme\ orbites clue (1). ICI quc‘ : i, 1) f I ) chaque u:, C !? coYncicle sui‘ 11~1 I), Alec 11114b-niot l/i, = ;iI:: :::,I; p,:: ; 7;;;. ; ‘, de Ytl,L_‘] longueur /I,;). a\ec i( i. L) (- I I.:!. ,r) cl -(i. 1, I =: I 1 :

220

Mercuriale

(2) le domaine de chaque p,, se dCcompose en un nombre fini de pikes avec un II-mot ; (3) C(U) < E -t C(A). .&jw 2 : d&hienwnt. - Soient alors U,.k. On construit un espace I7 coniinc X: E {O,l.....l(l)}\{O.I(I.)}. Tribu ct de celles de .Y. On dCtinit les isomorphismes ‘T,,], wr h faire commuter les diagrammes :

de groupes

et de relations

WI’ leaquellcs pi?, coi’ncidc

0, ,, = II, t’t U , 1, = ;;,‘:;~:(fl,.j, I ) cl 1, 1, Line copie clc rkmion disjointe de .Y. el des A,,r pour I
Avec la mZme notation pour le co3 (r&me

4 /I( 1’ ) f 1). il est manilkstc

I’ : \’

. ‘i de man&c

yuc :

Deux points .I’, g t Y sent dans la m6me Sorbitc si et seulement si I’(.{.) cl 01 g, sont dans la meme Q-or-bite. De plus. les orbites \c)nt uniform6mrnt quasi-isomktriques : il cxixtc tleux nombres C1 et Cp indkpendants de .I’ et ~1tels que : ,l,l,(f’(.~.). I’(g)) ‘: (I~;(J.J/) < (‘, .(I,I.(I’(.I ). p(!/))+C‘,. En particulier. si (1 et I! sent dans la mi‘me /‘-fibre. ,lX(t/. 11) 5 C::!. On \:a chcrcher. par I’Ctape 3. B rkduin: cette distance : L’application u,,I. i-i pi;:::, se proloiige cn un morphisme Z’* de\ C-mats dans les ‘I’-snots. L’image par I’, d’un ?<-mot de II Sl I’ est un d)-mol UDIZ rr;thrit pui\qu‘il correspond h un c~clc dans I’mr-l)w reprkentant l’orbite dc P( (I ). &pe 3 : rt~ductior~. ~ Rebaptisonh ( CJ,;I,,,~., le systCrne !? = 1:. Donnons-nous un vrdre total SUI I’ensemble fini K” des paires (u! ‘. o , ) air (T E Y. ,7 # 0,. c = i I et I’, (mi’ ) = I’, i mi’ ). Pour la premkre d’entre elles. disons (~ti,. (12 ) appelons Is ’ I’onsemble des .I’ appartenant ,WX domaincs de dans (kI et de (I’?, pour lesquels les images (~1(.I.) ct rt2i.l ) \ont distinctes (elles sent tk~w~irement la m6me I’-fibre). Soit X’ la projection dc 1’ sur 1’ :~ l’/litl(.rJ - (t:!I./.J pour .I’ ‘- 1 ‘) et wit I” la tactorisation I’ = 1” 3 r’. I,e\ u:. dktcrmin& par le diagramme commutatif’ sul\‘ant (consid&+ lorsyue la fkhe horizontale du haut est Gfinie) sont des i\omorphismes horklictl\

Du coup, c,: et (1: coi’ncident sur ;r ’ I I ” j : supprimons cctte partie du domaine dtt o / et appelons encore CX~la restriction au reste. Soit \:’ = (IT: jlF., Ic \yst&rne sur J.’ constitut5 des CJ: ainsi construits. Puisque /,(C;‘) est la diminution dc mesure de I’e\pace et la diminution de cofit du svstkme. c(z:‘,

~- ,,(I”)

= c’i!:) - //(jr) 221

D.

Gaboriau

L’enaemble Ii’ dltini pour !:’ et produisons de la m&me fqon paire. oh. achevant I’&ape 3 on c’(\:“j

eht en bijection naturelle avec hi’. Passons dons il la paire suiwntc (1.‘. \:‘i il partir de (I’ ’ X’ ,.i Et ainai de witc juqu’2 la clernit’re pro&it ( 1. ‘I. \:” I qui vkritie : :/()“!;I

= co:

-~ [‘II’)

= c’(C)) - ,/(.\‘J.

Si I’ n’Ctait pas ilijective. dot3 pour chaque paire clc points distinct\ .I’ et j/ tic la meme I’-tibrc. leurs images .I’ ” et ~1“’ dans 1. I’ w sonl rapprochles : ~l,.~(.~.“.y”i <..:tlt,(.t. i/~. Appliquons plusieurs fois I’Ctape 3 il \: “. ~jusyu’2 0hIenir (1’.’ \: ’ ) pour lequcl I’-’ : 1. ’ -. \ wr so11 domaiiic 3wc In +-lcttw I’.” j fly j et !; ’ ;I 1~s est un isomorphisme. Clique 0’ ctjincitlc m&me\ orbites clue I’~~~~~~IYI,,~ ~3’ (I). On cn tltiduit qua’ i’( 4) 1 < C’( \:’ 11 cl c1onc c’( 4): 1: _ -t c’i .\ I,

Conclusion

Rbf&ences

222

bibliographiques