ORL20 Aspect post-therapeutique en carcinologie ORL

ORL20 Aspect post-therapeutique en carcinologie ORL

Conclusion :Les complications locorégionales des sinusites aiguës constituent une urgence rare mais grave. L'imagerie en coupe permet un diagnostic pr...

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Conclusion :Les complications locorégionales des sinusites aiguës constituent une urgence rare mais grave. L'imagerie en coupe permet un diagnostic précoce et précis améliorant ainsi le pronostic et la prise en charge thérapeutique. " Mots clés : Sinus, infection

TUMEURS MALIGNES DU MASSIF FACIAL. A PROPOS DE 14 CAS CH CHAMMAKHI-JEMLI, S MKAOUAR, O BENGAMRA, W ZOUAOUI, A MAMI,H MZABI,S SEHILI-BRIKI, A ELKHEDIM, MH DAGHFOUS TUNIS - TUNISIE Objectifs : Préciser l'apport de l'imagerie en coupe dans l'étude des tumeurs malignes du massif facial avec une revue de la littérature. Matériels et méthodes : Etude rétrospective de 14 cas de tumeurs malignes du massif facial. Tous les patients ont bénéficié d'un examen tomodensitométrique d'emblée avec injection intraveineuse de produit de contraste, 6 d'entre eux ont bénéficié en plus d'un examen IRM. Résultats : La tomodensitométrie a permis, outre de montrer le processus tumoral, de faire un bilan d'extension locorégionale précis chez 8 cas de tumeurs maxilo-palatines. Une IRM est jugée nécessaire chez 6 patients présentant une localisation haute ethmoïdo-nasale avec extension endocrânienne chez 4patients et orbitaire chez 2 patients. La nature histologique des tumeurs est confirmée par une biopsie directe. Mélanome malin dans 2 cas, LMN dans 3 cas, lymphome de Burkitt dans 1 cas, carcinome améloblastique dans 1 cas, carcinome adénoïde kystique dans 2 cas, esthésioneuroblastmeolfactif dans 2 cas, rhabdomyosarcome dans 1 cas, carcinome épidermoïde dans 2 cas, chondrosarcome mésenchymateux dans 1 cas. L'évolution post-traitement est bonne sauf un cas de récidive, après 12 ans, d'un carcinome adénoïde kystique. Conclusion : Les tumeurs du massif facial, étant très longtemps accessibles à la chirurgie d'exérèse, doivent bénéficier d'un bilan radiologique précis en fonction de leur localisation, ethmoïdonasale (TDM+IRM), maxillo-palatine (TDM seule). " Mots clés : Massif facial, tumeur maligne

Poster commente - Lundi 17 - 13 h 18 - Théâtre

ASPECT POST-THERAPEUTIQUE EN CARCINOLOGIE OR1 F BIDAULT, F PIGNEUR, M JULIERON, R SIGAL VILLEJUIF - FRANCE Objectifs : Connaître les différentes formes post-thérapeutiques normales et pathologiques en carcinologie ORL. Matériels et méthodes : La surveillance en carcinologie ORL repose sur la clinique, l'imagerie, l'endoscopie associée à d'éventuelles biopsies. A I'IGR sont effectuées chaque année environ 1 000 scanners et 500 IRM, dont une majorité dans le cadre de surveillance et de suivi post-thérapeutique. Résultats : La présentation des aspects post-thérapeutiques est abordée sous trois angles : 1) les aspects bénins post radiothérapie et postchirurgie (curages, lambeaux de reconstruction) ; 2) la récidive (locale, ganglionnaire) ; 3) les complications post-thérapeutiques. Conclusion : La recherche d'une récidive, d'une complication et le choix de la modalité d'imagerie doivent être réalisés en connaissance de la maladie initiale, des traitements reçus et de l'appréciation du clinicien au moment du suivi. Les aspects post-thérapeutiques normaux présentent parfois des pièges pour le radiologue. Mots clés : ORL, tumeur maligne - Radiothérapie, complication

KYSTE HYDATIQUE A LOCALISATION INHABITUELLE : MANDIBULAIRE ET OS ZYGOMATIQUE C HAFSA, H KACEM, T BENALAYA, S KRIAA,M ZBIDI, M GOLLI, M BENKHALIFA, MH HAMDI,A GANNOUNI MONASTIR - TUNISIE

Objectifs :A travers deux observations de kyste hydatique de la face, on propose de rappeler les aspects radiologiques et l'apport de l'imagerie dans le diagnostic positif et la surveillance de cette parasitose. Matériels et méthodes : Nous présentons dans ce travail deux observations de kyste hydatique de localisation faciale. Les deux cas ont été explorés par une échographie et une TDM. Résultats :La première observation est une fille de 18 ans qui a consulté pour une tuméfactionjugale. L'imagerie a montré une masse liquidienne extra-osseuse avec des signes d'empreintes et de résorption. Abordée comme une formation kystique, l'examen anatomopathologique est venu poser le diagnostic. Le deuxième cas est un jeune de 20 ans qui a consulté pour une tuméfaction de la face. L'échographie et la TDM ont montré une masse kystique avec une paroi propre uniloculaire. Le diagnostic de kyste hydatique a été confirmé par l'histologie après l'exérèse chirurgicale. Conclusion :Le kyste hydatique est une pathologie parasitaire endémique qui touche surtout le poumon et le foie. Sa localisation dans la sphère bucco-faciale est exceptionnelle.Devant une masse kystique dans une zone endémique, il faut penser au kyste hydatique. L'imagerie joue un rôle dans le diagnostic positif et fourni un bilan lésionnel complet. Toutefois, les examens immunologiques constituent un complément diagnostique. " Mots clés : Massif facial, parasitose

CORRELATION RADIO-HISTOLOGIQUE DANS LE DIAGNOSTIC DES IMAGES RADIOTRANSPARENTES MAXILLO-MANDIBULAIRES. A PROPOS DE 120 CAS I MEJRI,M CHELBI, K MRADDALI,W HAJLAOUI, H KHOCHTALI, K TLILI GRAIESS SOUSSE- TUNISIE Objectifs : Préciser l'apport de l'imagerie et son degré de concordance avec l'examen iatomo-pathologique dans le diagnostic étiologique des images ostéolytiques maxillo-mandibulaires. Matériels et méthodes : Cent vingt dossiers radio-cliniques colligés entre 1995-2005. Les patients étaient explorés par radiographies standard dans tous les cas, TDM 51 cas et IRM 2 cas. Le diagnostic histologique était obtenu dans tous les cas. Résultats : Il s'agissait de 36 femmes, 84 hommes, âgés entre 8 et 77 ans. Les radiographies standard avaient montré des images ostéolytiques monoloculaires (n = 85) et multi-loculaires (n = 29). Les localisations étaient mandibulaires (n = 66), maxillaires (n = 50), maxillo-mandibulaires(n = 4). La TDM avait précisé la nature tissulaire, liquidienne ou mixte, l'extension aux parties molles et/ou une rupture corticale. L'histologie avait retrouvé un kyste apico-dentaire (n = 46), kératokyste (n = 22), améloblastome (n = 14), kyste péricoronaire (n = 12), myxomes (n = 2), histiocytose X (n = 3), kyste fissuraire (n = 8), granulome à cellules géantes (n = 5), tumeur brune, fibrome (n = 2), tumeur adénomatoïde odontogène, tumeur de Pindborg, kyste essentiel, kyste anévrysmal (n = 1). La concordance clinico-radio-histologiqueétait de 60 %. Conclusion : Les radiographies standard sont parfois suffisantespour orienter le diagnostic. La TDM et I'IRM permettent de l'affiner et de préciser le bilan lésionnel. La confirmation est histologique. Mots clés :Massif facial, anomalie