QCM
Évaluez-vous ! 1
Ceci est un questionnaire à choix multiples. Par conséquent, il est possible que certaines questions puissent bénéficier de plus...
Ceci est un questionnaire à choix multiples. Par conséquent, il est possible que certaines questions puissent bénéficier de plusieurs réponses possibles. Dans ce cas, il s’agit de les cocher toutes.
Dans quelles circonstances retrouve-t-on les ExPEC :
A. A Infections urinaires. urinaires B. Maladie de Crohn. C. Syndrome SHU. D. Méningites néo natales. E. Diarrhée des voyageurs.
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La résistance aux fluoroquinolones, chez les souches invasives de E coli, était en France en 2014 entre :
A. 0 et 15 %. B. 16 % et 30 %. C. 31 % et 50 %. D. 51 % et 80 %. E. >80%.
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Parmi ces molécules quelle est celle qui n’est pas potentiellement produite par certaines souches de E coli :
A. Colibactine. B. Protéine CIF. C. Cytotoxin necrotizing factor. D. Hormone de satiété. E. Shiga toxine.
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Parmi ces bactéries quelle est celle qui est à l’origine de la CTXM-15 retrouvée chez les souches de E coli BLSE :
A. Klebsiella pneumoniae. B. Raoultella ornithinolytica. C. Enterobacter. D. Acinetobacter. E. Kluyvera ascorbata. F. Pseudomonas aeruginosa.
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La majorité des souches pathogènes extra-intestinales appartiennent au groupe phylogénétique :
A. A. B. B1. C. B2. D. D. E. Z.
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L’enzyme bêta-lactamase à spectre étendu, présente chez des E. coli commensaux la plus répandue dans le monde est :
A. A CTX-M-9. CTX M 9 B. CTX-M-15. C. TEM-15. D. CTX-M-2. E. SHV-12.
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Infections à EHEC : quelle sont les bonnes réponses :
A. En cas de colite hémorragique, 90 % des patients diagnostiqués présentent une diarrhée sanglante. B. En cas de SHU tous les enfants de moins de 15 ans présentent une diarrhée sanglante. C. La période d’incubation des infections à EHEC est toujours plus longue que celle des autres diarrhées infectieuses. D. Le SHU constitue la première cause d’insuffisance rénale chez l’enfant de moins de 3 ans. E. O104 représente aujourd’hui la majorité des sérotypes responsables de SHU avec 28 % des sérotypes.
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Concernant le diagnostic des infections à EHEC, quelles sont les bonnes réponses :
A. Le diagnostic des infections à EHEC se fait à partir de selles recueillies dans le mois qui suit les premiers symptômes. B. Le diagnostic des infections à EHEC se fait par PCR sur les selles des gènes stx et eae. C. Le diagnostic des infections à EHEC se fait par coproculture standard. D. Le diagnostic des infections à EHEC nécessite un enrichissement en milieu peptoné. D. Le diagnostic des infections à EHEC se fait par sérodiagnostic anti LPS.
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Les cas groupés d’infection à EHEC surviennent plus fréquemment :
A. A Dans les EPHAD. EPHAD B. Dans les collectivités d’adultes. C. Dans les collectivités d’adolescents. D. Dans les collectivités d’enfant de < de 5 ans.
ESCHERICHIA COLI
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Dans la transmission interhumaine quels sont les 2 facteurs de risque de dissémination les plus importants ? A. L’hygiène des mains. B. La gestion des excreta. C. L’environnement immédiat du patient. D. L’utilisation de douchettes.
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Quelles sont les propositions retrouvées dans les recommandations de la HAS ? A. É Éviction des travailleurs symptomatiques des collectivités. B. Éviction des travailleurs symptomatiques touchant aux denrées alimentaires. C. Pas d’éviction en première intention d’un porteur asymptomatique en collectivité. D. Réintégration dans une collectivité d’un personnel après une selle négative.
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Parmi les facteurs suivants, quels sont ceux qui participent à la diffusion intra hospitalière des Entéobactéries sécrétices de bêta-lactamase à spectre élargi ? A. La pression de colonisation (ie, le nombre de patients entrants colonisés/infectés à EBLSE). B. La pression de sélection antibiotique. C. Le niveau d’observance de l’hygiène des mains. D. La charge en soin. E. Tous les facteurs cités. Quels sont les éléments qui justifient absolument une politique de type « chercher et isoler » dans une structure hospitalière ? A. A Une U observance b faible f ibl de d l’hygiène l’h iè des d mains i B. Une incidence élevée des entérobactéries sécrétices de BLSE. C. Une incidence élevée de K. pneumoniae et ou Enterobacter sp sécrétrices de BLSE. D. L’absence de politique de maîtrise de l’antibiothérapie. E. Aucune, la maîtrise de la diffusion des EBLSE repose sur la maîtrise des précautions standards.
RÉPONSES
AUX QUESTIONS
Voir en première page de la rubrique Entreprise Labo, page 83
B. BOISSONNET / BSIP
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REVUE FRANCOPHONE DES LABORATOIRES - NOVEMBRE 2016 - N° 486 //