Qu’apporte l’IRM a la caracterisation des masses surrenaliennes

Qu’apporte l’IRM a la caracterisation des masses surrenaliennes

tion et la caractérisation des lésions surrénaliennes. L'analyse inclut l'évaluation de la taille de la lésion, des critères morphologiques et la mesu...

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tion et la caractérisation des lésions surrénaliennes. L'analyse inclut l'évaluation de la taille de la lésion, des critères morphologiques et la mesure de sa densité, spontanément puis après injection intraveineuse de produit de contraste de façon à tenter d'évaluer l'importance de la composante lipidique. Conclusion : Le scanner multibarrette est la modalité de choix pour l'exploration d'une masse surrénalienne. La densité spontanée et après injection de produit de contraste permet de différencier un adénome d'une lésion maligne. " Mots clés : Scanographie - Surrénale, tumeur

Conclusion : Dans un contexte néoplasique, le PET-CT avec 18FFDG a une haute VPN. Devant un incidentalome SR, quand la TDM ne peut trancher seule, le PET-CT a un rôle à évaluer dans le bilan pré-opératoire. Dans la surveillance des CSR, son rôle est certain. F Mots clés : TEP - Surrénale, tumeur

16 h 1 5 : Pause

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15 h 4 0

Durée : 15 minutes

QU'APPORTE L'IRM A LA CARACTERISATION DES MASSES SURRENALIENNES P OTAL,J AURIOL, B VIERASU, H ROUSSEAU,V CHABBERT, F JOFFRE TOULOUSE - FRANCE Objectifs :Connaître les avantages, les limites et les indications de 1'IRM dans l'exploration des masses surrénaliennes. Savoir adapter le protocole d'exploration IRM au contexte pathologique. Résumé : La haute résolution en contraste de 1'IRM est susceptible d'être mise en application pour de très nombreuses masses surrénaliennes : détection des lipides intracellulaires des adénomes, du tissu graisseux du myélolipome, de la riche vascularisation du phéochromocytome, analyse des produits de dégradation de l'hémoglobine, des liquides. Toutefois, la TDM règle la majorité des problèmes, notamment dans la situation de loin la plus habituelle de la pathologie tumorale surrénalienne, celle du diagnostic différentiel adénome-métastase où la mesure du lavage tumoral en TDM est plus performante que l'imagerie par déplacement chimique. L'IRM n'est pas davantage performante que la TDM pour détecter une composante graisseuse. De même, le classique hypersignal en pondération T2 des phéochromocytomes n'est pas un signe sensible alors que le rôle de I'imagerie dans ce contexte est moins à la caractérisation qu'à la localisation, rôle que joue la TDM avec de meilleures résolutions spatiale et temporelle. Le corticosurrénalome malin ne pose pas de problème de caractérisation car il s'agit généralement d'une masse volumineuse pour laquelle la chirurgie est indiquée d'emblée. Conclusion : Finalement, I'IRM trouve sa vraie utilité dans les problèmes difficiles mais rares des lésions kystiques ou hémorragiques et en cas de contre-indication à la TDM. a Mots clés : IRM - Surrénale, tumeur

16 h o 0

Durée : 10 minutes

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d e la prostate et d u contenu scrotal Modérateur : Nicolas Grenier

16 h 3 0

Durée : 15 minutes

AFFECTIONS INFLAMMATOIRES DES ORGANES GENITAUX PROFONDS F CORNUD PARIS - FRANCE Objectifs : Montrer les aspects échographiques et IRM des affections inflammatoires de la prostate, des canaux éjaculateurs, des confluents vésiculo-déférentiels, des vésicules séminales et de la portion tenninale des canaux déférents. Résumé : La pathologie inflammatoire des organes génitaux profonds est représentée par la prostatite aiguë, l'abcès de prostate, la prostatite chronique bactérienne et non bactérienne, la prostatite granulomateuse et les sténoses distales inflammatoires des canaux éjaculateurs, complètes ou partielles. Les symptomes révélateurs peuvent être urologiques (hémospermie, troubles mictionnels) ou une hypofertilité. L'imagerie n'est pas indiquée dans toutes les circonstances, notamment en cas de prostatite aiguë, mais devient indispensable pour explorer la prostate et les confluents vésiculo-déférentiels si l'on désire trouver la cause d'un obstacle distal des canaux éjaculateurs ou d'un symptome clinique comme I'hémospermie. Si l'échographie reste l'examen de choix, I'IRM pelvienne procure des informations spécifiques que l'échographie ne décèle pas toujours, comme un retentisssemnt débutant d'une sténose partielle des canaux éjaculateurs ou une rétraction inflammatoire des vésicules séminales. Conclusion : L'imagerie de la prostate et des confluents vésiculodéférentiels fait partie de l'exploration des hommes présentant des signes suggérant une inflammation des organes génitaux profonds. Mots clés : Appareil génital masculin, inflammation - Voies Urinaires. inflammation - Prostate

EVALUATION DES MASSES SURRENALIENNES PAR PET-CT F TENENBAUM PARIS - FRANCE

Objectifs : Le PET-CT est une modalité très répandue d'imagerie avec comme principal radiophamnaceutique le 18F-FDG visualisant une activité glycolytique intense. L'étude des masses surrénaliennes (SR) peut aider à la décision chirurgicale. Résumé : Dans un contexte néoplasique, une masse SR fixant le 18FFDG est en rapport avec la malignité (biopsie ou suivi évolutif). Le 18F-FDG négatif a une haute valeur prédictive négative (gt ; à 95 %) pour le diagnostic des métastases SR des cancers pulmonaires. Dans un contexte non néoplasique, la masse SR est-elle maligne et peut-on avoir un bilan d'extension par le même examen ou en cas de surveillance des corticosurrénalomes (CSR) ? Le bilan de surveillance des CSR par PET-CT donne des résultats intéressants dans la mesure où des récidives n'ont pas été évidentes au TDM seule. En ce qui concerne les incidentalomes SR, les résultats sont encore préliminaires et l'on sait que certaines masses bénignes peuvent fixer le 18FFDG mais de façon moins intense que les masses malignes.

16 h50

Durée : 15 minutes

ECHOGRAPHIE DE LA PATHOLOGIE SCROTALE EXTRA-TESTICULAIRE L ROCHER, A GIURIA, Y MENU LEKREMLIN-BICÊTRE - FRANCE

Objectifs : Améliorer l'identification et l'analyse des structures extra-testiculaires : épidydimes dans leur totalité, déférent, tuniques, hydatides ... Illustrer leur aspects pathologiques : infections, occlusions génitales post infectieuses ou malformatives, tumeurs des épidydimes, du cordon, de la vaginale ... Résumé : Les épidydimites chroniques sont le plus souvent asymptomatiques et diagnostiquées à l'occasion d'un bilan d'infertilité : l'épidydime présente un aspect de dilatation canalaire finement aréolaire et hypoéchogène jusqu'au lieu de l'obstacle où l'on identifie fréquemment des inclusions échogènes. Le sperme stagnant peut apparaître échogène. Dans les absences des canaux déférents, volontiers d'origine génétique (mutation du gène CFTR), il existe une interruption brutale