Etude de la tension superficielle de melanges fondus NaF—ZrF4—Zr02

Etude de la tension superficielle de melanges fondus NaF—ZrF4—Zr02

JOURNAL OF NUCLEAR 27 (1968) MATERIALS 36-47. 0 NORTH-HOLLAND ETUDE DE LA TENSION SUPERFICIELLE C. DECROLY, Service de Mktallurgie A. et d’El...

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JOURNAL

OF NUCLEAR

27 (1968)

MATERIALS

36-47.

0 NORTH-HOLLAND

ETUDE DE LA TENSION SUPERFICIELLE C. DECROLY, Service

de Mktallurgie

A.

et d’Electrochimie,

La

m&hode

necessaire

utilisee

consiste

pour arracher

en platine-dont liquide-de

une

it mesurer

une plaquette

a&e

superficielle.

superficielle

d’une

Nous

&rie

avons

de

&udii!

melanges

ZrF4-ZrOz ainsi que 3NaF.AlF3-A1203 d’argon.

11 n’est

tension

superficielle

pas

apparu

avec

ajoute

le

ZrO2

de

On

mis

superficielles

et dans

de NaF

tensions

NaF-ZrF4-ZrOz

tension

pur n’est toutefois

pas modifiee

superficielles

mesurees

influence

dans

les

3NaF

plate-a

to pull

out a rectangular

Platinplatte

super-

Platte

par la

Verbindung

sur les

from the surface of the liquid tension. lot

of

We fused

have

3NaF*AlzFs-111203.

1.

studied

mixtures No

of

the

war rechteckig mit

surface

marked

und

platinum

modification

of

surface

influence

no

tnlg

die

die

auf den

of

alle

011 in

cincr

drr

geBndert

zum

Introduction

Phase11

warerl LIIX~

Oberfliichen

zu NaF-ZrFA-

zur

3NaF.

dnderungen. Kohlentliosid, van

. Reines

so wircl

Natrium-fluorid

Ebenfalls

tltsr Salzschmelzen

esl)~~rimrrtt~elleIl

AIFs-

Enthglt,

NaF-ZrF~l-ZrOz

Oberfllicherlsparlrlung Argon.

in

NaF-ZrFe-ZrOz

Oherfliichon

gleiche

Die

Die Messungen

ZrOz-Zusatz k&no

einer

wird.

einer Kanto

fliissigen aus

OfenatmospBrr:

gegebenou

Phase.

AlzOs-Zusatz sich

Kohlenmorlosidzusatz

t’he

Die

Durch

oder

bcniitigt

mltl stand mit

Argon.

ergabon

COz-Zusiitzen

of a

and

the

by the presence

has

Oberfltiche

Mischungen

3NaF-Al203

behglt

surface

tension

the

NaF-ZrFA-

Ober&chenspann

der fliissigcn

unter

das Verhalten

with the liquid-

NaF-ZrF4-ZrOz

monoxide

die

3NaF-AlF3-A1203.

of the force

of the unknown

changes

Though,

is Ilot, affected

von ihrer

geschmolzene

conditions

small

*AIF~-AI~OZ.

wurde

Mischungen

ridge of which is in contact

it

mixtures

experiments.

dagegen necessary

of the presence

fllrnace:

t’ension of the melt#s we ha\,c: stud&l

Qemessen

d&rites.

consists in the determination

t,he influence tho

dioxide.

Schmelze The method

ZrOz t,o NaF-ZrF4

3NaF*Al#s.

of the fllsetl

of pure NaF

orfolgten

aucune

Bruxelles,

fhissigen Phase iiber die Kraft,, die zur Abliisung

carbonique. n’a

de

la

ainsi que

La

de carbone

exp&imentales

de

and

the surface

des propri&&

3NaF*AlF3-A1203.

d’anhydride

L’oxyde

l’influence

in

In our case, carbon

dans I’atmosph&re

une modification

des melanges

melanges

presence

Evidence

carbonique

du four. On constate

ficielle

en

d’anhydride

Libre

by adding

also shown dioxide

of carbon

these

a ensuite

appears

properties

tension

*AIFs.

presence

have

carbon

surface

respectivement

NaF-ZrFa

UniversitB

or A1203 to fused

We of

NaF-

variation

WINAND

Appliqudes,

surface tension

la tension

fondus

FONDUS NaF - ZrF4 - ZrOz

1968

melts

sous atmosph&re

de forte

lorsqu’on

ZrOz et A1203 dans les melanges

des

force

la surface liquide dont on veut determiner

la tension

3NaF

le 18 janvier

la

CO., AMSTERDA3I

5, Belgique

rectangulaire

est en contact

et R.

des Sciences

Bruxelles

Requ

DE MELANGES

FONTANA

FacultB

PUBLISHING

such

ohno

btli

Einfluss

blieb

Bedingungen

untc,I tin

zur OfenatlnosphBrc,.

Parmi les m&hodes classiques de dktermination des tensions superficielles l, “) nous avons utilisk celle d&rite A plusieurs reprises par Bertozzi 334). Elle consiste, dans son principe, B mesurer la force nkessaire pour arracher de la surface du bain une plaquette en platine rhodi6 $ 10%. Si I cst la longueur de l’ar6te de la plaquette en contact avec le bain et si F est la force nkcessaire pour arracher la plaquette du bain, la tension superficielle est

Dans le cadre d’une Etude de l’effet d’anode apparaissant lors de l’klectrolyse de melanges fondus de fluorure de sodium, de Gtrafluorure de zirconium et d’oxyde de zirconium, nous avons &A amen& B Studier les proprit%& superficielles de ces Electrolytes, et en particulier des melanges $ 0, 5, 10, 15, 20 et 25 mole y0 de ZrF4 auxquels on ajoute ZrOz en proportions variables. 36

ETUDE

par i&F/l mg/mm,

don&e

DE LA TENSION

SUPERFICIELLE

37

ou par 9,81 (*F/l)

dyn/cm. Nous Btudierons d’abord

la loi de variation

de la tension superficielle de melanges NaFZrFd en fonction de la teneur en ZrF4 du bain B diverses tempkatures,

puis l’influence

de la

presence de ZrOz dans deux melanges NaF-ZrF4. La plupart de ces mesures ont BtB rkalikes sous atmosphere d’argon. Nous avons cependant effect&

quelques mesures en pr&ence

d’anhy-

dride carbonique et d’oxyde de carbone afin de voir si la nature de l’atmosph&re peut influencer la valeur de la tension superficielle.

2.

Partie exphrimentale

2.1. 2.1.1.

MONTAGE EXPERIMENTAL

Four

Les mesures de tension superficielle r6alis6es dans un four vertical

ont 6tB

$ regulation

de

Fig. 2. Reprkentation schematique de l’installation de mesure de tension superficielle. 1. niveau du sol; 2. support de balance; 3. balance METTLER, type BBGD; 4. support du four; 5. colonnes rectifihes de guidage du four (SKF); 6. coussinets de guidage du four; 7. four ADAMEL type RT8 avec r&gulation de temperature du type ChBvenard-Joumier; 8. laboratoire en acier rbfractaire; 9. cables de suspension du four ; 10. poulies de support des cables; 11. creuset en graphite; 12. support du creuset (en graphite); 13. sonde de mesure en platine rhodi8; 14. fil de suspension de la sonde (en platine); 15. canne pyrom&ique; 16. entree d’argon.

du type Chevenard-Joumier, qui permet de rkgler la temperature avec une excellente prkision (* 1 “C B 1000 “C). Le four, suspendu par deux cables en acier, est Bquilibr6 par un contrepoids; l’ensemble est support6 par des poulies fix6es dans le support du four (figs. 1 et 2). Le four peut se d6placer verticalement dans son support, constitu6 de trois colonnes vertitales rectifXes, dont deux serve& de guide. Une vis m&e de tour B usiner plac6e verticalement assure le dkplacement du four. Cette vis est command6e par un moteur B courant continu & vitesse variable, suivi d’un rkducteur de vitesse B plan&aires, du type S.A.D.I. La vis m&e & filet carr6 est caractkiske par un pas de 4 filets par pouce. La vitesse de rotation minimale de la vis &ant de 1 tour en temperature

Fig. 1.

Vue g&kale

de l’installation.

38

C. YECROLY

1 min 65 see, il y correspond

deplacement 2.1.2.

une vitesse de

du four de 3,3 mm par minute.

&j&me

de mastire

E’P AL.

infiirieure du four dans le fond t,andis qu’un autrc thermocouple

du creuset, yroGg6 par

une gsine en platine rhodid ti 10%

de rhodium

plonge dans le m6lange de sels fondus et permet

Le systBme de mesure comprend une sonde en platine rhodie a 10% ainsi qu’une balance

de mesurer la temp&ature

au sein du bain.

Mett,ler t,ype BBGD. La sonde plaquettc

de mesure

rectangulaire

0,5 mm d’epaisseur

est constituee

dkne

de 20 x 30 mm et de

(fig. 3) dont les as&es sont

rectifYit&.

L’argon

passage d’abord concontrk,

puis

soudure) clans de

dans

cinq

est l’acidc tubes

sech& par sulfurique en

verre

contanant de la lake de verre et de l’anhydride

La balance Mettler est munie B sa base d’un orifice livrant passage ii un filin permettant de suspendre la sonde de mesure a son plateau. La balance est placee sur un support en corniQres qui entoure le support du four et qui en est absolument independant, de fagon qu’aucune vibration du montage ne se transmette a la balance.

3 ~

1r

I .ttm.

1

~

i

Fig. 3. Sonde de mesure in platine rhodi6 $ 10% de rhodium. 1. sonde proprement dite, Bpaisseur 0,5 mm; 2. trou 1x6~ pour Ie passage du fil de suspension en pl&ine; 3. &I de suspension en platine

phosphorique. Les traces d’oxyg&ne sont ensuite &min& par passage SUP des tournures de cuivre a 450 “C. Dans tous nos essais, nous avons travail16 aver un debit d’argon de 4 litres par minute.

NaF pur Riedel de Haen, prealablement s&he sous vide ii 180 “C. ZrFa sublime, produit par nous-m&nes 5), ~)r~alablement s&he sous vidc B 180 “C. ZrOs pur Riedel de Haen, pr~a~ableme~lt seehe sous vide a 180 “C. KC1 pour analyse U.C.B., fon.du sous vide. Cryolithe chimiquement pure pour optique, Riedel de Haen. Al&a ~~~irn~querne?~t pm, Riedel de Haen, Argon soudure de la EM. “Air Liquide”. Oxyde de carbone de la S.A. “‘Air Liquide” (N, 35). Anhydride Liquide”. 2.22.

2.1.3.

(qua&5

Mesures de tempc’rature

Les temperatures sont mesurees ii l’aide de thermocouples Pt/Pt-Rh 18 de marque Degussa par ~‘~n~errn~~aire d’un enregistreur potentiom&riquo Honeywell 3 z&o reglable et % sensibilite de X mV a fond d”cSchelle. L’enregistreur est Btalonne periodiquement et son zero est contrW lors de chaque mesure. Les tempeatures ont et& &ah&es sur la base des eourbes ~~ta~on~~ge de la firme Degussa. Un thermocouple est introduit par la partie

carbonique

pur de la S.A.

“Air

.iWode o;lt&toire

Le NaF &ant introduit dans le creuset en graphite AGR du four (50 g), celui-ci est place sous atmosphere d’argon purifict, puis port6 5, f050 “C. Lorsque le se1 est fondu, on pro&de aux additions voulues de ZrFa par petits blocs de quelques grammes, ou de ZrOa en poudre. Le bain est agite & l’aide de la canne pyrometrique protegee par la gaine en platine rhodie, Ensuite, fe bdn est port& a la temperatrue choisie. Le thermocouple superieur est plack a 10 mm du fond du creuset afin de mesurer la

ETUDE

temperature du bain. C&e cornparke a la temperature thermocouple

DE

LA

TENSION

temperature

de l’essai. Le thermocouple

superieur

&ant

bain

contact

redescendre

le four),

et on

pro&de

au tours retire du

d&zap&e a l’acide nitrique, puis a l’acide chlorhydrique concentre et est ensuite rincee a l’eau

tem-

distillBe. Apres un polissage a la pate diamantee,

bain, on introduit avec precaution la sonde de mesure en faisant remonter le four, Apres le premier

(en faisant

aux additions suivantes. Avan% chaque serie de mesures, la sonde est

place au fond du creuset,

perature qui sera maintenue constante

Ensuite, la sonde de mesure est eloignee du

est

par fe

indiquhe

39

SUPERFICIELLE

la

sonde

ethylene

entre la sonde et

est

rineee

% l’ether,

au

trichlor-

et a l’ac&one.

le bain (on determine ce contact par observation de la balance), on fait redescendre le four a vitesse lente de fapon a realiser la premiere

3.

mesure:

on suit les indications don&es par la balancejusqu’a f’instant oh la sonde se d&o&e de la surface du bain. Juste avant le decroohage, la balance indique un poids maximum (~1 mg). Immediatement apres le ddcrochage de la sonde, e&e-& est tar&e (~0 mg) dans l’&at ou elle se tronve, c.-%-d. y compris les condensations Bventuelles sur le fif de suspension et le film liquide qui reste aceroohe b la sonde *. La tension superficielle est donnee immediatement par la relation 73;(pl-PQ)& mgimm, tt &ant la longueurde Far&e en contact avee le bain a la temptkature de l’essai. Nous avons utilise le coefficient de dilatation lineaire de I.,0102 (0 & 1000 “C) et I,0112 (0 a 1100 “C), valeurs interpolees a partir des coefficients de dilatation lineaire du platine pur et du platine rhodid a 20yQ donnes par la firme Engelhard. On r&lise deux a trois mesures successives qui doivent presenter une reproductibiliti; satisfaisante.

3.1.

TABLEAU

Milieu tStudi6

Eau distill6e N&F KC1

*

Tempckature

CT 2s 1050 900 IWO

VahwrvrinterpoI&s.

j

sow atmosph&re

I?r&,crsrow DES MESU~ES

Nous avons tout d’abord releve la tension superfioielle de l’eau distillee a 25 “C, puis celle de NaF et de KC1 purs fondus. Les valeurs trouvees sont eomparees avec Se5 valeurs donnees dans la litterature dans le tableau 1, La concordance entre nos mesures realisees pour l’eau a basse temperature et les valeurs trouvees dans la litterature ayant et& jugee satisfaisante, nous sommes pass& aux mesures a haute temp&ature. Bans le cas de NaF pur, nous trouvons des valeurs legerement inferieures a celles don&es par Jaeger en 1914. Rappelons que l’auteur avait utilise la methode de la pression maximale de la bulle de gas. Bans le cas de KC1 pm> nous troavons des valeurs legerement superieures & eelles de Bertozzi et de Jaeger. L’ecart entre nos valeurs experimentales et celles obtenues par d’autres auteurs peut ~ven~,uellement 6tre dh a des diffkences de purete des produits de depart, et notamment

*

1

Rksultats expkimentaux d’argon

1

R&nltats exp&imentaux @ fmgimm) 7,33 19,oo 9,66 8,90

& f f f

0,03 0,Ol 0,Ol 9,02

1

Valeurs de la litt~krature (mglmm)

7,34 6) 19,95 7) 9,05 ‘f et 9,41 3) * 8,28 7) *

40

C, DECROLY

ET

de la purete des gaz et de la presence d’humidite. n’y voyons en tout cas pas d’autre cause.

3.2.

Plusieurs auteurs ont d’ailleurs resultats de Jaeger s-10).

3.2.1,

Toutefois,

nous avons trouve

les

une variation

de la tension superficielle de KC1 de 0,76 mg/mm entre 900 et 1000 “C, alors que Jaeger donne une variation co~espondaKlte de 0,77 mg~mm. La reproductibi1it.e

et la sensibilite

mesures fut done jug&e satisfaisante

de nos et nous

sommes passes alors aux mesures relatives systeme NaF-ZrFd-ZrOa.

au

ESS&%i

no.

NaF m

0323

zroz

ZrF4 m %

( % POW

rampe

X

u

(“C)

(mgimm)

1047

l&95

1046

19,15

0806

1058

19,o

0806

1048

19,15

1044

17,7

0415

1043

IS,0

0606

1042

17,9

1049

16,95

0405

1050

16,7

90

10

uniquement de calcinm,

Valeur

moyenne

I

des essais

(mg/mm)

(“C)

19,0 & 0,15

T

0,15

1043

16,s & 0,15

1046

17,85 *

1045

16,95

1041

16,85

0426

1045

16,8

0606

1047

16,75

0421

949

17,85

17,85

949

1046

15,85

15,85

1045

16,6

16,6

15

940

0424

I049

15,05

0407

1049

14,95

0415

1046

14,9

0426

1042

14,2

0428

1042

14,4

0606

1047

14,3

0404

80

20

25

14,7 *

940 0,3

1046

15,15

1011

13,75

1051

~~~~q~: Ls, dispersion dee rtkultats au~en~ lorsque le tenem en ZrFo augmente. Les essais rep&& pap les mGmes numtkos sont rhalish it la suite les uns des mutres, dans l’ordre compositions

croissantes en ZrF4.

C’est

1050

0415

85

un flacon suivi d’un

P moyenne

de u

0425

0415

relativement

-

0606

0404

comprenant du chlorure

d’argon

2

0407

5

purifkation

A 450 “C. Les mesures Btaient peu reproductibles.

18,9

95

de

four contenant des tournures de cuivre chauffees

19,o

0324

SYST~ME

~~~~~~~~ ~r~~~~~~~~~~

sommaire, contenant

1052

0

AU

Sauf dans Ie cas de NaF pur, nous avons

1049

100

0324

RELATIVES

rencontre de grosses difficult& lors de nos premiers essais, ou il Btait fait usage d’une

TABLEAU

Composition --

MESURES

NaF - ZrF*

Nous

critique

AL.

des

ETUDE

DE

LA TENSION

41

SUPERFICIELLE

ainsi que nous avons Bte amen&

a construire

25 mole y0 de ZrFa a 1050 “C, puis de melanges

une rampe de purification

telle qu’elle

a 10, 15, 20 mole

d’argon

Les resultats

est d&rite plus haut. Ces constatations nous ont suggere de realiser

tableau

une serie d’essais oh nous composition de l’atmosphbre

3.2.3.

reparlerons

avons modifie la du four. Nous en

plus loin, au paragraphe

Discussion avons

variation 3.2.2.

R&&c&

ex~~r~rnenta~

de melanges

NaF-ZrF4

des re’sultats lois

de

lineaire de la tension supe~ciel~e

mis

de

melanges NaF-ZrFp

Nous avons releve les tensions

superficielles

a 0, 5, 10, 15, 20 et

sont repris au

2 et illustres aux figs. 4 et 5.

Nous

4.

y. a 950 “C.

exp~~mentaux

en evidence en fonction

des

de la fraction

molaire de ZrF4 dans le domaine de 0 a 25 mole o/o a 1050 “C. La tension superficielle deeroPt lentement

en fonction

de la teneur

en ZrF4

suivant la loi: ~=19,0-0,21~mg~mmou~=186,2-2,06~dyn~ cm, x &ant la fraction molaire en ZrR. Nous avons en outre determine la variation de la tension superficielle en fonction de la temperature de melanges a 10, 15, 25 mole y. de ZrFh de 950 a 1050 “C. On oonstate que la tension superfkielle diminue faiblement quand la temperature augmente. 3.3.

0

.*..;....i...,,,,,.;rl,,,

0

-

5

10

mole 15

MESURES RELATIVES AU SYST~ME NaF-ZrF4-ZrOz

%ZrFk 20

25

Fig. 4. M&mgea NaF - ZrF4 Zt 1050 “C. Tension superficiello en fonction de la teneur en ZrF4.

Nous avons Btudie l’influence d’additions de ZrOs a deux melanges NaF-ZrF4 contenant respectivement 10 et 20 mole o/o de tetrafluorure de zirconium en restant dans les limites de solubilite de I’oxyde dans ces melanges 11*rsf. Les resultats sont repris au tableau 3 et sont illustres a la fig. 6. 3.3.2.

Discussion

des ~~~ultat~

On observe une t&s leg&e augmentation la tension superficielle du bain lorsque proportion de ZrOs augmente. 3.4.

51

de la

MESURES RELATIVES AU SYSTI~E CRYOLITH~-ALU~~E

3.4.1. ~ntro~uct~o~ 0

*..,‘....;~.,.‘....;....,

960

-

T?C l&9

1100

Fig. 5. MBlanges NrtF - ZrF4. Tension superficielle en fonction de la. temp&atum des mbnges 8: 1: 100% NaF; 2: 5 mole y0 ZrFo; 3: 10 mole y0 ZrF4; 4 : 15 mats y0 ZrF4; 5 : 20 mole y0 ZrF4; 6 : 25 mole y0 ZrF4.

Au tours des mesures que nous avons present&es dans le paragraphe precedent, nous avons constate que les additions d’oxyde de zirconium aux melanges de fluorures Studies ne conduisaient qu’ti une modification negligeable de la tension superficielle,

42

C.

DECROLY

ET

3

TABLEAU

I

Milieu Btudib;

Essai

1 NaF

no.

0425 *

Tempkrature

ZrF4

ZrO2 ~ Cm %) / (% poids) i

(m %) 90

10

(“C)

(mgjmm)

0

1041

16,85

I

1043

16,9

0425

2

1043

16,9

0426

0

1045

16,s

4

1046

17,2

~

I

0428

80

20

0428

*

Tension superficielle

0425

0426

0

1042

1

1043

0428

2

1044

0428

4

1043

Les essais rep&s

croissantes

AL.

par le mGme num&o

sont effect&s

14,4

;1 ~

14,35 14,50 14,T

& la suite les uns des autres dans l’ordre

des teneurs

en ZrO2.

(P mg.mm-l

+- 1

.

I 1 _

I-

____-

+

f

-

-2 --__---.

3

10 i

i 5i

1 Fig.

i 6.

MBlanges

alumine. teneur

i NaF

1. Tension en ZrOz

10 mole

-%3poids

- ZrF4 - ZrOs

superficielle

d’un

de Zy2ou

melange

ZrFd-ZrOz nuperficielle

de la teneur iL 20 mole en fonction

melange

cryolithe-

en fonction

de

la

NaF - ZrF4 - ZrOz

B

% ZrF4 & 1050 “C. 2. Tension

en fonction

et

AL’%

superficielle

en ZrOs d’un melange

Fig.

7.

MQlanges

cryolithe-alumine

NaF-

Tension

superficielle

% ZrF4 & 1050 “C. 3. Tension

alumine

de melanges

de la teneur

cryolithe-alumine

en alumine

d’un

extrapolees

& 1055 “C.

en

fonction

cryolithe-alumine

& 1055 “C (d’aprk travail.

TABLEAU

4

de

Vajna)

it.

1055

“C.

la

teneur

en

: 1: Valeurs ; 2: le p&sent

ETUDE

Or,

Vajna 1s) a

diminution

de la cryolithe

cas, soit dune

contre

LA

TENSION

observe

de la tension

lorsqu’on

Cette difference les phenomenes Nous

par

notable

DE

La valeur trouvee par Vajna pour la tension

une

superficielle

y ajoute de l’alumine.

peut provenir soit de ce que sont differents dans les deux

superficielle

avons

done

jug6 utile

des mesures

par Vajna,

mais au moyen de notre methode experimentale.

des cryolithes

Rh.dtats

Nous

avons

expdrrimentaux realise

des experiences

sur la

cryolithe pure et sur des melanges a 5 et 10% en poids d’alumine. Les resultats experimentaux sont repris au tableau 4 et illustres a la fig. 7. A titre de comparaison, valeurs a la fig. 6.

nous avons port& ces

Discussion des r&ultats. Comparaison avec Ees mesures de Vajna

3.4.3.

plus

utilisees.

de AlFs (cryolithe non stoechiometrique) modifie sensiblement la tension superficielle [de I’ordre de 2 dyn/cm Rappelons

3.4.2.

est beaucoup

En outre, la presence d’un exces de NaF ou

de reproduire

faites

de la cryolithe

Blevee que celle que nous avons mesuree. Ce fait peut etre dQ a la difference de pure%

erreur experimentale.

quelques-unes

43

SUPERFICIELLE

Nous avons reproduit a la fig. 8 les resultats des mesures de Vajna, qui nous ont permis de trouver les valeurs extrapolees des tensions superficielles a 1055 “C. Nous avons reproduit la courbe des valeurs extrapolees a la fig. 7.

par y. d’AlFs

ou de NaF Is)].

qu’en fait Vajna

a travail16 dans

un four oti l’atmosphere n’est pas controlee. Les tensions superficielles des melanges contenant de l’alumine sont t&s voisines (environ 1% d’ecart par rapport a Vajna). En outre, la variation de tension superficielle due a des additions d’alumine a la cryolithe est du m&me ordre de grandeur que celle due a des additions de ZrOa aux melanges NaF-ZrF4.

3.4.4.

Conclusions

Nous avons realise des mesures de tension superficielle de melanges fondus de cryolithe et d’alumine par une methode differente de celle utilisee par Vajna, et nous avons obtenu, pour les melanges contenant de l’alumine, des valeurs t&s proches de celles de Vajna. Dans le cas de la cryolithe pure, nous avons observe des valeurs plus faibles que celles de Vajna, probablement parce que les cryolithes utilisees ne sont pas de m&me composition,

3.5.

DISCUSSION

DES R~ULTATS

PARAGRAPHE

DU

3

Les mesures realisees sous atmosphere d’argon montrent que la presence d’oxyde de zirconium dans les melanges fondus de NaF et de ZrF4 modifie la tension superficielle dans des propor-

'\ '\ “ 1050

_T'C 1000 Fig.

8.

MBlanges cryolithe-alumine

Tension

superficielle

de melanges pure;

courbe

en fonction

cryolithe-alumine 2 : +5%

alumine

tions t&s faibles. Nous avons observe le m&me phenomene dans le cas de melanges cryolithe-alumine. 4.

(d’ap&s

Vajna).

de la temperature

: courbe 1: cryolithe

alumine;

Influence de la composition de l’atmosphke gazeuse. RCsultats expkimentaux en prCsence d’anhydride carbonfque et d’oxyde de carbone

courbe

3:

; courbe 4 : + 15% alumine.

+ 10%

4.1.

INTRODUCTION

Les difficult&

que nous

avons

rencontrdes

44

C.

au debut

de nos essais, lorsque

purification ont

sugg&+

d’argon

DECROLY

la rampe

Btait rudimentaire,

de rdaliser

quelques

de

nous

experiences

sous atmosphere contenant du CO2 ou du CO. Par apr&s, nous avons introduit volontaire-

ET

faites en atmosphke d’argon un phBnom&ne particulier qui merite un mot d’explication. A cet effet, nous crayons rkcessaire d’entrer plus avant dans le d&ail du comportement montage lors de la mesure. Nous avons repSsent

ment de l’eau dans le four. 4.2.

PRESENCE

AL.

D’ANHYDRIDE

du

& la fig. 9 un schema

CARBONIQUE

DANS LE FOUR

Rdsultats expe’rimentaux

4.2.1.

&Xl

Nous avons r&ali& une s6rie de mesures en faisant

usage d’un

melange

d’argon

loin que le CO n’a aucune influence mesures de tension superficielle.

4.2.2.

expkimentaux

C A

s

hydride carbonique, puis d’anhydride carbonique pur. Le melange de gaz est r&alis& avant la rampe de purification d’argon. Remarquons que le CO2 peut rkagir B la temperature de 1‘essai avec le creuset en graphite pour former du CO. Nous verrons plus

Les r&ultats tableau 5.

sur les

~~-11.5Kl a e ;-‘*.O~~ 1

sont repris au

Fig.

Observations expkmentales

A

9.

0608 +

i-

NaF

ZrF4

(m %)

(m %)

100

0

0608

0428 5

80

b

du creuset

Comportement

+‘2mm

du

syst&me

ZrO2.

T-

20

1058 1057,5

0 26

1020

100

1049

0

119,05 ,19,15 ‘18,84 + 0,05

14,7

1035

26

(8,7

+ 3) *

997

100

($5

It 3) *

1050

20

0830 Cryolithe pure

0824

Abaissement

0 100 0

0824

1056

0

1036

100

apparent de la tension superficielle dti & une modification

de mesure (voir plus loin dans le texte). Les essais portant

le meme nun&-o

mesure.

pm-).

0614 80

de

5

0830

+

tie c’

0614

0830

*

d e

(’& poids:

0905 0607 )

hauteur

'C"

:

de CO2 (sauf pour NaF

TABLEAU

no.

‘--1 d” 1

: Essais en prkence d’argon ; B : Essais en presence

Nous avons observe par rapport aux mesures

Milieu

B

2 -11.900 m z -11.800 5 $ -11.700 E a -11.600 In

-

Essai

d

et d’an-

ont BtB &alis&

successivement.

16,55 & 0,05

(< 15,7) * 16,s 13,5 & 0,02 (<9)

*

du comportement

du systi?me

ETUDE

illustrant

la methode

port& en ordonnees Mettler,

DE

de mesure:

LA

TENSION

nous avons

les poids lus & la balance

et en abscisses la hauteur

contenant le bain fondu. La balance Mettler (type

B6GD)

du creuset travaille

poussee d’Archimede

mesure rien. C’est pourquoi forcer

desequilibrant

les valeurs intermediaires.

La course du plateau

correspondant

& une variation

de poids de 100 mg est d’environ

4 mm (4 mm

de course entre les butees superieure et inferieure de l’echelle). a. Comportement A: Lorsque l’on realise les experiences sous atmosphbre &argon, on part au point a, la sonde de mesure &ant hors du bain. Le long du tronqon ab, le creuset s’eleve, on mesure le poids de la sonde, constant jusqu’au premier contact entre la sonde et le bain en b. A ce moment, la sonde est brutalement attiree par le bain, l’echelle mobile de la balance descend brusquement (la sonde s’enfonce de 2 a 4 mm dans le bain). La sonde semble done augmenter de poids. La montee du creuset est interrompue. On ram&e ensuite l’echelle dans un domaine de mesure en ajustant la sensibilite de la balance (point c). Le creuset redescend, et on suit l’accroissement regulier de poids pendant que le film superficiel se tend. On note le poids indique au moment de la rupture du film (point d) et on tare immediatement la sonde afin de tenir compte des condensations de suspension. La reproductibilite

Bventuelles sur le fil

des mesures est excellente.

b. Comportement B : Lorsque I’atmosphere du four contient de l’anhydride carbonique les chases se passent de fagon toute differente. Pendant le tronpon a’b’, le creuset s’eleve, la sonde n’est pas en contact avec le bain, et on mesure son poids. Des que le contact est Btabli entre la sonde et le bain (b’), le poids diminue regulierement au fur et a mesure que le creuset s’eleve. Ceci ne peut etre explique que par le fait que la sonde flotte sur le bain, ou par I’effet de la

du creuset en c’.

Si on redescend le creuset, on suit le segment c’b’a’ en sens inverse de la montee, et on ne

une Bchelle mobile grad&e de la balance

si elle s’y enfonce quelque

peu. On arrete la monk%

par echelons de sensibilite de 100 mg et possede en mg qui indique

45

SUPERFICIELLE

la sonde

il est necessaire de

a penetrer

la balance

dans

le bain

en

(on annule les poids

et le plateau descend de 2 a 4 mm). On reajuste ensuite la sensibilite de la balance pour restituer l’echelle dans son domaine de mesure. Cette operation est possible en affichant plusieurs sensibilites distantes de 300 mg; et dans chaque cas la mesure classique, en faisant redescendre le creuset suivant le tronpon c”d’ donnera des valeurs fort differentes (30 a 40%). Les mesures sont d&s lors peu reproductibles. 4.2.3.

Discussion

des r&ultats

La presence de COz dans l’atmosphere du four modifie completement les proprietes superficielles des melanges NaF-ZrFd-ZrOz. En effet, lors du premier contact entre la sonde et le bain, en presence d’argon, celle-ci est violemment attiree par le se1 fondu. En presence de COz, la sonde est repoussee par le bain (sauf dans le cas de NaF pur). D’autre part, le peu de reproductibilite des experiences realisees en presence de COa semble provenir du fait que la sonde n’est pas mouillee par le bain, et qu’il est d&s lors impossible de former un film superficiel tendu. On ne mesure done plus la tension superficielle de l’electrolyte (tension interfaciale liquide-gaz), mais l’adherence du liquide sur le platine (C.-a-d. la tension interfaciale solide-liquide). Le non-mouillage de la sonde par le bain peut &re dix soit a une modification de l’etat de surface du platine, soit a une modification de l’etat de surface du bain fondu. 11 semble que nos experiences permettent d’ecarter la premiere hypothese. En effet, d’une part la tension superficielle du NaF est t&s peu alteree par la presence de COa, et d’autre part dans le cas du melange NaF-ZrF4 a 20 mole oh de ZrF4 contenant 5% en poids de ZrOz, nous avons observe d’abord une diminution de la tension superficielle en

46

C. DECROLY

ET AL.

presence de COs, puis apres deux heures sous argon, nous avons retrouve la tension super-

faible

ficielle obtenue no. 0830).

a abaisse la tension superficielle

avant’ passage

du COs (essai

(2%

4.5.

superficielle

que la seconde

addition

d’une dizaine

une diminution

siderable.

Ce

augmenter

la tension

phenomene

de temperature devant

superficielle

notre conclusion

con-

tendre d’apres

a nos

s’en trouve ren

DISCUSSION DES R~SULTATS DU PARAGRAPHE 4

Le simple fait de placer le four sous une atmosphere contenant de l’anhydride carbonique

observations, for&e.

de la tension

tandis

de pourcents.

4.2.4. Remarque

entraine

abaissement environ),

La presence impuretes nous

dans l’atmosphere

contenues

avons

utilise

dans l’argon suffit

proprietes

superfieielles

ZrFd-ZrOs

Studies.

du four des soudure que

pour

des

modifier les melanges NaF-

4.2.5. Conclusions

La presence de CO n’a aucune influence sur les tensions superfic ielles mesurees en presence d’argon.

La presence de COs dans l’atmosphere du four modifie completement les proprietes de mouillabilite du platine par les melanges NaFZrFd-ZrOa fondus Studies.

La presence de COs n’a aucune influence sur la tension superficielle de NaF pur, mais modifie completement les proprietes superficielles des melanges NaF-ZrFh-ZrOs Studies.

Cependant, si la methode d&rite permet d’acceder aux tensions interfaciales liquide-gaz lors de nos experiences sous argon pm, la presence de CO2 change le principe meme de la mesure, de sorte que l’on accede a une autre propriete, vraisemblablement la tension interfaciale liquide-solide.

Du fait de la faible reproductibilite des mesures realisees en presence de COZ, il ne nous a pas Bte possible de realiser une etude quantitative de l’influence de la teneur en CO2 de l’atmosphere du four. De plus, il faut noter a

Le COs modifie done completement les proprietes superficielles des melanges NaFZrFd-ZrOs .

ce sujet qu’une partie du COs reagit avec le creuset en graphite de sorte que l’on n’est jamais certain de la composition reelle du gaz au niveau du bain fondu. 5.

4.3. PRESENCE D’OXYDE DE CARBONEDANS

L’ATMOSPH6RE DU FOUR Nous avons realise une serie de mesures de tension superficielle de melanges NaF-ZrF4 contenant 20 mole o/o de ZrFe, sous atmosphere d’argon, puis sous atmosphere de CO. Nous avons obtenu des mesures identiques dans les deux cas. 4.4.

PRESENCE

D'EAU DANS LE FOUR

Nous avons introduit par le haut du four quatre, puis huit gouttes d’eau de sorte qu’elles tombent a la surface du bain. Par le phenomene de calefaction, ces gouttes se vaporisent lentement tandis qu’elles sont animees d’un mouvement t&s rapide a la surface du bain. La premiere addition n’a entrain6 qu’un t&s

Conclusions

gCnCrales

Nous avons realise des mesures de tension superficielle de melanges de fluorure de sodium et de tetrafluorure de zirconium avec ou sans additions d’oxyde de zirconium. La methode d&rite donne en fait les valeurs de la tension interfaciale liquide-gaz du film liquide tendu par la sonde en platine. On a montre que la tension superficielle des melanges de fluorure de sodium et de tetrafluorure de zirconium varie lineairement en fonction de la fraction molaire 5 en Gtrafluorure de zirconium suivant la loi: G= 19,0-0,21x mg/mm> ou 0 = 186,2 - 2,06x dyn/cm, a 1050 “C, de 0 a 26 mole o/o de ZrF4. L’influence

de la temperature

se traduit par

ETUDE

une diminution cm) en passant Enfin, conium

l’effet

DE

LA

TENSION

de 0,75 mg/mm (ou de 7,35 dyn/ des additions

est extrkmement

d’oxyde

faible,

B une l&g&e augmentation

de zir-

Par ailleurs, nous avons mis qualitativement en Evidence l’influence

de la composition

gaz

du

l’atmosph&re

d’anhydride

carbonique,

four:

la

contrairement

de carbone, modifie complkement

M. F. Fabry

assistance

a r6alis6 avec pr&ision

deerit

et nous

a apportk

une

trPs efficace.

correspondant

de la tension super-

ficielle.

de

dernier,

l’appareillage

de 950” B 1050 “C.

47

SUPERFICIELLE

RCfkences

‘1

Physico-Chemical

des

presence

peratures

?

les propri&&

pur). Toutefois, il faut remarquer que dans le cadre du probkme qui nous occupe, B savoir l’apparition de l’effet d’anode lors de l’klectrolyse de ces melanges fondus, il convient d’envisager le systkme des tensions interfaciales gaz-liquidesolide, le solide &ant du graphite, en sorte que la prksente Etude devra &re compl&&e ulttkieurement soit par l’observation d’une goutte d’klectrolyte pos6e sur un support en graphitelJ), soit par une mkthode semblable Z’Scelle que nous venons de dkrire, mais en utilisant une sonde en graphite. Remerciements Nous remercions le Ponds de la Recherche Fondamentale Collective qui a subventionnt! cette recherche, et dont l’aide nous a permis de b&&ficier des services d’un technicien. Ce

9

Measurements

(Butterworths,

at High

Londres,

T. Ishino et al., Physico-Chemical Fused

B l’oxyde

superficielles des Electrolytes Btudiks (sauf NaF

J. 0. M. Bockris, J. L. White et J. D. Mackenzie,

Salts (Electroch.

Constants

Sot. Japan,

Engineering,

Osaka University,

G. Bertozzi,

Internal

Report

Tem-

1959) of

Faculty

of

Osaka, Japan) EURATOM,

Ispra

no. 743 (1964)

4,

G. Bertozzi et G. Sternheim, (1964)

5,

C. Decroly,

D.

Tytgat

NuclBaire 1 (1957)

7

J. Phys. Chem. 68

2908-12 et J.

Gerard,

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of Chemistry

and

Physics, 30th ed. (Chemical Rubber Publishing Co., Cleveland,

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Z.

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Chem.

101

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9) J. 0.

1930)

M.

chemistry

Bockris, no.

2,

Modern 187

aspects

of electro-

(Butterworths,

Londres,

1959) B. Bloom

et C. Davis,

cites dans S), p. 187

10

)

11

1 A. Fontana et R. Winand, C.R. Acad. Sci. Paris

12

1

264 C (1967) C. Decroly, Mat. 13 14

1 1

27 (1968)

A. Vajna, A.

768

A. Fontana

Vajna,

(1952)

85

Alluminio Bull.

et R. Winand,

J. Nucl.

21-35 Sot.

1 (1951) Fr.

29

Electr.,

7& s&ie,

2