RI-WP-9 Reste-t-il un interet pour la lymphographie au XXIE siecle ?

RI-WP-9 Reste-t-il un interet pour la lymphographie au XXIE siecle ?

RI-WP-9 RESTE-T-IL UN INTERET POUR LA LYMPHOGRAPHIE AU XX]E SIECLE ? C Nedelcu, F Thouveny, A Bouvier, J Picquet. E Lermite, CAubé Angers - Fronce Obj...

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RI-WP-9 RESTE-T-IL UN INTERET POUR LA LYMPHOGRAPHIE AU XX]E SIECLE ? C Nedelcu, F Thouveny, A Bouvier, J Picquet. E Lermite, CAubé Angers - Fronce Objectifs: Rappeler la technique de la lymphographie. Rappeler les indications passées et actuelles de la lymphographie notamment comme méthode thérapeutique pour les fistules lymphatiques. Connaître la physiopathologie et le traitement des fistules lymphatiques. Points clés: L'intérêt de la lymphographie persiste chez les patients avec une fistule lymphatique, notamment à l'étage thoracique. La méthode a un double but: traiter l'écoulement et orienter une éventuelle future chirurgie si l'écoulement persiste. Mots clés: Lymphatiques - Angiographie

nomes colorectaux avec une médiane de survie de 29 mois; 91,3 %, 81,3 O/C, 56,3 % et 32,9 % pour les patients aux antécédents de carcinome rénal avec une médiane de survie de 37 mois; 88,5 %, 65,6 %, 65,6 % et 65,6 % pour les patients aux antécédents de sarcome des tissus mous. Pour les patients porteurs de CBNPC, le taux de survie était de 82,9 %, 68,3 %, 56,9 % et 56,9 % à respectivement 1,2, 3 et 4 ans. Des complications au décours de l'examen ont concerné 125 procédures. Il s'agissait de pneumothorax dans 69 % des cas, des hémorragies intra-alvéolaires ou des hémoptysies (13 %), des épanchements (3 %). Conclusion: Le traitement par ablation thermique par radiofréquence, sous contrôle tomodensitométrique, est un traitement peu invasif améliorant la survie et la qualité de vie des patients présentant des localisations secondaires pulmonaires ou des CBNPC de moins de 3 cm et ceci avec une bonne tolérance à court et à long terme.

Mots clés: Poumons, tumeur maligne - Radiofréquence

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ABLATION DE TUMEUR PULMONAIRE PAR RADIOFREQUENCE BIPOLAIRE: RESULTATS A PROPOS DE 15 PROCEDURES

COMPLICATIONS VASCULAIRES HEMORRAGIQUES DE LA PANCREATITE: IMAGERIE DIAGNOSTIQUE ET TRAITEMENT ENDOVASCULAIRE EN URGENCE

L Laborie, P Manzoni, B Kastler Besançon - Fronce

A Bouvier, FThouveny, C Nedelcu, P L'Hoste, C Aubé Angers - Fronce

Objectifs: Décrire et évaluer la technique de Radiofréquence Bipo-

Objectifs: Connaître les principales complications hémorragiques de la pancréatite. Connaître les indications et la sémiologie du scanner multidétecteur dans cette pathologie. Souligner l'intérêt du traitement endovasculaire de ces lésions. Points clés: Les complications hémorragiques de la pancréatite aiguë ou chronique sont rares mais leur taux de mortalité est élevé. Les lésions artérielles sont souvent des pseudo-anévrysmes des branches du tronc cœliaque ou de l'artère mésentérique supérieure. Le scanner multidétecteur fait le diagnostic d'hémorragie intra-kystique ou intra-péritonéale et permet l'analyse précise des pseudo-anévrysmes. Le traitement endovasculaire est le traitement de choix de ces lésions. Mots clés: Pancréas, inflammation - Artères digestives, radiologie interventionnelle

RI-WS-ll ABLATION THERMIQUE PAR RADIOFREQUENCE DES TUMEURS PULMONAIRES: EVALUATION DE LA SURVIE APRES TRAITEMENT F Cornelis, J Palussière Bordeaux - Fronce Objectifs: Déterminer la morbidité et la survie des patients après ablation thermique par radiofréquence de localisations secondaires pulmonaires en fonction du primitif mais également de carcinome bronchique non à petites cellules (CBNPC). Comparer cette technique en termes de survie et de morbidité avec le traitement de référence. Matériels et méthodes: Etude prospective de 145 patients traités par ablation par radiofréquence sur une période de 4 ans (2002-2006) pour un ou plusieurs nodules. Pour 31 patients, il s'agissait de CBNPC. Pour 114 patients présentant des localisations secondaires, les primitifs retrouvés étaient principalement des carcinomes colorectaux (44 patients), rénaux (23 patients), et des sarcomes des tissus mous (18 patients). Résultats: Pour les 145 patients, la médiane de survie a été de 33 mois avec un taux de survie à 1,2, 3 et 4 ans de respectivement 88,1 %,65,9 %, 49,4 % et 40,5 %. En fonction de l'origine du primitif, le taux de survie à 1,2,3 et 4 ans était de respectivement 90,8 %, 71,8 %, 49,7 % et 49,7 % pour les patients aux antécédents de carci-

laire (RFB) dans le traitement des tumeurs non résécables primitives et secondaires du poumon. Matériels et méthodes: Quinze lésions tumorales ont été traitées chez 15 patients. La technique de RFB, réalisée avec un générateur Celon sous anesthésie locale, utilise deux électrodes bipolaires (Celon 17 gauges, pointe exposée 30) positionnées sous contrôle TDM. L'énergie délivrée est d'abord croissante dans le temps, puis en plateau pendant 20 minutes lorsque la plage de verre dépoli péri-tumorale atteint 4 fois la surface en coupe de la tumeur. La taille et l'aspect des plages de RFB ont été suivis en TDM à 1,3,6,9 mois et PETscan à 3 et 6 mois. Résultats: Dans 12 cas, nous avons constaté une décroissance nette du volume lésionnel à partir du sixième mois, une absence de fixation significative en PET Scan à 3 et 6 mois. Trois récidives à 3 mois furent détectées en TEP-Scan. Toutes les procédures se sont avérées indolores et aucune complication n'a été observée. Conclusion: La RFB apparaît comme une technique indolente et une alternative efficace dans le traitement des tumeurs non résécables du poumon.

Mots clés: Poumons, tumeur maligne - Radiofréquence

RI-WS-13 INFILTRATIONS CERVICALES SOUS SCANNER. EXPERIENCE DE 8 ANS: 300 PATIENTS D Krausé, R Loffroy, B Guiu, L Mezzetta, D Ben Salem, N Nezzal, L Vadanici, JF Couaillier, JP Cercueil Dijon - Fronce Objectifs: Démontrer l'extrême fiabilité des infiltrations foraminales à l'étage cervical en cas de névralgie (NCB), liée à un fragment herniaire. Matériels et méthodes: De janvier 2000 à décembre 2007, 300 patients ont été traités par injections de corticoïdes retards, directement dans la partie moyenne du foramen, en arrière du ganglion. Sous anesthésie locale, une aiguille de 22G est avancée sous contrôle TDM. Avant la mise en place de corticoïdes, le contrôle systématique par contraste vérifie l'espace de diffusion foraminal et intracanalaire épidural. Une effraction veineuse, des espaces sous-arachnoïdiens ou de la synoviale articulaire est ainsi aisément identifiée. Résultats: L'analyse de l'efficacité sur la douleur est basée sur l'échelle EV A. A court terme, l'amélioration est nette pour 73 % des patients (219-300) ; le taux d'échecs (opérés) est de 13 % (39-300).

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