Lesions cerebrales au cours du sida correlees au taux de CD4 a l’hopital general de yaounde

Lesions cerebrales au cours du sida correlees au taux de CD4 a l’hopital general de yaounde

10 h 2 0 Durée : 7 minutes LESIONS CEREBRALES AU COURS DU SIDA CORRELEES AU TAUX DE CD4 A L'HOPITAL GENERAL DE YAOUNDE JC MBALLA AMOUGOU, G SOUKSOUN...

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10 h 2 0

Durée : 7 minutes

LESIONS CEREBRALES AU COURS DU SIDA CORRELEES AU TAUX DE CD4 A L'HOPITAL GENERAL DE YAOUNDE JC MBALLA AMOUGOU, G SOUKSOUNA, C SENDE-NGONDE, AG JUIMO YAOUNDE- CAMEROUN Objectifs : Rechercher une corrélation entre les lésions cérébrales et le taux de CD4 au cours du SIDA. Matériels et méthodes: Etude rétrospective de janvier 2000 à décembre 2002 des dossiers des patients admis pour des lésions cérébrales au cours du SIDA. Les patients VIH positifs avec un taux de CD4 et une TDM cérébrale étaient retenus. Résultats : Trente-trois patients étaient retenus : 20 hommes et 13 femmes âgés de 19 à 61 ans avec une moyenne de 38 ans. Sept scanners cérébraux étaient normaux, 6 atrophies cérébrales, 11 méningoencéphalites, 8 abcès cérébraux dont 1 granulome tuberculeux et enfin 1 lymphome. Sur les 33 typages lymphocytaires, la toxoplasmose cérébrale survenait à un taux de CD4 compris entre 328 et 6c/ml, la cryptococose entre 40 et O clml, l'atrophie cérébrale entre 175 et 2 cl ml, l'abcès tuberculeux à 114 clml et le lymphome à un taux de 70 clml. L'évolution était marquée par 16 décès dont 9 hommes et 7 femmes. La crypotococcose, la toxoplasmose et l'atrophie cérébrale étaient les principales causes de mortalité. Conclusion : Les manifestations cérébrales du SIDA apparaissent à partir d'un taux de CD4 de 328 clml et la TDM occupe une place importante dans leur exploration. Mots clés : Infection opportuniste, technique d'exploration

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10h30

Durée : 7 minutes

10 h40

Durée : 7 minutes

LE COUPLE ABDOMEN SANS PREPARATION/ ECHOGRAPHIE (ASPIUS) DANS LES DOULEURS ABDOMINOPELVIENNES AIGUES NON TRAUMATIQUES DE L'ADULTE K N DAKENA, K KANASOUA,S TÉTÉKPOR, K AGODA-KOUSSEMA, F N GASSAM-SANDJON LOMÉ- TOGO

Objectifs : Evaluer le couple ASPIUS dans le diagnostic des douleurs abdomino-pelviennes aiguës non traumatiques de l'adulte. Matériels et méthodes : Etude prospective au CHU de Lomé, de juin 2001 en février 2002. Les 144 adultes retenus ont eu un ASP et une échographie abdominopelvienne. Résultats : Les principales causes étaient : I'occlusion intestinale (26 cas), la péritonite (21 cas), l'appendicite aiguë (15 cas), la grossesse extra-utérine (16 cas). L'exploration était normale dans 25 cas. La sensibilité de I'ASP dans l'occlusion intestinale était de 100 % ; de 90,47 % dans la péritonite. Le couple ASPNS avait une sensibilité de 100 % dans la colique néphrétique et la grossesse extra-utérine. L'échographie avait une sensibilité, une spécificité et une valeur prédictive positive de 100 % dans la colique néphrétique et la grossesse extra-utérine. Conclusion : La prise en charge adéquate des douleurs abdominopelviennes doit être multidisciplinaire ; l'imagerie tient une place centrale dans le diagnostic et l'orientation thérapeutique. -Mots clés : Tube digestif, technique d'exploration

10 h50

Durée : 7 minutes

ASPECTS TOMODENSITOMETRIQUES DES ASPECTS RADIOCLINIQUES DES MYCETOMES PHEOCHROMOÇYTOMES A DAKAR : A PROPOS PODAUX AU SENEGAL DE 7 CAS S BA DIOP,MH Sv, AG DIOUF,IC DIAKHATÉ, A Lv BA, B MBENGUE, IC DIAKHATE M BADIANE - SÉNÉGAL DAKAR

Objectifs : Etudier les aspects cliniques, biologiques et radiologiques des mycétomes, infection bactérienne ou parasitaire pseudo-tumorale et endémique au Sénégal. Matériels et méthodes : Etude rétrospective sur 68 hommes et 24 femmes, présentant des mycétomes des pieds cliniquement et ou mycologiquement prouvés. Etude des données cliniques, biologiques, radiographiques et TDM. Résultats : L'âge moyen était de 37 ans. Les principales localisations étaient dorsoplantaire dans 35 cas, dorsale dans 20 cas, madura dans 18 cas, plantaire dans 15 cas. L'aspect clinique était une tuméfaction diffuse polyfistulisée dans 77 cas, nodulaire encapsulée dans 4 cas, sèche hypertrophique dans 4 cas. Le grain émis était noir dans 72 cas (21 Madurella mycetomis, 8 Leptospheria senegalensis), blanc dans 10 cas (5 Actinomadura madurae, 1 Alesheria boydii, 1 Madurella mycetomis, 1 Streptomyces somaliensis), rouge dans 4 cas (4 Actinomadura pelletien), jaune dans 1 cas (Streptomyces somaliensis). L'imagerie retrouvait des signes d'ostéite dans 57 cas principalement tarso-métatarsiennes : - lésions lytiques : érosions et multigéodes de grande taille (n = 29) pour Madurella mycétomis, plus petites (n = 7) pour Leptospheria senegalensis et lésions articulaires dislocantes dans les étiologies fongiques ; - lésions ostéocondensantes parfois lytiques microgéodiques et périostites (n = 9) et lésions articulaires fusionnantes essentiellement dans les étiologies bactériennes. Conclusion : L'imagerie permet d'affirmer une atteinte osseuse et d'orienter vers une étiologie fongique ou bactérienne. Mots clés : Afrique, tumeur

DAKAR - SÉNÉGAL Objectifs : Présenter les aspects tomodensitométriques en les comparant à ceux décrits dans la littérature. Démontrer la place de la tomodensitométrie dans la localisation et le bilan d'extension devant une anomalie clinicobiologique évocatrice. Matériels et méthodes : Les auteurs rapportent 7 cas de phéochromocytomes à partir d'une étude rétrospective et multicenhque de 1997à 2002. Résultats :Il s'agit de 4 femmes et 3 hommes, d'âge compris entre 15 et 48 ans. Les circonstances de découverte sont l'hypertension artérielle (4 cas), la triade céphalées, sueurs, palpitations (2 cas), baisse de l'acuité visuelle (2 cas), douleurs de l'hypocondre gauche isolée (1 cas), masse latéro-cervicale droite (1 cas), masse latéro-cervicale gauche (1 cas). La biologie mettait en évidence une augmentation importante des métanéphrines urinaires (3 cas), une augmentation des VMA (2 cas). Les aspects tomodensitoméhques : toutes les lésions sont tissulaires hétérogènes avec centre hypodense et non calcifiées. De siège surrénalien (4 cas), rétroperitonéal (1 cas) et latéro-cervical (2 cas). La taille est comprise entre 4,4 et 9 centimètres, leur rehaussement après injection iodée intense (4 cas), modéré (3 cas). Conclusion : Les aspects tomodensitométriques que nous avons présentés corroborent avec ceux décrits dans la littérature. A défaut d'IRM, la tomodensitométrie est nécessaire et suffisante pour la localisation et la caractérisation tissulaire des phéochromocytomes. Mots clés : Rétropéritoine, technique d'exploration