Medecine interne
119s
iogie EBV positive, Deux patients ant eu une klkvation transitoire des IgM anti-VCA de manike contemporaine i l’installation de la symptomatologie. L’antigkkmie Zebra ktait positive quatre fois. La PCR EBV semi-quantitative, exprimee pour 1,5105 cellules, ktait toujours positive, Les patients contrGles VIH test& en PCR ktaient tous rkgatifs.
l’ktat latent dans les cellules cibles, en particuiier oropharyngkes, La rkactivation de I’EBV. retrouvke chew nos patients. avec prksence de marqueurs pkphkriques de rkplication, suggkre un rGle essentiel de 1’EBV dans le diveloppement du DILS.
La co-infection EBV, est frkqueme au tours survenue de certains chevelue de la langue.
‘Service rr%cka/ d’accue!l, 3 service de mkdecme mterne, hbpifal LariboM&re, 2, rue Ambroise-Pare, 75475 Parts cedex 10; 2servke de mkdecine interne, h@Gta/ Jean-Verdler, avenue du i4-Ju///ef, 9374.3 6ondy cedex ; ‘sewke de v?oIogje, h@ka/ Saint- Kncent-de-Pau/, 748.2, avenue Denfee-Rochereaw 75674 Parts cedex 14, France
en particulier EBV2 chez I’Africain, de la maladie VIH. Elle participe i la lymphomes VIH et de la ieucoplasie Aprks prima-infection, I’EBV reste k
Pronostic des patients infect& par le VIH pris en charge h un stade avanc6 de l’immunod6pression C No&‘,
Y Salof?‘,
M Dupon’,
C Marimoutou*‘,
L’objectif de ce travail &it d’ktudier les facteurs pronostiques de survie des patients infect& par le VIH pris en charge avec un taux Initial de lymphocytes CD4 (CD4) infkrieur ou &al i 5O/mm’. Au 3 1 dkcembre 1995,461 patients suivis au sein de la cohorte Aquitaine du groupe d’kpldt?miologie chnique du sida en Aquitaine (GECSA) avaient un taux de CD4 5 5O/mm’ (CD50) i l’inclusion. La survie a it6 calculke depuis la date d’inclusion dans la cohorte jusqu’i la date de dkcks ou des dernikres nouvelles. La probabilitk de survie a ktk estimke par la mkthode de Kaplan-Meier ; le modtile de Cox ktait utilist? pour ktudier les facteurs pronostiques Ii& 2 la survie. 11s’agissait de 377 hommes et de 84 femmes. L’ige median &ait de 35 ans (18-82 ans). Le taux mkdian de CD4 etait de l7/mmj (O-50). 68 7c des patients ktaient au stade sida. Au terme d’une duke moyenne de suivi de l3,6 mois (4jours-59,6 mois), seulement 9,l 7r des patients kaient perdus de we. Environ 7 I .4 % des patients ktaient dtWd&. La survie i I. 2 et 3 ans ktait respectivement de 54.8,28,8 et l3,2 7r. La mediane de
S Farbos4, G Chene’,
J Beylot’
et le GECSA
survie t!talt de 13.9 mois. En analyse multivarke, les variables statistiquement associkes (I? < 0,Ol) 5 une survie plus courte ktaient : l’ige [risque relatif [RR] = I s17 pour chaque augmentation de IO annkes). la presence d’un kvknement sida (RR = 2,29). l’existence de signes constjtutionneis (RR = I ,46), le taux de CD4 (RR = I, 12 pour chaque diminution de 10 cellules/mm~). le taux d’hkmoglobine (RR = I, I5 pour chaque dkcroissance de I g/dL). l’absence de traitement antirktroviral entrepris (RR = I .73). l’absence de prophylaxie primaire de la pneumocystose (RR = 1,4). M&me i un stade avance de l’immunodkpression induite par le VIH, l’kvolution clinique varie considkrablement d’un patient & un autre. La determination de facteurs pronostiques, cliniques et biologlques devralt permettre i’elaboration d’un score pronostique pour aider les chniciens i amkliorer la pnse en charge de ces patients. ’ CHlJ, hbpifal Saint-Andre, 1, rue Jean-Burguet, 33076 Bordeaux cedex, zinserm fJ330, T/S/H Bordeaux, ’ CHR Bayonne, 33076 Bordeauxcedex, France