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Surmortalite liee a la pneumonie nosocomiale au cours de la ventilation des pneumonies communautaires: Etude cas-temoin
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CONCOURSDE~R~~IDENTS
RI38
L’isoflurane et le sCvoflurane potentialisent la riponse inotrope positive induite par les stimulations a- et j3-adrenergiques Hanouz JL’, Martin0 JM’, Gueugniaud Riou B’, Coriat P’.
PY3, Vivien B’,
Dt$artementsd ‘anesthksie-&animation. I CHU C&e de nacre,Caen; ’ CHUPiti&Salp&i&re, Paris ; 3HSpital E. Hem’ot,Lyon Introduction: In vitro, l’halothane potentialise la rkponse inotrope positive induite par les stimulations aet P-adrknergiques (Anesthesiology, 1997 ; 86 : 14759). Nous avons Ctudik, in vitro, les effets de l’isoflurane et du skvoflurane sur la rkponse inotrope positive induite par les stimulations a- et padrknergiques. Matkriel et mkthodes: Les muscles papillalrcs dc ventricule gauche de rat ont ttC Ctudies in vitro (milieu de Krebs-Heinseleit, 29”C, pH 7.40, Ca” 0,5 mM, stimulation 12/min). Les effets de concentrations croissantes de phknylkphrine (lv* a 10s4M en presence de propanolol lo6 M), et d’isoproterenol ( 10e8ti 10e4M en prksence de phentolamine 10e6M), ont ktk ktudiCs en l’absence (n=12), ou en prksence de 1 MAC d’isoflurane (n=8) ou de skvoflurane (n=8). Nous avons mesure la force active isomkique (FA). Les courbes concentrations-rkponses ont ktk caractCrisCe par l’effet maximal et la concentration pour laquelle 50% de l’effet maximal est obtenu (E&o). Les rksultats sent exprimts en moyenne + ESM. RBsultats: L’isoflurane et le skvoflurane ont augment6 significativement l’effet inotrope positif des stimulations a- et p- adrknergiques (Figure). La potentialisation n’&ait pas significativement diffkrentre entre l’isoflurane et le skvoflurane. Aucune diffkrence significative n’a Ctk notke pour 1’ECso entre les diffkrents groupes
SURMORTALITE LIEE A LA PNEUMONIE NOSOCOMIALE AU COURS DE LA VENTILATION DES PNEUMONIES COMMUNAUTAIRES : ETUDE CAS-TEMOIN. Guilley .I, Bosquet C, Vandenbussche C, Coffinier C, Leroy 0, Georges H, Guery B, Beaucaire G.
Service de R&animation et Maladies Infectieuses. Universid de Lille. CH Tourcoing 59208. Introduction : L’impact de la pneumonie nosocomiale (PN) en terme de mortalitt attribuable est l’objet de controverses. Semblant dependant de la population CtudiCe, nous avons &al&, par etude cas-temoin, son influence chez les patients (pts) ventilks pour une pneumonie communautaire grave (PC). Materiels et mbhodes : Entre Janvier 1987 et Dkcembre 1994, 384 pts prtsentant une PC selon les critttres de Fine (Am J Med 1990 ; 88 (suppl5) : lN-8N) ont ktk CtudiCs rCtrospectivement (1987-92) et prospectivement (93-94). Parmi eux, 28 cas (7.3%) de PN survenant au tours de l’kvolution ont CtC colligCs. Un appariement, selon G variables confondantes (be +I- Gans, sexe, antCcCdents selon la classification de MC Cabe, IGS I +1-3, prksence d’un &at de choc initial et duke de ventilation +/-3 jours), a CtCrCalisC avec autant de ttmoins indemnes de PN. Par ailleurs, les 2 groupes ont CtC cornparks, paire par paire, par les tests de Chi-2 ou de MC Nemar, sur 11 variables pronostiques de la PC (Znf Cure Med 1996 ; 12 : 130713 14) telles que l’immunodepression, l’insuffisance respiratoire chronique, l’atteinte radiologique ou la bactCriCmie initiales, les scores de Glasgow et de dkfaillance visckrale, et 5 donnCes biologiques inkiales (Pa02/Fi02, taux striques des leucocytes, des plaquettes, des protides et de la crkatinine). Rksultats : 27 paires cas-tCmoins ont CtC constitkes. L’efficacitC de l’appariement a CtC de 86.4% (140/162 variables). Aucune difference signifkative n’a ktk retrouvke vis B vis des G variables d’appariement et de 9 des 11 variables pronostiques. La mortalitt dans ces 2 groupes est la suivante : TEMOINS CAS
GJyyyy=
La mortalit& attribuable (mortalit des cas - mortalitk des tkmoins) B la PN est de 26% (12/27 - S/27 = 44% - 18%) (p=O.O3). Le risque relatif est de 2,4 (CI = l-5.9). Conclusion: Sur le myocarde de rat, l’isoflumne et le skvoflurane a 1 MAC potentialisent la reponse inotrope positive aux stimulations a- et P-adrknergiques.
Conclusion : Dans une population constituke de patients ventilk pour une PC grave, l’acquisition d’une PN est un facteur significatif de surmortalitt (RR= 2,4).
CONCOURSDE~R~~IDENTS
RI38
L’isoflurane et le sCvoflurane potentialisent la riponse inotrope positive induite par les stimulations a- et j3-adrenergiques Hanouz JL’, Martin0 JM’, Gueugniaud Riou B’, Coriat P’.
PY3, Vivien B’,
Dt$artementsd ‘anesthksie-&animation. I CHU C&e de nacre,Caen; ’ CHUPiti&Salp&i&re, Paris ; 3HSpital E. Hem’ot,Lyon Introduction: In vitro, l’halothane potentialise la rkponse inotrope positive induite par les stimulations aet P-adrknergiques (Anesthesiology, 1997 ; 86 : 14759). Nous avons Ctudik, in vitro, les effets de l’isoflurane et du skvoflurane sur la rkponse inotrope positive induite par les stimulations a- et padrknergiques. Matkriel et mkthodes: Les muscles papillalrcs dc ventricule gauche de rat ont ttC Ctudies in vitro (milieu de Krebs-Heinseleit, 29”C, pH 7.40, Ca” 0,5 mM, stimulation 12/min). Les effets de concentrations croissantes de phknylkphrine (lv* a 10s4M en presence de propanolol lo6 M), et d’isoproterenol ( 10e8ti 10e4M en prksence de phentolamine 10e6M), ont ktk ktudiCs en l’absence (n=12), ou en prksence de 1 MAC d’isoflurane (n=8) ou de skvoflurane (n=8). Nous avons mesure la force active isomkique (FA). Les courbes concentrations-rkponses ont ktk caractCrisCe par l’effet maximal et la concentration pour laquelle 50% de l’effet maximal est obtenu (E&o). Les rksultats sent exprimts en moyenne + ESM. RBsultats: L’isoflurane et le skvoflurane ont augment6 significativement l’effet inotrope positif des stimulations a- et p- adrknergiques (Figure). La potentialisation n’&ait pas significativement diffkrentre entre l’isoflurane et le skvoflurane. Aucune diffkrence significative n’a Ctk notke pour 1’ECso entre les diffkrents groupes
SURMORTALITE LIEE A LA PNEUMONIE NOSOCOMIALE AU COURS DE LA VENTILATION DES PNEUMONIES COMMUNAUTAIRES : ETUDE CAS-TEMOIN. Guilley .I, Bosquet C, Vandenbussche C, Coffinier C, Leroy 0, Georges H, Guery B, Beaucaire G.
Service de R&animation et Maladies Infectieuses. Universid de Lille. CH Tourcoing 59208. Introduction : L’impact de la pneumonie nosocomiale (PN) en terme de mortalitt attribuable est l’objet de controverses. Semblant dependant de la population CtudiCe, nous avons &al&, par etude cas-temoin, son influence chez les patients (pts) ventilks pour une pneumonie communautaire grave (PC). Materiels et mbhodes : Entre Janvier 1987 et Dkcembre 1994, 384 pts prtsentant une PC selon les critttres de Fine (Am J Med 1990 ; 88 (suppl5) : lN-8N) ont ktk CtudiCs rCtrospectivement (1987-92) et prospectivement (93-94). Parmi eux, 28 cas (7.3%) de PN survenant au tours de l’kvolution ont CtC colligCs. Un appariement, selon G variables confondantes (be +I- Gans, sexe, antCcCdents selon la classification de MC Cabe, IGS I +1-3, prksence d’un &at de choc initial et duke de ventilation +/-3 jours), a CtCrCalisC avec autant de ttmoins indemnes de PN. Par ailleurs, les 2 groupes ont CtC cornparks, paire par paire, par les tests de Chi-2 ou de MC Nemar, sur 11 variables pronostiques de la PC (Znf Cure Med 1996 ; 12 : 130713 14) telles que l’immunodepression, l’insuffisance respiratoire chronique, l’atteinte radiologique ou la bactCriCmie initiales, les scores de Glasgow et de dkfaillance visckrale, et 5 donnCes biologiques inkiales (Pa02/Fi02, taux striques des leucocytes, des plaquettes, des protides et de la crkatinine). Rksultats : 27 paires cas-tCmoins ont CtC constitkes. L’efficacitC de l’appariement a CtC de 86.4% (140/162 variables). Aucune difference signifkative n’a ktk retrouvke vis B vis des G variables d’appariement et de 9 des 11 variables pronostiques. La mortalitt dans ces 2 groupes est la suivante : TEMOINS CAS
GJyyyy=
La mortalit& attribuable (mortalit des cas - mortalitk des tkmoins) B la PN est de 26% (12/27 - S/27 = 44% - 18%) (p=O.O3). Le risque relatif est de 2,4 (CI = l-5.9). Conclusion: Sur le myocarde de rat, l’isoflumne et le skvoflurane a 1 MAC potentialisent la reponse inotrope positive aux stimulations a- et P-adrknergiques.
Conclusion : Dans une population constituke de patients ventilk pour une PC grave, l’acquisition d’une PN est un facteur significatif de surmortalitt (RR= 2,4).