OA19 Aspect echographique des doigts a ressaut. A propos de 25 cas

OA19 Aspect echographique des doigts a ressaut. A propos de 25 cas

Conclusion : L'échographie représente une méthode simple, rapide, peu coûteuse et fiable dans l'approche diagnostique pour le diagnostic du syndrome d...

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Conclusion : L'échographie représente une méthode simple, rapide, peu coûteuse et fiable dans l'approche diagnostique pour le diagnostic du syndrome du canal carpien et le suivi post-thérapeutique. Le diamètre du nerf médian supérieur à 9 mm2 est un des critères échographiques le plus sensible et le plus spécifique. -' Mots clés : Poignet, compression - Echographie

Poster commenté - Dimanche 16 - IO h 54 - Théâtre

ASPECT ECHOGRAPHIQUE DES DOIGTS A RESSAUT. A PROPOS DE 25 CAS H GUÉRINI (l), JL DRAPE(l), JS LE QUINTREC (l), X PO~EVIN (l), N THEUMANN (2), X AYRAL (l), D GODEFROY (l), A CHEVROT (1) (1) PARIS- FRANCE, (2) LAUSANNE - SUISSE Objectifs: Définir la sémiologie échographique des doigts à ressaut. Description d'un nouveau signe grâce à l'utilisation du Doppler énergie. Matériels et méthodes : Etude échographique haute résolution de 25 patients atteints de doigts à ressaut (sonde linéaire 7-15 Mhz). Confrontation à un groupe témoin de 20 patients. Résultats : L'aspect échographique d'un doigt à ressaut associe épaississement et hypervascularisation de la poulie Al. L'épaisseur de A l est normalement inframillimétrique. En cas de doigt à ressaut, elle est supérieure à 1,s mm. Il s'agit d'une hypertrophie circonférentielle et parfois nodulaire de la poulie. L'hypervascularisation de A l est retrouvée dans 92 % des cas en Doppler énergie. Elle n'était jamais retrouvée dans le groupe témoin. Une tendinose des fléchisseurs était associée dans plus de 30 % des cas. Elle siégeait généralement immédiatement en aval de A l , en regard de la l R phalange. Dans certainscas, une véritable sténose était individualisée par empreinte de la poulie sur les tendons fléchisseurs. Le ressaut est difficile à individualiser en raison de la taille des sondes linéaires qui gène la flexion du doigt. Conclusion :Cette étude permet de définir une séméiologie précise et originale des doigts à ressaut. L'épaississement accompagné d'une importante hyper vascularisation de la poulie A l est quasi pathognomonique de cette entité. Mots clés : Main, technique d'exploration

L'ECHOGRAPHIE DANS L'EXPLORATION DES PLAIES PALMAIRES DE LA MAlN : ETUDE PRELlMlNAlRE

Objectifs : Evaluer l'apport de l'échographie en urgence dans le diagnostic lésionnel des plaies palmaires de la main. Matériels et méthodes : Il s'agit d'une étude prospective, continue, en double aveugle. L'examinateur, le radiologue, et le chirurgien étaient différents. Les plaies palmaires de la paume et des doigts ont été explorées cliniquement, en échographie et chirurgicalement sur une période de 3 mois. Résultats : Trente-deux plaies palmaires ont été inclues sur un total de 29 malades. 20 plaies concernaient un doigt et 12 la paume de la main. Douze plaies n'avaient aucune lésion noble (exploration blanche). Six tendons étaient partiellement ou totalement sectionnés, 10 gaines étaient ouvertes, 8 nerfs et 6 artères étaient sectionnés et 1 artère était thrombosée. Il résulte de cette étude que les artères sont facilement explorables, notamment grâce au Doppler et aux manœuvres test de compression. Les tendons sont bien étudiés grâce à l'examen dynamique et les moignons de rétraction sont aisément localisés. Enfin, l'intérêt de l'échographie est réel dans le cas de corps étrangers associés. La principale limite de cette exploration est celle des nerfs digitaux même si la visualisation du trajet lésionnel permet dans certains cas d'évoquer une lésion nerveuse. Conclusion : La certitude de l'absence de lésion noble à l'échographie permettrait d'éviter une exploration chirurgicale inutile. La limite reste aujourd'hui la mauvaise qualité de l'exploration nerveuse et toute plaie de main doit donc encore être explorée au bloc opératoire. Mots clés :Main, traumatisme - Echographie

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IRM DU LIGAMENT CROISE ANTERIEUR : EVALUATION DES PLANS ORTHOGONAUX STANDARD ET D'UN PLAN PARACORONAL DEDlE

s DUC(l),M ZANETTI(l),J KRAMER (2).

K @CH(3), CH ZOLLIKOFER (3), K WENTZ (3) (1) ZÜRICH- SUISSE,(2) LINZ- AUTRICHE, (3) WINTERTHUR - SUISSE

TUMEURS DES PARTIES MOLLES DE LA MAlN N JOMAAH,C PRADEL, A HÉNON,MD CREMA, L ARRIVÉ,JM TUBIANA PARIS- FRANCE

Objectifs :Présenter l'apport des différents moyens d'imagerie dans l'approche diagnostique d'une tuméfaction des parties molles de la main. Matériels et méthodes : Il s'agit d'une étude rétrospective et d'un essai pictural à partir de la base de données de notre institution. Résultats : Les néoformations synoviales sont les tumeurs les plus communes. Les kystes synoviaux sont de loin les plus fréquents suivis des tumeurs à cellules géantes des gaines tendineuses. La topographie sous-unguéale est la première localisation des tumeurs glomiques. Les lipomes sont fréquents aux membres mais rares à la main. Les lésions angiomateuses sont peu fréquentes à la main, il s'agit souvent d'une malformation vasculaire de type veineux ou veino-lymphatique que d'une véritable tumeur. Enfin le schwannome reste la tumeur la plus fréquente des tumeurs nerveuses suivis du neurofibrome et du fibrolipome du nerf médian. Conclusion : Les tumeurs des parties molles de la main sont d'une grande variété histologique. Elles sont souvent inquiétantes pour les patients mais bénignes dans la grande majorité des cas. Dans cet exposé non exhaustif, nous envisagerons exclusivement les tumeurs et les pseudotumeurs des parties molles les plus habituelles de la main. " Mots clés :Main, technique d'exploration -Parties molles, tumeur

Objectifs : Evaluation des trois plans orthogonaux standard et d'un plan paracoronal dédié pour le diagnostic des ruptures du ligament croisé antérieur (LCA). Matériels et méthodes :Quatre-vingt-dix patients (91 genoux, 29 femmes, 61 hommes) d'un âge moyen de 36,9 I16,4 ans (rnn : 15, max : 84 ans) ont bénéficié d'une IRM du genou avant arthroscopie. Des séquences TSE pondérées T2 ont été acquises dans le plan axial, sagittal, coronal et paracoronal. Le LCA était classifié comme intact, partiellement ou complètement rompu. A l'arthroscopie 32 ét étaient intacts, quatre partiellement rompus et 55 complètement rompus. Résultats : Les ruptures partielles (4 cas) n'ont pas été diagnostiquées à I'IRM à l'exception d'un cas sur un seul plan par un seul examinateur. La sensibilité pour la détection des ruptures du LCA était de 95 % 163 % (examinateurllexaminateur2)dans le plan axial, de 93 % 195 % dans le plan sagittal, de 93 % 186 % dans le plan corona1 et de 100 % 193 % dans le plan paracoronal. La spécificité était de 75 % 181 % pour le plan axial, de 72 % 181 % pour le plan sagittal, de 78 % 194 % pour le plan coronal et de 78 % 188 % pour le plan paracoronal. Conclusion :Les ruptures du LCA peuvent être diagnostiquées avec précision à l'aide des plans orthogonaux standard. Au vu de l'assurance diagnostique accrue, le plan paracoronal peut s'avérer utile dans des cas équivoques. Mots clés : IRM, technique d'exploration - Genou, traumatisme