16 h 20
Durée: 20 minutes
ANATOMIE RADIOLOGIQUE DU LABRUM GLENOIDIEN ET DES LIGAMENTS GLENO-HUMERAUX
vial, lésion tumorale ... ). D'autres affections neurologiques (algodystrophie, syndrome de Parsonage et Turner, neuroarthropathies ... ) peuvent présenter des aspects radiologiques très évocateurs. Mots clés: Epaule - Nerfs périphériques
TLe Corroller, SAcid, R Aswad, P Champsaur Marseille - France
17 h 00
Durée: 20 minutes
Correspondance:
[email protected]
Objectifs: Connaître la place et les modalités de réalisation des différentes techniques d'imagerie dans l'étude du labrum glénoïdien et des ligaments gléno-huméraux. Savoir identifier en arthroscanner et arthroIRM le labrum glénoïdien et les ligaments gléno-huméraux. Connaître les principales variantes anatomiques capsulo-Iabrales de l'articulation scapulo-humérale. Messages à retenir: L'arthroscanner et l'arthroIRM sont les techniques d'imagerie de référence pour le bilan capsulo-Iabral. La position ABER (abduction-rotation externe) est utilisée pour l'analyse du labrum glénoïdien antéro-inférieur. Le labrum glénoïdien antéro-supérieur est le siège de variations anatomiques fréquentes. L'analyse de l'insertion humérale des ligaments gléno-huméraux est un élément-clé pour le chirurgien. Résumé: L'articulation scapulo-humérale est une enarthrose particulièrement exposée à la pathologie d'instabilité. Le labrum glénoïdien augmente la congruence articulaire. Les ligaments glénohuméraux supérieur, moyen et inférieur constituent quant à eux des renforcements capsulaires. L' arthroscanner et l'arthroIRM sont les deux techniques d'imagerie de référence permettant constamment l'étude du labrum glénoïdien et l'identification des ligaments glénohuméraux. Le positionnement du patient lors de l'acquisition scanner et/ou IRM est adapté à la suspicion clinique (position neutre, rotation médiale ou latérale, ABER). Les variantes anatomiques ligamentaires et labrales sont fréquentes dans la région antéro-supérieure. Elles doivent être distinguées des lésions traumatiques et dégénératives rencontrées dans l'instabilité. L'analyse des ligaments gléno-huméraux doit être complète sur le plan anatomique, car les lésions de l'insertion humérale du ligament gléno-huméral inférieur (HAGL lesion) modifient la stratégie thérapeutique. Mots clés : Epaule - Ligaments
16 h 40
Durée: 20 minutes
EPAULE ET PATHOLOGIE NEUROGENE : DE L'ANATOMIE A L'IMAGERIE
TRAVERSEE CERVICO-THORACO-BRACHIALE : ANATOMIE ET ASPECTS DYNAMIQUES X Demondion, B Damarey, JF Budzik, C Hancart-Destée, JP Francke, A Cotten Lille - France Correspondance:
[email protected]
Objectifs: Décrire l'anatomie normale de la traversée cervico-thoraco-brachiale en IRM et en TDM. Décrire les modifications dynamiques des différents compartiments de la traversée cervico-thoraco-brachiale. Présenter les variations anatomiques possiblement à l'origine de compressions vasculaires et nerveuses. Messages à retenir: La traversée cervico-thoraco-brachiale comprend trois compartiments : le triangle interscalénique, la pince costoclaviculaire et le tunnel sous-pectoral. Le scanner et l'IRM permettent d'appréhender l'anatomie de cette région anatomique. Lors de l'élévation du membre supérieur il existe un rétrécissement de la pince costo-claviculaire et du tunnel sous-pectoral. Des compressions des structures vasculo-nerveuses (artéres sous-clavière et axillaire et plexus brachial) peuvent survenir au sein des compartiments de la traversée cervico-thoraco-brachiale. Résumé: La traversée cervico-thoraco-brachiale est constituée par l'ensemble des espaces anatomiques que franchissent les éléments vasculaires ou nerveux depuis la berge médiale du défilé inter-scalénique, jusqu'au bord inférieur du tendon distal du muscle grand pectoral. Les trois sites de compression potentielle successivement empruntés par le pédicule vasculo-nerveux sont: le défilé inter-scalénique, la pince costo-claviculaire et le tunnel sous-pectoral. A l'élévation du membre supérieur, il existe un rétrécissement de la pince costo-claviculaire et du tunnel sous-pectoral. Le scanner et l'IRM permettent une étude morphologique et dynamique de cette région anatomique, et peuvent préciser la topographie et les causes des compressions vasculo-nerveuses. Mots clés: Membre supérieur - Nerfs périphériques - Artères des membres
B Grignon, S Lecocq, T Batch, G Oldrini, A Blum, J Wassel Nancy - France
17 h 20
Correspondance:
[email protected]
DISCUSSION GENERALE: COMMENT FAIT-ON POUR REPERER LES STRUCTURES ANATOMIQUES UTILES AVEC L'IMAGERIE ARTHRO-SCANNER, IRM ET ARTHRO-IRM
Objectifs: Connaître les bases anatomiques des syndromes canalaires ou des zones à risque des nerfs de la région de l'épaule. Connaître les autres principales pathologies neurogènes de l'épaule bénéficiant de l'imagerie. Savoir quels sont les apports potentiels de l'imagerie pour le diagnostic et le traitement. Messages à retenir: Les lésions tronculaires des nerfs de cette région les plus fréquentes sont celles des nerfs suprascapulaire et axillaire, suivies de celles des nerfs accessoire, thoracique long et musculo-cutané. L'imagerie peut permettre de juger du retentissement musculaire et de la lésion causale pour les lésions tronculaires. Elle peut montrer des aspects très évocateurs pour le diagnostic des autres pathologies (algodystrophie, neuroarthopathies ...). Résumé: Après un rappel anatomique du plexus brachial, le trajet et les zones critiques du nerf axillaire (espace axillaire latéral, col chirurgical huméral), radial, supra scapulaire (incisure scapulaire, incisure spino-glénoïdale), accessoire, thoracique long, et musculocutané sont illustrés par des documents anatomiques et des dossiers clinico-radiologiques. L'imagerie peut montrer le retentissement musculaire à ses différentes phases (notamment par l'IRM : œdème à la phase précoce, puis amyotrophie, puis inflation du contingent graisseux), et une éventuelle lésion causale (kyste labral, arthro-syno-
Durée: 10 minutes
Imagerie de stress: quelle technique pour quel objectif? Séance organisée par la SFICV
Responsable: Pierre Croisille
Objectifs pédagogiques L'imagerie cardiaque sous stress, aujourd'hui en IRM, et demain peut-être en scanner cardiaque, doit être positionnée par rapport aux techniques validées, que sont l'échocardiographie de stress et la scintigraphie cardiaque. Une vision transversale est nécessaire pour en comprendre les avantages et les limites, et leur positionnement au sein de l'arsenal diagnostique pour la prise en charge du patient coronarien.
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