1036 R441
40’ CONGRb
Neuroanesthe’sie. rlellrorParzi?natiorz
Incidence des complications thromboemboliques provoqubes I’association papaverine-hbparine Neuroradiologie lntewentionnelle
‘DAR
3,
2SeMce
G’, Maurette
Maghr&i~KaddourCh,FMhoulaM, SkancbniL Service d’Anesthtde - Rknimation, National de Neurologie, Tunis.
P’
(Pr J.M. Caiti) 33076 Bordeaux
Introduction : La papamine (P) est un alcaldide vasodilatateur non spkiiiue qui n?p&ente I’un des traitements endovasculaires du vascspasme &r&bra1 (N Eng/ J Med 1981; 305:1508-13). Des complications thromboemboliques (CTE) provoqkes par I’association de P et d’hkparine (H) ont && d&rites sans prkciiion sur leur incidence (R&b/ 1993; 189: 824-5). Cependant, le r6le imprkcis jot16 par I’H dam les CTE (A&WI 1994;15:1885-70) et I’anticoagulation nkcessaire B I embolisation d’an&ysmes intradniens sont des arguments en faveur de l’utilisation de H en prkence de P. Le but de cette &ude &it d’8valuer I’incidence de CTE Ii&s B l’utilisation concomitante de ces 2 produits lors du traiternent endovasculaire de vasospasme uMbraI. Mbthodes : Canaiyse retrc~pective pottait sur 50 cas de vasospasme aMbra trait& par l’injection intraart&ielle (lA) de P B 0,3 % (5 mmg/h). Ils sont cornparks I un groupe de 50 patients n’ayant par rq de P. Chaque groupe &ait divi.& en 2 sous groupes sebn l’administration ou non d’H. Celle-ci a & administrtk soit par voie IV (30 Ulkg en bolus ) ou IA dans les pochons de purge des catheters (1000 Ulh). Seuls les embols intra-art&is, visual&s par I’ angiographie ckrbbrale, &aient pris en compte dans cette &ude. R&~ltats: Cincidence da CTE est plus Q&e chez les patients ayant re$u a la fois l-i et P (n=3) (tableau 1). Chez 2 d’entre eux, les CTE ant QB observ&es immkdiatement apr&s I’injection de P alors que II-i Btait administrk par wie IA. Pour le 36me patient la CTE &it otmrv~ 2 heures apt&s l’iijection de P et d’hbpatine IV. DIscussIon: Les CTE pmvoqu&es par l’association de P et H en NRI restent 6lWes, en patticulier lorsque la m&me voie d’injection est utiliske pour ces 2 produits . Tableau obsetvh
Btudtit et nombm des CTE entte dbcembre 1994 et dbc. 1997 I PtwavsdnsfPI I
Obste’trique
MORTALITE, MORBIDITE MATERNELLE EN MILIEU DE REANIMATION OBSTETRICALE
par en (NRI)
de NeworadMogie
/f&&a/ Pebgrh,
SFAR
R448
Sway M’ , Berge J2, Grenier B’, Boulard
DE LA
7: Patients
1
Institut
Intruduction : La mortaliti matemelle en Tuuisie est e&n&. ri 70/105naissances vivantes (NV) (Enquete nationale SW la mortalitk maternelle en Tunisie, 1993-94). NOUS avons &diC le rble des services d’anesthksie rkmimation dans la prise en charge des complications graves en milieu obstetrical. Materiel et m&hodes
: Sur un total de 38000 accouchements, -68 parturientes ont p&e& des complications obstetricales et ont Ctk admises en rbnimation Nous avons ktudik l’t$icbiologie, l’indice de graviti simplifi& (IGS II), la qualiti de la prise en charge mklicoob+st&ricale et le pronostic materuel- L.es rksultats sent exprimks en moyenne 2 SD. W&tats : La fkkquence &admission en rkanimation est de 1,79 /lo3 accoucknents. L’HTA grwidiclue constitute le premier motif d’aclmission (90 %). L’IGS II = 32 + 15. 60 % des patientes ont ktt? ventilkes. Le taux de g~,&rison saris s&p&s est de 83,8 % avec une du.rkedesdjourmoyeunede8joun~ 5. Now &plorons 4 &c&s matemelsdontlmIi~~ l’anesthksie. La mortaliti matemelle est ainsi estimke ?I lO/ 105 NV. Discuss&u : Notre &de met en kklence 1’intfW de la prise en charge prkoce des complications ob&ricales graves par les services &We rlklimation. Des efforts suppltknentaires sout requis pour dirninuer d’avantage la mortalitk matemelle.