NR-WS-33 L’hemosiderose superficielle du nevraxe : Points a connaitre

NR-WS-33 L’hemosiderose superficielle du nevraxe : Points a connaitre

NR-WS-31 LES MICROHEMORRAGIES CEREBRALES MULTIPLES: APPORT DE L'IRM DANS LE DIAGNOSTIC POSITIF ET ETIOLOGIQUE A Darbi, A El Kharras, H Ennouali, J El ...

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NR-WS-31 LES MICROHEMORRAGIES CEREBRALES MULTIPLES: APPORT DE L'IRM DANS LE DIAGNOSTIC POSITIF ET ETIOLOGIQUE A Darbi, A El Kharras, H Ennouali, J El FennL S Chaouir, TAmil, A Hanine Rabat - Maroc Objectifs: Souligner l'apport des nouvelles séquences d'IRM dans le diagnostic positif et l'approche étiologique des microhémorragies cérébrales multiples. Matériels et méthodes: A travers des observations cliniques illustrées, les différents aspects des microhémorragies cérébrales multiples sont rapportés ainsi que leurs différentes étiologies. Résultats: L'IRM objective de multiples hypo signaux nodulaires particulièrement visibles sur la séquence en T2*, disséminés sur l'ensemble du cerveau. L'âge et la topographie des lésions orientent sur l'étiologie: la topographie lobaire sus-tentorielle, corticale ou dans la substance blanche, respectant les noyaux gris centraux et prédominant en région frontale chez les sujets âgés ont comme cause une angiopathie amyloïde, la topographie sur les artères de petit calibre lenticulo-striées, pararnédianes du tronc basilaire et cérébelleuses ont une origine hypertensive alors que la survenue chez les patients plus jeunes symptomatiques (épilepsie, céphalée, hémorragie) évoque une cavernomatose familiale. Conclusion: Les hémorragies cérébrales multiples non traumatiques sont facilement diagnostiquées par l'IRM, particulièrement la séquence T2* Leur étiologie est dominée par l'angiopathie amyloïde, la lipohyalinose et la cavernomatose familiale. Il est important d' évoquer le diagnostic d'angiopathie arnyloïde, car la chirurgie est dangereuse sur ce terrain vu le risque hémorragique post-opératoire. Mots clés : Cerveau, hémorragie

NR-WS-32 GLiOMATOSE CEREBRALE, IMAGERIE DE 12 CAS P Desclée, D Rommel, G Cosnard Bruxelles - Belgique Objectifs: Nous avons revu la littérature et inclus 12 cas afin de définir les critères diagnostiques de la Gliomatose Cérébrale (GC), une tumeur cérébrale rare et discutée, de grade III selon la classification de l'OMS. Matériels et méthodes: Etude rétrospective de 12 cas de GC histologiquement prouvée de 1997 à 2008. Six patients avaient bénéficié d'un CT-Scan, 12 d'une IRM sans et avec injection d'un agent de contraste, 10 d'une imagerie de diffusion, 4 d'une étude de perfusion, 3 d'une spectroscopie, 2 d'une TEP FDG et 3 d'une TEP méthionine. Résultats: Le diagnostic initial était erroné dans 6 cas. Les principaux symptômes cliniques étaient: crise d'épilepsie (n = 6), altération du statu mental (n = 5), dysarthrie ou aphasie (n = 3), céphalée (n = 2), paralysie faciale (n = 2) et diplopie (n = 2). Les critères d'imagerie sont: une lésion envahissant trois lobes cérébraux ou plus (n = 12), caractérisée par une plage d'intensité de signal majoré en FLAIR et en pondération T2 (n = 12), avec extension bi-hémisphérique initiale (n = 7) par envahissement du corps calleux (n = 6) ou de la commissure antérieure (n = 3) ou des deux (n = 2), ou par des fibres inter-thalamiques (n = 1), envahissant les ganglions de la base et/ou le mésencéphale avec une préservation de l'architecture (n = 12). Initialement sans nécrose (n = Il), sans calcification (n = 12), sans hydrocéphalie (n = 12), sans foyer hémorragique (n = 12), sans kyste (n = 11) et sans effet de masse significatif (n = 12) ; sans rehaussement après iqjection de contraste dans la forme classique de GC (sans lésion focale ou type 1) (n = 8) ; présence d'une dédifférenciation entre la substance blanche et grise (n = 9). Le volume moyen initial était de 514 cm 3 (compris entre 175 et 1075) avec un temps de doublement moyen du volume de la lésion de 52 mois. Quand la diffusion était élevée, l'ADC moyen était de l'ordre des 120 % (n = 6). L'étude de perfusion montrait un rVSC non majoré dans la substance blanche

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atteinte (n = 4) mais augmenté dans les lésions focales (GC de type II) (n = 2). La spectroscopie montrait une majoration du rapport Cho/Cr et une diminution du rapport NAAICr (n = 3). La TEP FDG (n = 2) montrait dans la GC de type 1 une diminution de l'avidité pour le traceur (n = 1) et dans le type II une majoration de l'avidité dans la lésion focale (n = 1). La TEP-MET montrait une majoration de l'avidité pour le traceur la GC de type II (n =2) et une discrète majoration de l'avidité dans la GC de type I. Conclusion: La GC est une entité encore très discutée dont le diagnostic initial est souvent erroné. Les deux critères morphologiques diagnostiques majeurs sont l'extension à au moins trois lobes cérébraux et le respect de l'architecture. Le diagnostic différentiel, le grade et le ciblage pré-biopsique sont plus du ressort des techniques d'imagerie complémentaire que sont l'étude de perfusion, la spectroscopie et la TEP. Mots clés : Cerveau, anomalie

NR-WS-33 L'HEMOSIDEROSE SUPERFICIELLE DU NEVRAXE: POINTS A CONNAITRE SArion (1), J Bouffard-Vercelli (2), C Hlaihel (1), P Krolak (1), F Cotton (1) (1) Lyon - France, (2) Pierre-Bénite - France Objectifs: Etudier les aspects cliniques et en imagerie de 20 cas d'hémosidérose superficielle du névraxe. Matériels et méthodes: Analyse rétrospective de 20 IRM cérébrales de patients adressés par le service de gériatrie ou de neurochirurgie. Toutes les IRM comportaient des séquences T2*. Résultats: L'âge moyen au diagnostic était de 64,3 ans. Les troubles cognitifs étaient un mode de révélation fréquent dans notre série 9 patients (probablement du à un fort recrutement gériatrique), à coté d'une surdité -2 patients, une ataxie cérébelleuse -4 patients, un syndrome vestibulaire central -1 patient, bilan pour autre pathologie encéphalique -4 cas (AIT, hématome, crise convulsive, suivi postchirurgie). Dans 13 cas une cause de saignement chronique a été identifiée: angiopathie amyloïde (n = 6), antécédent de neurochirurgie (n = 3), une malformation artério-veineuse, une fistule durale, cavernomes (n =2). En terme de localisation, 5 patients présentaient une atteinte sous-tentorielle, 5 patients une atteinte sous et sus-tentoriel, 10 uniquement sus-tentorielle. Conclusion: L'hémosidérose superficielle est une pathologie rare liée à un saignement sous-arachnoïdien chronique, avec présence de dépôts d'hémosidérine à la surface du névraxe. Elle est probablement sousestimée chez les sujets présentant des troubles des fonctions cognitives, d'où la nécessité de réaliser systématiquement des séquences en écho de gradient T2 dans cette indication. Mots clés : Cerveau - Maladie de surcharge

NR-WS-34 APPORT DE L'IMAGERIE DANS LE DIAGNOSTIC DES TUMEURS CEREBRALES INTRAVENTRICULAIRES D MhedhbL S Kouki, A MerghnL M Lahmandi, H Kassem, N Bouassida, H Boujemaa Tunis - Tunisie Objectifs: Evaluer l'apport de l'imagerie dans le diagnostic des tumeurs cérébrales intraventriculaires. Matériels et méthodes: Nous vous proposons une étude rétrospective de dix tumeurs intra ventriculaires colligés sur une période de 3 ans (de 2006 à 2008). Le syndrome d'hypertension intracrânienne était le motif prédominant motivant une exploration radiologique. Tous les patients ont bénéficié d'une IRM cérébrale précédée pour certains d'un examen tomodensitométrique, la confirmation histologique est obtenue pour 9 cas. Résultats: L'IRM avait confirmé l'origine ventriculaire des tumeurs dans tous les cas. Elle s'associe, de façon inconstante, à d'autres anomalies radiologiques dominées par l'hydrocéphalie, vient ensuite