A du gène du PAI-1 (Plasminogene Activator Inhibitor-1) chez les diabétiques de type 2, en Tunisie

A du gène du PAI-1 (Plasminogene Activator Inhibitor-1) chez les diabétiques de type 2, en Tunisie

Diabète – Strasbourg 2009 P123 Polymorphismes -6754G/5G et -844G/A du gène du PAI-1 (Plasminogene Activator Inhibitor-1) chez les diabétiques de type...

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Diabète – Strasbourg 2009

P123 Polymorphismes -6754G/5G et -844G/A du gène du PAI-1 (Plasminogene Activator Inhibitor-1) chez les diabétiques de type 2, en Tunisie

50 mg 2 fois/j (1,02 %) à celles du PBO (1,15 %) et comparateurs (1,29 %), avec des odds ratio tous inférieurs à 1. Les incidences des EI graves CCV étaient également moins élevées sous vildagliptine (0,54 % à 50 mg 1 fois/j et à 50 mg 2 fois/j) que sous PBO (0,69 %) et comparateurs (0,78 %). L’incidence des EI cardio-vasculaires était de 0,61 % sous vildagliptine 50 mg 2 fois/j, vs 0,77 % sous PBO et 0,80 % sous comparateurs, et celle des EI cérébrovasculaires de 0,20 % vs 0,31 % sous PBO et 0,28 % sous comparateurs. Conclusion : Cette analyse, basée sur 6 063 patients traités par vildagliptine jusqu’à 24 semaines dans le cadre d’études cliniques contrôlées, montre un profil de tolérance CCV satisfaisant avec une moindre incidence d’événements cardioet cérébrovasculaires comparativement aux groupes PBO et comparateurs.

P125 L’étude IMPROVE, une étude internationale

M Chadli-Chaieb1, M Ould Mustapha1, I Ezzidi2, N Mtiraoui2, T Mahjoub2, L Chaieb3

observationnelle d’initiation de l’insuline biphasique BIAsp30 en pratique clinique. Situations d’initiation, tolérance et efficacité

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Service d’Endocrinologie – Diabétologie – Nutrition, CHU Farhat Hached, Sousse, Tunisie ; 2 Unité de Recherche des Maladies Hématologiques et Auto-Immunes, Faculté de Pharmacie de Monastir, Sousse, Tunisie ; 3 Service, CHU Farhat Hached, Sousse, Tunisie.

Introduction : Le PAI-1 (inhibiteur des activateurs du plasminogène de type 1), inhibiteur physiologique puissant de la fibrinolyse, est élevé au cours du diabète de type 2 et des maladies cardio-vasculaires. La relation entre les polymorphismes du gène du PA I-1 et l’atteinte coronaire a été peu étudiée chez les diabétiques. Matériels et méthodes : Afin d’évaluer la prévalence des différents génotypes et allèles des polymorphismes -675 4G/5G et -844 G/A chez des diabétiques de type 2 tunisiens et d’apprécier leur association avec les paramètres métaboliques et les complications dégénératives du diabète, nous avons mené une étude transversale sur 491 diabétiques de type 2 dont 168 coronariens et 323 non coronariens et 400 témoins sains. Résultats : Le génotype homozygote 4G/4G et l’allèle 4G du polymorphisme –þ675 4G/5G et le génotype A/A et l’allèle A du polymorphisme –þ844 G/A étaient plus fréquents chez les diabétiques. Les allèles 5G et A étaient plus fréquents chez les témoins. Le génotype 4G/4G était corrélé au tour de taille chez les hommes diabétiques. Cette relation n’a pas été retrouvée avec le polymorphisme –þ844 G/A. Les diabétiques homozygotes 4G/4G avaient un HDL-cholestérol significativement plus bas et un LDL-cholestérol significativement plus élevé. Cette association a aussi été observée chez les patients portant le génotype A/A et l’allèle A du polymorphisme -844 G/A. Le polymorphisme -675 4G/5G était le principal déterminant du taux plasmatique du PAI-1. Il n’y avait pas corrélation entre ce taux et le polymorphisme -844 G/A. Il n’y avait pas de relation entre le polymorphisme -675 4G/5G et les complications dégénératives du diabète. Le génotype A/A du polymorphisme -844 G/A s’accompagnait d’une fréquence plus élevée de neuropathie diabétique et de protéinurie que l’allèle G. Conclusion : Les polymorphismes du gène du PAI-1 ne semblent pas être impliqués dans l’atteinte coronaire chez les diabétiques type 2 tunisiens. Certains allèles du polymorphisme -844 G/A seraient impliqués dans la survenue de la néphropathie.

POSTERS Thérapeutique

ALFEDIAM

nir majeur s’il interagit avec d’autres variants génétiques et/ou avec des facteurs environnementaux concomitants. Conclusion : Ces résultats suggèrent que le gène de la leptine a subi une sélection naturelle, ayant pour résultat une différence significative de la répartition géographique des fréquences des polymorphismes G-254A et A19G. La fréquence de l’allèle A, retrouvée pour chaque polymorphisme dans notre étude, pourrait suggérer que le fond génétique de la population tunisienne est proche de celui des populations européennes, africaines et asiatiques.

P Valnsi Endocrinologie Diabétologie Nutrition, Hôpital Jean Verdier, Bondy.

Introduction : IMPROVE, une étude observationnelle internationale (11pays), européens, Chine et Inde, Moyen-Orient, Canada), ouverte, de 26 semaines, avait pour but d’évaluer en pratique clinique la tolérance et l’efficacité de l’insuline biphasique aspart 30 (BIAsp30) initiée chez les diabétiques de type 2 insulinorequérants. Patients et méthodes : L’étude comportait 3 visites : inclusion, 13, 26 semaines. 52419 patients ont été inclus, dont 65 % étaient sous antidiabétiques oraux seuls (G1), 18 % sous insuline (G2), 17 % sans traitement antidiabétique (G3). À l’inclusion, en moyenne HbA1c : 9,3 %, glycémie à jeun : 10,9 mmol/l, les valeurs postprandiales les plus élevées s’observaient après le petit-déjeuner dans tous les pays. Comparativement au G3, l’ancienneté du diabète, l’IMC et la prévalence des complications macro et microvasculaires étaient plus élevés dans G1 et G2 (p < 0,0001). Résultats : À la visite finale, dans G1, G2, G3, HbA1c a baissé de 2,2 %, 2 %, 3,2 %, devenant < 7 % chez 51 %, 44 %, 68 % des patients ; la glycémie à jeun a baissé de 4,1, 3,3, 5,9 mmol/l ; la baisse de la postprandiale était la plus forte après le petit-déjeuner et comparable après déjeuner et dîner, et ce dans les 3þgroupes. Le taux d’événements hypoglycémiques majeurs des 13 semaines précédentes a baissé de 94 % et 93 % dans G1 et G2 et le nombre d’événements mineurs des 4 semaines précédentes a augmenté de 0,4 et 2,1 par patient année dans G1 et G3 et baissé de 4,9 par patient année dans G2. Le schéma à 2 injections était utilisé chez > 80 % des patients, aux doses quotidiennes moyennes de 0,41, 0,48, 0,42 U/kg (G1, G2, G3,). Aux auto-questionnaires soumis à G1 et G2, la satisfaction des patients pour leur contrôle glycémique était améliorée d’un facteur 7 et 4. Conclusion : Cette étude, menée en pratique clinique, éclaire sur les caractéristiques des diabétiques de type 2 chez lesquels l’insuline BIAsp30 est initiée dans le monde et montre la bonne tolérance et l’efficacité de cette insuline sur le contrôle glycémique à jeun et postprandial, notamment sur les glycémies après petit-déjeuner en règle générale les plus élevées.

P126 L’activité physique des patients diabétiques de type 2 est-elle équivalente à celle d’une population contrôle ? S Florenty, V Rigalleau, C Raffaitin, H Gin

P124 Tolérance cardio et cérébrovasculaire de la vildagliptine, un inhibiteur de la dipeptidyl peptidase de type 4 pour le traitement du diabète de type 2 S Dejager1, S Menn2, O Reigneau1, W Kothny3 1 2 3

Recherche Clinique, Novartis Pharma, Rueil-Malmaison ; Pharmacovigilance, Laboratoire Novartis Pharma Sas, Rueil-Malmaison ; Recherche Clinique, Novartis, East Hanover.

Objectif : Vildagliptine, inhibiteur de la DPP-4, permet chez les patients (pts) diabétiques de type 2 une amélioration significative du contrôle glycémique, sans prise de poids ni augmentation du risque hypoglycémique et est bien tolérée. La tolérance cardio-cérébrovasculaire (CCV) étant un élément essentiel de la sécurité d’emploi des antidiabétiques oraux, ce travail a pour objectif de caractériser la tolérance CCV de la vildagliptine à partir du programme d’études cliniques contrôlées. Patients et méthodes : Analyse poolée de 19 études de monothérapie (n = 11) et d’association (n = 8 ; avec Metformine, sulfamide, glitazone) d’une durée de traitement allant jusqu’à 24 semaines, ayant inclus 6 063 patients traités par vildagliptine (1 469 patients à 50 mg 1 fois/j et 4 594 patients à 50 mg 2 fois/j). Les événements indésirables (EI) CCV ont été classés selon des termes préférentiels pour l’athérosclérose et les complications ischémiques, et analysés globalement et dans les catégories pré-définies cardio- et cérébro-vasculaires. Les incidences et leurs odds ratio sont présentés versus placebo (PBO, n = 1304) et comparateurs (n = 4357) dans chaque groupe de traitement. Résultats : Les incidences de l’ensemble des événements CCV des pts traités par vildagliptine étaient inférieures dans les groupes 50 mg 1 fois/j (0,88 %) et

Diabétologie, Hôpital Haut Lévêque, Pessac.

Introduction : Les bénéfices de l’activité physique sur la santé sont démontrés. Les patients diabétiques de type 2 (DT2) sont-ils plus sédentaires que les autres ? Matériels et méthodes : Quatre-vingt sept sujets ont été recrutés en médecine générale pour évaluation de leur activité physique : 45 DT2 (20 femmes) et 42þhypertendus non DT2 (20 femmes). Les critères d’exclusion sont l’existence d’une pathologie invalidante, la prise d’hormones thyroïdiennes, une insulinothérapie. Chaque sujet a porté durant 7 jours consécutifs un accéléromètre (Sensewear Armband), et répondu à deux questionnaires d’autoévaluation de l’activité physique ; le Ricci et l’IPAQ. L’analyse statistique a été réalisée à l’aide de SPSS 10,0. Résultats : La comparaison du groupe DT2 versus HTA n’a montré aucune différence significative pour la totalité des variables : âge, BMI (respectivement 29,7 ± 5,76 et 27,7 ± 5), données Armband : dépense énergétique totale (DET), durée d’activité physique (DAP), dépense énergétique active (DEA), nombre de pas (Nb P), moyenne METs journalière (Moy MET/j), et questionnaires. La catégorisation par sexe met en évidence une différence pour la DET (H : 3 190 ± 884 kcal/ 24 h ; F : 2561 ± 473 (p < 0,05) et la DEA (H : 1215 ± 945 kcal/24 h ; F : 855 ± 558 (p < 0,05). La catégorisation sur le BMI montre une DAP inférieure lorsque le BMI est > 30 (124 ± 107 versus 187 ± 109 mn/j (p < 0,05), une sédentarité moyenne (Séd Moy) majorée 1 280 ± 110 et 1 217 ± 111 mn/j (pþ< 0,05), un temps moyen d’activité modéré moindre 111 ± 78 et 161 ± 88 mn/j (p < 0,05) avec Moy MET/j moindre 1,3 ± 0,4 et 1,6 ± 0,4 (p < 0,01). La catégorisation par l’emploi montre une DET, DEA et un Nb pas plus élevé chez les sujets ayant une activité professionnelle (p < 0,01). Pour les 2 groupes les indices d’activité sont inférieurs le Diabetes Metab 2009, 35, A29-A89

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